David Sauveur - To The Last Path

Préachetez To The Last Path, le livre du photographe David Sauveur sur Jérusalem, coédité par VU’ et Le Bec en l’air

Visuel du projet David Sauveur - To The Last Path
Réussi
199
Contributions
08/07/2021
Date de fin
14 065 €
Sur 9 000 €
156 %

David Sauveur - To The Last Path

<h3>Avertissement li&eacute; &agrave; l&rsquo;actualit&eacute;</h3> <p><em>Ce projet sur lequel nous travaillons depuis plusieurs mois se retrouve au c&oelig;ur d&rsquo;une actualit&eacute; tragique. Cette campagne &eacute;tait pr&eacute;vue pour d&eacute;marrer mi-mai, &agrave; un moment o&ugrave; la r&eacute;surgence du conflit isra&eacute;lo-palestinien atteignait son paroxysme. Nous en avons suspendu le lancement par souci de retenue. </em></p> <p><em>N&eacute;anmoins nous pensons que cette nouvelle page sombre de l&rsquo;histoire de cette r&eacute;gion du monde n&rsquo;enl&egrave;ve rien &agrave; la n&eacute;cessit&eacute; de ce projet. Les photographies de David Sauveur, par leur intelligence, leur absence de surplomb et de jugement, nous semblent contribuer &agrave; la compr&eacute;hension de la pluralit&eacute; de J&eacute;rusalem, cette ville mill&eacute;naire et </em><em>multiconfessionnelle. </em></p> <p><em>R&eacute;alis&eacute;es entre 1999 et 2004 et publi&eacute;es aujourd&rsquo;hui, elles sont la trace m&ecirc;me de la complexit&eacute; de J&eacute;rusalem, &agrave; la fois intemporelle et confront&eacute;e en permanence &agrave; l&rsquo;actualit&eacute;. Ainsi prises entre deux &eacute;coulements du temps contradictoires &ndash; le temps long qui est le leur et le temps acc&eacute;l&eacute;r&eacute; des hommes &ndash; elles racontent un pass&eacute; qui &eacute;claire le pr&eacute;sent. C&rsquo;est pourquoi nous croyons qu&rsquo;elles ont la capacit&eacute; de nourrir la r&eacute;flexion de chacune et de chacun, que ce sujet leur soit familier ou qu&rsquo;ils le d&eacute;couvrent aujourd&rsquo;hui.</em></p> <p>&nbsp;</p> <hr /> <h2>La s&eacute;rie <em>To The Last Path</em></h2> <p>Au tournant des ann&eacute;es 2000, David Sauveur est reconnu pour la qualit&eacute; de ses reportages en zones de conflits (Afghanistan, Palestine, Liban, Sierra Leone, Kosovo&hellip;). En parall&egrave;le, port&eacute; un besoin de compr&eacute;hension globale du monde, il m&egrave;ne une recherche artistique en indispensable &eacute;cho &agrave; ses images de guerres.</p> <p>C&rsquo;est une aspiration philosophique et spirituelle qui conduit David &agrave; J&eacute;rusalem en 1999 pour la premi&egrave;re fois. Pendant cinq ann&eacute;es, par une immersion m&eacute;ditative dans l&rsquo;&eacute;paisseur de la cit&eacute; historique, il y recueille au Polaroid&nbsp;la mati&egrave;re de <em>To The Last Path</em> (&laquo;&nbsp;Vers le dernier chemin&nbsp;&raquo;) dans une &eacute;criture fragile et rayonnante. Les hasards des affaires humaines lui font y vivre les premiers jets de pierre de la seconde Intifada, qu&rsquo;il va documenter. De ces ann&eacute;es de travail na&icirc;t une s&eacute;rie de photographies d&eacute;licatement po&eacute;tiques, tendue avec acuit&eacute; entre les contradictions de cette ville&nbsp;: permanence d&rsquo;une beaut&eacute; &laquo;&nbsp;suspendue entre la fin et le d&eacute;but du Monde&nbsp;&raquo; (ce sont ses mots) et pr&eacute;gnance des tensions contemporaines.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/730968/4a5934bf-a264-4433-92a0-6b270935ed53.png" width="100%" /></p> <p>Mais il y a presque 10 ans, en ao&ucirc;t 2011, David Sauveur, photographe talentueux, est victime d&rsquo;une violente agression dans les rues de Collioure. Le monde de la presse, avec qui il travaille r&eacute;guli&egrave;rement (<em>Lib&eacute;ration</em>, <em>Le Monde</em>, <em>Courrier international</em>&hellip;), s&rsquo;en fait alors largement l&rsquo;&eacute;cho. Ces coups ont laiss&eacute; David lourdement infirme, interrompant sa vie de photographe. Aphasique, il est pourtant rest&eacute; ce qu&rsquo;il a toujours &eacute;t&eacute;&nbsp;: un &ecirc;tre lumineux dans sa relation &agrave; l&rsquo;autre et au monde.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735594/aa3ae19d-b9a4-4fe2-b82c-9a21f6efc0ba.jpg" width="100%" /></p> <p>Avec David, nous souhaitons aujourd&rsquo;hui donner forme &agrave; ce travail subtil et intemporel par la publication de cet ouvrage, &agrave; la r&eacute;alisation duquel vous &ecirc;tes chaleureusement convi&eacute;s.</p> <p style="text-align:center">&bull;</p> <h3>Le photographe</h3> <p><strong>David Sauveur </strong>est un photographe fran&ccedil;ais n&eacute; en 1974 &agrave; Dinard, membre de l&rsquo;Agence VU&rsquo; depuis 2001. Il est l&rsquo;auteur, jusqu&rsquo;&agrave; son agression en 2011, de nombreux reportages parus dans presse nationale et internationale sur des conflits et sujets de soci&eacute;t&eacute;.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735595/21aa6ac6-b544-4cc3-a00b-62feb896f7e4.jpg" width="100%" /></p> <hr /> <h2>Le Livre <em>To The Last Path</em></h2> <blockquote> <p>Un jour, assis sur les toits de J&eacute;rusalem, regardant au loin la fum&eacute;e des combats, j&rsquo;ai fini par fermer les yeux pour me fondre dans les bruits de la vieille ville&hellip; Ouvrant une porte du temps, je songeai &agrave; ce qui le traverse, laissant vibrer en moi les sons, les parfums, la sensation de ma main sur la pierre. J&rsquo;ai compris que la vie n&rsquo;est qu&rsquo;un r&ecirc;ve et que nous sommes &eacute;ternels.</p> <p>&ndash; David Sauveur</p> </blockquote> <h3><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735596/cd996a53-a3ea-4f6e-b6df-f16936c212b4.jpg" width="100%" /></h3> <p>Le titre du livre, <strong><em>To The Last Path</em></strong>, fait r&eacute;f&eacute;rence au chemin qu&#39;aurait emprunt&eacute; J&eacute;sus lors de sa crucifixion (&laquo;&nbsp;Chemin de croix&nbsp;&raquo;), indiqu&eacute; partout dans la vieille ville de J&eacute;rusalem.</p> <h3>Ce qu&#39;&eacute;crivait David Sauveur sur son travail en 2005</h3> <p>C&rsquo;est le printemps, les brumes de mai, blanches et lumineuses, enveloppent la vielle ville. &Agrave; l&rsquo;aube je suis assis face &agrave; elle de l&rsquo;autre c&ocirc;t&eacute; de la vall&eacute;e du Kidron, &agrave; guetter la lumi&egrave;re du petit jour. Les premiers rayons du soleil caressent d&eacute;j&agrave; le D&ocirc;me du Rocher. Pour le Livre, J&eacute;rusalem est le d&eacute;but et la fin. Le d&eacute;but c&rsquo;est l&agrave;-bas, sous le d&ocirc;me dor&eacute;&nbsp;: la premi&egrave;re pierre cr&eacute;&eacute;e par Dieu, o&ugrave; r&eacute;side la pr&eacute;sence divine sur terre, le rocher d&rsquo;Abraham. Moi, je suis assis sur le Mont des oliviers, le mont des fous qui attendent le retour du messie venu annoncer la fin des temps. &Agrave; chacun sa l&eacute;gende, qui se superpose aux autres. Cette vall&eacute;e c&rsquo;est l&rsquo;entre-deux&hellip;</p> <p>C&rsquo;est une belle journ&eacute;e qui commence et je d&eacute;vale le flanc de la colline, la pente qui me s&eacute;pare des remparts, &agrave; rebours de la proph&eacute;tie, pour attraper la lumi&egrave;re avec mon Polaroid. Levant les yeux vers l&rsquo;angle du mur des remparts, je vois la proue d&rsquo;un grand navire qui traverse le temps, emportant avec lui une part de la m&eacute;moire des hommes et leur d&eacute;sir d&rsquo;un Dieu. Par les ruines sur les flancs du mont Moriah, je marche vers les jardins aux fontaines magiques comme un p&egrave;lerin ou un guerrier au temps du repos, retournant battre dans le c&oelig;ur du monde. J&eacute;rusalem.</p> <p>Je suis venu retrouver les r&eacute;cits de mon grand-p&egrave;re, qui raconte comme personne la J&eacute;rusalem ancienne, mais qui ne veut pas les &eacute;crire. Je cours apr&egrave;s du r&ecirc;ve, au del&agrave; du temps. Je vais vers les sombres ruelles trou&eacute;es de lumi&egrave;re, les jardins d&rsquo;Al-Aqsa aux fontaines magiques, j&rsquo;enjambe les cicatrices de l&rsquo;histoire, j&rsquo;&eacute;coute parler les vieilles pierres.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/731009/b0df3f08-6505-4905-9691-a600e816f16d.jpg" width="100%" /></p> <p>Ce travail est un portrait de la vieille ville de J&eacute;rusalem&nbsp;au Polaroid 600. J&rsquo;ai choisi un format qui ne soit pas celui du reportage, afin de proposer un regard en rupture sur une ville qui est peut-&ecirc;tre la plus photographi&eacute;e de la plan&egrave;te.</p> <p>C&rsquo;est un travail lent, qui prend sens avec le temps. J&eacute;rusalem, sans cesse boulevers&eacute;e par l&rsquo;histoire, vit diff&eacute;rentes &eacute;poques &agrave; la fois. Le Polaroid me permet &eacute;galement par sa convivialit&eacute; et son aspect &ldquo;amateur&rdquo; de passer des portes habituellement ferm&eacute;es aux visiteurs dans une ville o&ugrave; chaque communaut&eacute; pr&eacute;serve ses secrets. C&rsquo;est ainsi que je dois retourner boire le caf&eacute; chez les Coptes, visiter les anciennes commanderies de la chevalerie &eacute;sot&eacute;rique sous le quartier arm&eacute;nien, et piquer trois poils de barbe au grand mufti d&rsquo;Al Aqsa, ainsi que d&rsquo;autres choses dont je ne peux parler car peut-&ecirc;tre de vieux d&eacute;mons endormis attendent leur heure, cach&eacute;s sous les pierres du temple&hellip;</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/731013/8d407447-1e87-4c7f-9a1a-016e535db3cc.jpg" width="100%" /></p> <h3>L&rsquo;analyse d&rsquo;un historien, grand connaisseur de J&eacute;rusalem</h3> <p>Nous avons propos&eacute; &agrave; Vincent Lemire, directeur du Centre de recherche fran&ccedil;ais &agrave; J&eacute;rusalem, d&rsquo;&eacute;crire le texte du livre. Il a accept&eacute;. Historien, sp&eacute;cialiste de la ville, il a notamment collabor&eacute; au film documentaire de Mariana Otero, <em>Histoire d&rsquo;un regard</em>, consacr&eacute; au photographe Gilles Caron et notamment aux images qu&rsquo;il a r&eacute;alis&eacute;es pendant la guerre des Six Jours.</p> <p>N&eacute; en 1973 &agrave; Paris, <strong>Vincent Lemire</strong> est ma&icirc;tre de conf&eacute;rences en histoire contemporaine, directeur du Centre de recherche fran&ccedil;ais &agrave; J&eacute;rusalem. Ses travaux portent sur J&eacute;rusalem et le Proche-Orient contemporain, l&rsquo;histoire environnementale, l&rsquo;histoire de la photographie et l&rsquo;histoire du patrimoine. Il a notamment publi&eacute;&nbsp;<em>J&eacute;rusalem 1900, la ville-sainte &agrave; l&rsquo;&acirc;ge des possibles</em>&nbsp;(Armand Colin 2012, Prix Augustin Thierry 2013, r&eacute;&eacute;d. Points-Seuil 2016)&nbsp;; il a r&eacute;cemment dirig&eacute;&nbsp;<em>J&eacute;rusalem. Histoire d&rsquo;une ville-monde</em>&nbsp;(Champs-Flammarion, 2016, Prix Pierre Lafue 2017) et&nbsp;<em>Le Moyen-Orient de 1876 &agrave; 1980</em>&nbsp;(Armand-Colin, 2016).</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/731035/a350aa1a-3f2d-4b34-a41a-4d8e4508ad85.jpg" width="100%" /></p> <blockquote> <p>L&rsquo;infinie beaut&eacute; du monde dans 10 cm2.<br /> Tellement, condens&eacute; dans un si petit p&eacute;rim&egrave;tre.<br /> Peut-&ecirc;tre est-ce l&agrave; que r&eacute;sident la force et la beaut&eacute; qui s&rsquo;en d&eacute;gagent.<br /> Un halo c&eacute;leste. Elles semblent &eacute;mettre d&rsquo;elles-m&ecirc;mes leur propre lumi&egrave;re,<br /> leur propre &eacute;nergie.</p> <p><em>&ndash; Mathilde Sauveur</em></p> </blockquote> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735598/717262c6-9cba-46b6-95e5-58b7885b8b19.JPG" width="100%" /></p> <hr /> <h3>&nbsp;</h3> <h3>Caract&eacute;ristiques du livre</h3> <p><strong>Dimensions</strong> 22,5 x 22,5 cm<br /> 96 pages<br /> 70 photographies en couleurs<br /> <strong>Texte</strong> bilingue fran&ccedil;ais/anglais<br /> <strong>Couverture</strong> cartonn&eacute;e, toil&eacute;e, marquage &agrave; chaud<br /> <strong>Impression</strong> en quadrichromie sur papier couch&eacute; 170 g<br /> <strong>Prix public</strong> : 32 &euro;<br /> <strong>ISBN</strong> 978-2-36744-159-7</p> <p><strong>En librairie</strong> le 1er octobre 2021</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735605/ef8bd91d-6266-4240-82c0-ed2017d17967.jpg" width="100%" /></p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735606/446915f8-654e-46f1-a5cb-a4eb53d9c3f6.jpg" width="100%" /></p> <p>&nbsp;</p> <p style="text-align:center">&bull;</p> <h3>L&rsquo;auteur</h3> <p><strong>David Sauveur </strong>est un photographe fran&ccedil;ais n&eacute; en 1974 &agrave; Dinard, membre de l&rsquo;Agence VU&rsquo; depuis 2001. Il est l&rsquo;auteur de nombreux reportages sur des conflits et sujets de soci&eacute;t&eacute; parmi lesquels la deuxi&egrave;me Intifada (2000-2008), le conflit isra&eacute;lo-libanais, la guerre d&rsquo;Afghanistan, les mouvements &eacute;tudiants en France (2006), &laquo;&nbsp;Youth&nbsp;&raquo;, un documentaire sur la jeunesse (2004-2007), plusieurs sujets en Afrique de l&rsquo;ouest,&nbsp;Sierra-Leone, Niger, B&eacute;nin, Burkina-Faso, Mauritanie, Sao-Tom&eacute; (2002-2007), J&eacute;rusalem (2000-2004), le Kosovo (1999), diff&eacute;rents sujets soci&eacute;taux, politiques ou d&rsquo;actualit&eacute; en France, la r&eacute;volte Zapatiste au Mexique (1994-2000)&hellip;</p> <p>Ses images ont paru dans la presse nationale et internationale&nbsp;: <em>Le Monde</em>, <em>Courrier international</em>, <em>Le Monde diplomatique</em>, <em>Lib&eacute;ration</em>, <em>Paris Match</em>, <em>Newsweek</em> (&Eacute;tats-Unis), <em>Stern</em> (Allemagne), <em>La Vanguardia</em> (Italie), <em>Ogoniok</em> (Russie), <em>Afisha</em> (Russie)&hellip;</p> <p>Son travail personnel au Polaroid (<em>To The Last Path</em> &agrave; J&eacute;rusalem, <em>Et puis plus rien que le bruit du vent</em> &agrave; Saint-Malo, ou au 24 x 36 mm (<em>Sans nom</em>, sur le Tao), lui a valu d&rsquo;entrer dans plusieurs collections publiques nationales &agrave; partir de 2012. Il aime aussi collaborer avec d&rsquo;autres artistes, musiciens, chor&eacute;graphes, r&eacute;alisateurs ou plasticiens.</p> <p>Il a particip&eacute; &agrave; de multiples colloques, jurys, festivals et conf&eacute;rences sur la photographie et le journalisme&nbsp;: Maison europ&eacute;enne de la photographie (Paris), Rencontres d&rsquo;Arles, Festival du scoop et du journalisme (Angers), Centre de formation et documentation (CFD-Paris), Les Champs-libres (Rennes), Festival Travelling (Rennes), Fondation World Press Photo (Amsterdam), Festival Visa pour l&rsquo;image (Perpignan), &Eacute;cole nationale de la photographie (Arles).</p> <p>En ao&ucirc;t 2011, une agression violente dans les rues de Collioure (Pyr&eacute;n&eacute;es-Orientales) le laisse lourdement infirme. Il n&rsquo;a plus photographi&eacute; depuis.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/735604/bce2de53-aa10-4550-8704-9b553a9bda95.JPG" width="100%" /></p> <h3 style="text-align:center">&bull;</h3> <h3>L&#39;Agence VU&#39;</h3> <p>Agence fran&ccedil;aise de photographes, <a href="https://agencevu.com/" target="_blank">VU&rsquo;</a> affirme et d&eacute;fend chaque jour depuis 35 ans son ambition originale : r&eacute;v&eacute;ler, accompagner et faire d&eacute;couvrir les regards singuliers d&rsquo;auteur-photographes.</p> <p>De l&rsquo;actualit&eacute; imm&eacute;diate &agrave; l&rsquo;enqu&ecirc;te au long cours, de l&rsquo;&oelig;uvre formelle au r&eacute;cit intimiste, de la photographie argentique au projet multimedia, VU&rsquo; dresse le panorama pluriel d&rsquo;une photographie d&rsquo;auteur vivante qui interroge le monde contemporain.</p> <p>Avec plus de trente &laquo;&nbsp;membres&nbsp;&raquo; et plus de quatre-vingt photographes qui lui ont confi&eacute; la distribution de leurs travaux, VU&rsquo; collabore aussi bien avec des talents &eacute;mergents qu&rsquo;avec des laur&eacute;ats de prix prestigieux (World Press Photo, Prix Leica-Oscar Barnack, W. Eugene Smith Award, Prix Ni&eacute;pce, Prix Nadar, Prix Henri Cartier-Bresson, Prix Picture Of the Year, Visa d&rsquo;or, Prix Carmignac, etc).</p> <p>Si sa filiation documentaire est assum&eacute;e &ndash; l&rsquo;agence est cr&eacute;&eacute;e en 1986 au sein du service photo de Lib&eacute;ration et baptis&eacute;e en r&eacute;f&eacute;rence au c&eacute;l&egrave;bre magazine &eacute;ponyme des ann&eacute;es 30 &ndash; VU&rsquo; a ouvert son territoire d&rsquo;expression &agrave; d&rsquo;autres styles et d&rsquo;autres champs que celui la presse nationale et internationale, tissant des liens p&eacute;rennes avec les acteurs du monde de l&rsquo;&eacute;dition, de la culture, des entreprises, des ONG et des institutions.</p> <p>Laboratoire permanent de r&eacute;flexion sur les &eacute;volutions du monde de l&rsquo;image, VU&rsquo; poursuit son engagement pour la valorisation de la photographie aupr&egrave;s de tous les publics avec l&rsquo;organisation de rencontres et conf&eacute;rences, la vente de tirages de collection ( <a href="http://galerievu.com/">Galerie VU&rsquo;</a>) et d&rsquo;ouvrages, d&rsquo;&eacute;ditions sp&eacute;ciales, limit&eacute;es ou rares (<a href="https://laboutiquevu.com/en/">La Boutique VU&rsquo;</a>), et l&rsquo;organisation de formations (<a href="https://agencevu.com/en/vu-education/">VU&rsquo; Education</a>).</p> <p style="text-align:center">&bull;</p> <h3>Le Bec en l&rsquo;air</h3> <p>Le Bec en l&rsquo;air est une maison d&rsquo;&eacute;dition ind&eacute;pendante fond&eacute;e en 2000, bas&eacute;e &agrave; Marseille, et sp&eacute;cialis&eacute;e dans le livre de photographie.</p> <p>Son catalogue de plus de 200 titres comprend les monographies de Denis Brihat, les livres les plus r&eacute;cents de Denis Dailleux, l&rsquo;Alg&eacute;rie de Marc Riboud, ainsi que des &eacute;critures photographiques aussi vari&eacute;es que celles de Jane Evelyn Atwood, Bruno Boudjelal, Jean-Christian Bourcart, St&eacute;phane Couturier, Payram, Fr&eacute;d&eacute;ric Lecloux ou, parmi les talents &eacute;mergents, Arko Datto, Yohanne Lamoul&egrave;re, Shinji Nagabe, Fr&eacute;d&eacute;ric Stucin&hellip;</p> <p>Qu&rsquo;il s&rsquo;agisse de pr&eacute;occupations documentaires, esth&eacute;tiques ou intimistes, un point commun r&eacute;unit les publications de la maison : le dialogue entre texte et photographie pens&eacute; comme outil de questionnement du monde contemporain.</p> <p>Les textes, souvent bilingues anglais/fran&ccedil;ais, sont confi&eacute;s &agrave; des romanciers, essayistes ou critiques d&rsquo;art tels Christian Caujolle, Fran&ccedil;ois Cheval, Laurent Gaud&eacute;, Marie-H&eacute;l&egrave;ne Lafon, Yanick Lahens, Elias Sanbar, Yoko Tawada, Alice Zeniter&hellip;</p> <p>La maison d&rsquo;&eacute;dition est associ&eacute;e &agrave; plusieurs &eacute;v&eacute;nements dont elle r&eacute;alise les catalogues : festival Circulation(s) &agrave; Paris, ImageSinguli&egrave;res &agrave; S&egrave;te, Prix Maison Blanche &agrave; Marseille&hellip;</p> <p>En 2018, Le Bec en l&rsquo;air a &eacute;dit&eacute; le livre issu de la commande publique en photographie du minist&egrave;re de la Culture sur la jeunesse en France (<em>Jeunes-G&eacute;n&eacute;rations</em>) et, en 2021, le second volume d&rsquo;une publication annuelle recensant les acquisitions photographiques dans les collections publiques (<em>+Photographie</em>), ouvrage co&eacute;dit&eacute; avec le minist&egrave;re de la Culture.</p> <p>Le Bec en l&rsquo;air a re&ccedil;u le Prix Nadar-Gens d&rsquo;images en 2015 pour <em>Alg&eacute;rie, clos comme on ferme un livre&nbsp;?</em> de Bruno Boudjelal ; le Prix HiP 2019 du Livre de l&rsquo;ann&eacute;e pour <em>Les M&eacute;tamorphoses de l&rsquo;argentique</em> de Denis Brihat, le Prix HiP du Premier livre 2019 pour <em>Faux Bourgs</em> de Yohanne Lamoul&egrave;re, et le Prix HiP 2020 &laquo;&nbsp;Nature et environnement&nbsp;&raquo; pour <em>Out of sight</em>, de Delphine Parodi et Yoko Tawada.</p> <p>Le Bec en l&rsquo;air est membre du France Photobook, qui r&eacute;unit une vingtaine d&rsquo;&eacute;diteurs fran&ccedil;ais ind&eacute;pendants de livres de photographie.</p> <p>La maison a &eacute;t&eacute; fond&eacute;e et est dirig&eacute;e par Fabienne Pavia, &eacute;ditrice, et Dominique Herbert, directeur artistique.</p> <p><a href="https://www.becair.com" target="_blank">www.becair.com</a></p> <p style="text-align:center">&bull;</p> <h3>&Eacute;v&eacute;nements</h3> <p>Une premi&egrave;re version de <em>To the Last Path</em> a &eacute;t&eacute; montr&eacute;e au Centre Georges Brassens &agrave; Angers en 2006 et, dans le cadre de <em>Confronting Views</em>, exposition collective sur la Palestine en collaboration avec entre autres Larry Towell, Paolo Pellegrin, Bruno Stevens et Antoine d&rsquo;Agata, au festival Noorderlicht (Groningen, Pays-Bas, 2002) et &agrave; la Photographer&rsquo;s Gallery (Londres, Royaume-Uni, 2003). En 2009, dans le cadre du festival Travelling de Rennes consacr&eacute; &agrave; J&eacute;rusalem, a eu lieu un concert film&eacute;.</p> <p>&Agrave; l&rsquo;occasion de la parution du livre, une s&eacute;ance de signature du livre <em>To the Last Path</em> aura lieu &agrave; la galerie VU&rsquo; en septembre&nbsp; 2021. D&rsquo;autres &eacute;v&eacute;nements seront organis&eacute;s en fonction des conditions sanitaires.</p> <h3>Soutien</h3> <p>Ce projet est rendu possible gr&acirc;ce au soutien du <strong>laboratoire Picto</strong>.</p>

À quoi servira la collecte

L’ensemble des coûts de production du livre s’élève à 14 000 €. Cette somme couvre la photogravure, le graphisme, les droits d’auteurs pour le photographe et les écrivains, la correction des textes, le suivi de projet et l’impression, y compris le suivi de fabrication chez l’imprimeur. Fabrication Impression du livre 8 000,00 € Photogravure 1 000,00 € Graphisme 2 000,00 € Éditorial Droits d’auteurs 2 000,00 € Suivi éditorial et correction : 1 000,00 € Soit 14 000,00 € HT TVA à 5,5% Votre contribution sera directement affectée à couvrir l’impression du livre. Le reste du budget est pris en charge par : Agence VU’ : 2 500 € Le Bec en l’air : 2 500 € Si notre campagne est un succès au point de dépasser largement la somme espérée, les fonds supplémentaires serviront à produire une exposition du travail de David Sauveur destinée à accompagner le livre. a

Contreparties

Livre signé

32 €

  • 135 contributions
Livre signé par l’auteur, frais de port offerts pour la France métropolitaine.

Livraison estimée : octobre 2021

Deux livres signés

60 €

  • 29 contributions
Deux livres signés par l’auteur, tarif préachat (60 € au lieu de 64 €), frais de port offerts pour la France métropolitaine.

Livraison estimée : octobre 2021

Livre signé + 1 tirage 15 x 15 cm

120 €

  • 5 contributions
Livre signé par l’auteur + 1 tirage 15 x 15 cm lambda signé, frais de port offerts pour la France métropolitaine.

Livraison estimée : octobre 2021

Livre signé + 1 tirage 24 x 24 cm

250 €

  • 5 contributions
Livre signé par l’auteur + 1 tirage 24 x 24 cm lambda signé, frais de port offerts pour la France métropolitaine.

Livraison estimée : octobre 2021

Livre signé + 1 tirage 24 x 24 cm

250 €

  • 4 contributions
Livre signé par l’auteur + 1 tirage 24 x 24 cm lambda signé, frais de port offerts pour la France métropolitaine.

Livraison estimée : octobre 2021

Livre signé + 1 tirage 24 x 24 cm

250 €

  • 1 contribution
Livre signé par l’auteur + 1 tirage 24 x 24 cm lambda signé, frais de port offerts pour la France métropolitaine.

Livraison estimée : octobre 2021

Livre signé + 1 tirage 25 x 25 cm limité

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    Livre signé par l’auteur + 1 tirage 25 x 25 cm signé et numéroté, limité à 7 exemplaires, tiré sur papier Hahnemühle Fine Art, frais de port offerts pour la France métropolitaine

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    Livre signé + 1 tirage 25 x 25 cm limité

    500 €

      Livre signé par l’auteur + 1 tirage 25 x 25 cm signé et numéroté, limité à 7 exemplaires, tiré sur papier Hahnemühle Fine Art, frais de port offerts pour la France métropolitaine

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      • 3 contributions
      Livre signé par l’auteur + 1 tirage 25 x 25 cm signé et numéroté, limité à 7 exemplaires, tiré sur papier Hahnemühle Fine Art, frais de port offerts pour la France métropolitaine

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