Dopo la Notte oscura

Un film documentaire sur la poétesse mystique Ilaria Caputi. En phase de post-production… Aidez-nous à financer le bouclage du film !

Visuel du projet Dopo la Notte oscura
Réussi
40
Contributions
20/02/2018
Date de fin
2 355 €
Sur 1 500 €
157 %

Dopo la Notte oscura

<p><strong>R&eacute;sum&eacute;&nbsp;du film : </strong></p><p>Allong&eacute;e sur son divan, par&eacute;e de ses plus beaux bijoux, Ilaria Caputi, 70 ans, mais encore belle, &eacute;l&eacute;gante, gracieuse, toute de rose et de satin blanc v&ecirc;tue (prude <em>Olympia</em>&hellip;), s&rsquo;appr&ecirc;te pour la derni&egrave;re fois &agrave; para&icirc;tre en sc&egrave;ne.</p><p>C&rsquo;est qu&rsquo;en effet Ilaria va mourir. Et elle le sait. Mais celle qui fut actrice veut rester belle sous l&rsquo;&oelig;il de la cam&eacute;ra. <em>Vanit&agrave; delle </em><em>vanit&agrave;</em>, comme le laisserait sugg&eacute;rer le cr&acirc;ne pr&egrave;s duquel s&rsquo;abandonne <em>Marie-Madeleine repentante</em> sur l&rsquo;un des tableaux de son salon ?<em> </em>Sans doute, mais l&rsquo;essentiel n&rsquo;est pas l&agrave;.<br />&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478795/images1bis-1516038331.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>&Agrave; la veille de sa mort, la po&eacute;tesse mystique napolitaine nous re&ccedil;oit chez elle et, en v&eacute;ritable diva, nous raconte l&rsquo;histoire de sa vie ponctu&eacute;e par la lecture, mise en fiction dans les rues de Naples, de quelques-uns de ses plus vibrants po&egrave;mes. Envo&ucirc;tante, tr&egrave;s th&eacute;&acirc;trale &ndash; imaginez Th&eacute;r&egrave;se d&rsquo;Avila dans le corps de Sophia Loren&nbsp;! &ndash; elle &eacute;voque ainsi sur tous les tons (lyrique, path&eacute;tique, pol&eacute;mique, mais aussi comique, ironique) quel fut son parcours de femme&nbsp;: ses travaux intellectuels, ses &eacute;lans po&eacute;tiques, ses passions amoureuses et, v&eacute;ritable fil rouge de son r&eacute;cit testamentaire, ses tourments filiaux. Sa relation au <em>p&egrave;re</em> donc &ndash; &agrave; &laquo;&nbsp;Dieu&nbsp;&raquo; comme &agrave; &laquo;&nbsp;papa&nbsp;&raquo;, puisque l&rsquo;un l&rsquo;autre se font depuis toujours &eacute;cho chez Ilaria et que, pour elle, le sentiment religieux s&rsquo;incarne au c&oelig;ur m&ecirc;me de son roman familial.</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478393/DLNOc-1515942207.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>&OElig;dipienne, spirituelle, l&rsquo;histoire de ce double rapport est bien s&ucirc;r tr&egrave;s &eacute;quivoque et, t&ocirc;t contrari&eacute;e, alternera jusqu&rsquo;&agrave; la fin les p&eacute;riodes de joies contemplatives et les moments d&rsquo;abandons. Ces derniers, v&eacute;ritables situations d&rsquo;absence de Dieu dans la vie du croyant, les mystiques, depuis Jean de la Croix, l&rsquo;appellent <em>Nuit obscure </em>(<em>Notte oscura</em>). Ilaria aussi. Et, comme eux, dans le temps long de son histoire de vie, elle nous fait le r&eacute;cit de <em>sa</em> Nuit obscure jusqu&rsquo;&agrave; sa r&eacute;conciliation finale avec ce Dieu-le-p&egrave;re prodigue qui lui fera enfin retour &agrave; l&rsquo;annonce, paradoxale mais providentielle, de son cancer. Un cancer qu&rsquo;elle qualifie pour cela-m&ecirc;me de &laquo;&nbsp;gr&acirc;ce&nbsp;&raquo; et de v&eacute;ritable &laquo;&nbsp;b&eacute;n&eacute;diction&nbsp;&raquo;.&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><iframe src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fplayer.vimeo.com%2Fvideo%2F251552992&amp;dntp=1&amp;url=https%3A%2F%2Fvimeo.com%2F251552992&amp;image=https%3A%2F%2Fi.vimeocdn.com%2Fvideo%2F677947554_1280.jpg&amp;key=8b7d8dd6504d41af9a77662672aabc2a&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=vimeo" scrolling="no" allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" width="500"></iframe></p><p>&nbsp;</p><p><strong>Gen&egrave;se du projet</strong> <strong>: </strong></p><p><em>&laquo;&nbsp;Allo, Julien&nbsp;?! C&rsquo;est la fin&hellip; Ilaria entre en stade terminal. Alors, si tu souhaites toujours faire quelque chose, c&rsquo;est le moment&nbsp;&raquo;</em>.<em>&nbsp;</em>Au t&eacute;l&eacute;phone, de Naples o&ugrave; elle m&rsquo;appelle, la ni&egrave;ce de celle qui se meurt m&rsquo;informe de l&rsquo;aggravation subite du cancer de sa tante, du pronostic alarmiste de l&rsquo;oncologue et de l&rsquo;urgence de me rendre l&agrave;-bas sans attendre si je veux r&eacute;aliser son interview.</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478401/DLNOd-1515942781.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>&Agrave; cette &eacute;poque, nous &eacute;tions en octobre 2015, Ilaria Caputi n&rsquo;&eacute;tait encore pour moi gu&egrave;re plus qu&rsquo;une &eacute;vocation&nbsp;: un personnage de l&eacute;gendes, une arl&eacute;sienne &ndash; fantasque, baroque, toute enti&egrave;re faite d&rsquo;histoires et d&rsquo;anecdotes entendues &ccedil;a et l&agrave; &agrave; son propos. Un personnage de r&eacute;cits donc&nbsp;; mais dont les r&eacute;cits proprement dits en faisaient une figure tout aussi impressionnante qu&rsquo;h&eacute;t&eacute;roclite.</p><p>Certes, le <em>curriculum vitae</em> &eacute;tait d&eacute;concertant : elle avait &eacute;t&eacute; actrice &agrave; ses d&eacute;buts, sous la direction de nombreux r&eacute;alisateurs,<em> </em>professeure de langue &agrave; Harvard (une v&eacute;ritable polyglotte, parlant pr&egrave;s de quinze idiomes), traductrice attach&eacute;e &agrave; la Commission europ&eacute;enne, journaliste d&rsquo;investigation aupr&egrave;s du <em>Corriere della Sera</em>, documentariste pour le <em>National Geographic </em>ou le non moins prestigieux <em>National Institutes of Health</em>&hellip; Mais Ilaria &eacute;tait encore autre chose qu&rsquo;un mod&egrave;le de r&eacute;ussite professionnelle &ndash; ce qui, en tant que femme n&eacute;e dans les ann&eacute;es 40, n&rsquo;est toutefois pas si commun &ndash; et autre chose encore que la grande mondaine au sujet de laquelle se murmurait potins et autres excentricit&eacute;s de salon. (Ne la savait-on pas famili&egrave;re avec un tel, prix Nobel&nbsp;? L&rsquo;amante secr&egrave;te d&rsquo;un autre, pr&eacute;sident ?).</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478402/DLNOe-1515942822.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>Non, c&rsquo;&eacute;tait autre chose encore&nbsp;: Ilaria Caputi avait la r&eacute;putation d&rsquo;&ecirc;tre une mystique, et de cela j&rsquo;&eacute;tais particuli&egrave;rement int&eacute;ress&eacute;. En effet, si la pi&eacute;t&eacute; transalpine est bien connue, le mouvement de s&eacute;cularisation &agrave; l&rsquo;&oelig;uvre depuis ces deux derniers si&egrave;cles sur tout le continent europ&eacute;en op&egrave;re comme une telle lame de fond que tout ce qui y r&eacute;siste s&rsquo;attache, pour le moins, une certaine curiosit&eacute;. Or, il s&rsquo;agissait l&agrave; de bien plus que cela. Ilaria Caputi n&rsquo;&eacute;tait pas <em>croyante</em> &ndash; comme il convient de d&eacute;signer par cette expression le standard du sentiment religieux. Non. On disait Ilaria <em>&agrave; tu et &agrave; toi</em> avec Dieu lui-m&ecirc;me&nbsp;; po&eacute;tesse&nbsp;de la transcendance ; on parlait d&rsquo;elle comme d&rsquo;une orante chez qui la po&eacute;sie est pri&egrave;re, et v&eacute;ritable traduction d&rsquo;une contemplation de Dieu&nbsp;!</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478797/images2-1516038663.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>Alain et moi sommes donc partis&nbsp;; navr&eacute;s de notre impr&eacute;paration mais convaincus de la n&eacute;cessit&eacute; d&rsquo;enregistrer sur bande la derni&egrave;re interview de cette femme qui, pour avoir &eacute;t&eacute; actrice et certainement nostalgique de l&rsquo;ambiance des studios, serait, je supposais, non seulement &agrave; l&rsquo;aise mais encore tr&egrave;s flatt&eacute;e &agrave; l&rsquo;id&eacute;e d&rsquo;un testament film&eacute;.</p><p>L&rsquo;intuition avait &eacute;t&eacute; bonne : pr&eacute;par&eacute;e &agrave; l&rsquo;imminence de sa mort, elle avait rod&eacute; sa prestation et, en ancienne habitu&eacute;e des cam&eacute;ras, elle avait encore soigneusement organis&eacute; la mise en sc&egrave;ne de son spectacle. Maigre, le visage fatigu&eacute; par les fi&egrave;vres et la maladie, Ilaria, <em>pour sa derni&egrave;re</em>, souhaitait pourtant para&icirc;tre belle, comme elle l&rsquo;avait &eacute;t&eacute;. Et elle le fut. Finement maquill&eacute;e, par&eacute;e de ses plus beaux bijoux et &eacute;l&eacute;gamment v&ecirc;tue d&rsquo;une robe de satin blanc, c&rsquo;est en v&eacute;ritable diva qu&rsquo;elle nous est apparue pour s&rsquo;allonger &ndash; &agrave; la fa&ccedil;on d&rsquo;<em>Olympia</em> &ndash; sur son divan.</p><p>J&rsquo;attendais une malade&nbsp;; j&rsquo;&eacute;tais pris &agrave; contre-pied.</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478798/images3-1516038814.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>Je me souviens lui avoir aussit&ocirc;t dit la trouver tr&egrave;s belle et, afin d&rsquo;&eacute;tablir un rapport d&rsquo;intimit&eacute; entre nous, avant d&rsquo;entrer dans le vif du sujet, je me rappelai &agrave; elle en mentionnant notre pr&eacute;c&eacute;dente &ndash; et unique &ndash; rencontre chez ses parents. <em>&laquo;&nbsp;Oui, c&rsquo;&eacute;tait il y a quelques ann&eacute;es,&nbsp;en effet. Juste avant le d&eacute;c&egrave;s de Papa &raquo;</em>, m&rsquo;avait-elle r&eacute;pondu. Je ne le mesurais pas sur le coup mais, plus tard, je compris que ce d&eacute;tail de circonstance n&rsquo;avait rien de fortuit&nbsp;: la relation au p&egrave;re &eacute;tant non seulement pour elle l&rsquo;entr&eacute;e en mati&egrave;re qu&rsquo;elle avait souhait&eacute;e pour d&eacute;buter notre entretien mais encore le point de mire qu&rsquo;elle s&rsquo;appliquerait &agrave; garder pour se raconter&nbsp;: ses amours, ses ambitions professionnelles, ses effusions spirituelles&hellip; Et, partant, sa relation &agrave; Dieu. Dieu que l&rsquo;on dit &laquo;&nbsp;P&egrave;re&nbsp;&raquo;&nbsp;! Car c&rsquo;&eacute;tait tout un chez Ilaria&nbsp;: le sentiment religieux s&rsquo;incarnant m&eacute;taphoriquement chez elle dans le roman familial, son rapport &agrave; Dieu se calquait sur son rapport au p&egrave;re.</p><p>Pour elle, l&rsquo;un comme l&rsquo;autre pouvaient logiquement se comparer &agrave; &laquo;&nbsp;une histoire d&rsquo;amour&nbsp;&raquo;, tourment&eacute;e et, comme de juste, faites de moments de joie et de moments de peine, de p&eacute;riodes de ravissements et de grands d&eacute;sespoirs.</p><p>Ce sentiment d&rsquo;abandon de Dieu, de d&eacute;sesp&eacute;rance, de d&eacute;r&eacute;liction, Ilaria, comme tous les mystiques &agrave; la suite du carm&eacute;lite Jean de la Croix qui, le premier, le formula ainsi au XVI&egrave;me si&egrave;cle, l&rsquo;appelle &laquo;&nbsp;Nuit obscure&nbsp;&raquo;&nbsp;; <em>Notte oscura</em> comme elle le dit dans sa langue. Ce concept, v&eacute;ritable point de fixation de l&rsquo;interview, op&egrave;re comme un trait d&rsquo;union pour discuter du double rapport d&rsquo;Ilaria &agrave; Dieu et &agrave; son p&egrave;re.</p><p>Il nous servit aussi logiquement de guide pour l&rsquo;&eacute;criture du montage.</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478404/DLNOi-1515942966.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>Plusieurs intentions guidaient donc nos choix. Nous esp&eacute;rons que le film s&rsquo;en fera l&rsquo;&eacute;cho. En de&ccedil;&agrave; (ou au-del&agrave;, c&rsquo;est selon) de celles-ci demeurent, quoiqu&rsquo;il en soit, le portrait d&rsquo;une femme d&rsquo;exception &ndash; battante, col&eacute;rique, amoureuse, fatale, myst&eacute;rieuse ! &ndash; et, par cela m&ecirc;me aussi, le portrait d&rsquo;une femme universelle : de la femme dans son rapport &agrave; l&rsquo;homme et de la fille dans son rapport au p&egrave;re.</p><p>De la m&egrave;re dans son rapport au fils&nbsp;? Sans doute aussi. Ilaria mourant sans enfant d&rsquo;un cancer de l&rsquo;ut&eacute;rus, il me plaisait, &agrave; moi qui l&rsquo;interview et qui appara&icirc;t momentan&eacute;ment dans le film en contrechamp, de se sentir un peu l&rsquo;h&eacute;ritier.</p><p>Ilaria d&eacute;c&eacute;dera pr&egrave;s d&rsquo;un mois seulement apr&egrave;s le tournage. Elle n&rsquo;aura donc pas vu le film. Nous gageons qu&rsquo;il lui aurait plu.</p><p>&nbsp;</p><p><strong>L&#39;&eacute;quipe : </strong></p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478803/images_equipe-1516039055.jpg" /></p><p>Julien Grimaud&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Alain Boutarin</p><p>(&eacute;criture, montage)&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; &nbsp; (images, sons, montage)</p><p><br />&nbsp;</p><p><strong>Fiche technique&nbsp;:</strong></p><p>- Titre&nbsp;: DOPO LA NOTTE OSCURA</p><p>- Genre&nbsp;: Documentaire</p><p>- Ann&eacute;e&nbsp;: 2018</p><p>- Pays de production&nbsp;: France</p><p>- Dur&eacute;e : 31 minutes</p><p>- Langues&nbsp;: Fran&ccedil;ais, italien</p><p>- Sous-titrage&nbsp;: Fran&ccedil;ais</p><p>- Avec&nbsp;: Alessandra Caputi, Ilaria Caputi et Julien Grimaud</p><p>- Avec la participation de&nbsp;: Alain Boutarin et Anne Moyrand&nbsp;</p><p>- R&eacute;alisation&nbsp;: Alain Boutarin et Julien Grimaud</p><p>- &Eacute;criture, montage : Julien Grimaud</p><p>- Images, son, montage : Alain Boutarin</p><p>- Musique originale, mixage&nbsp;: Marc d&rsquo;Haussy</p><p>- Sous-titrage et bandes annonces : David Zard</p><p>- Traduction&nbsp;: Marianne Lebegge, Claude Moyrand, Anita Tatone et Giulia Boccato</p><p>&nbsp;</p>

À quoi servira la collecte

<p>Ind&eacute;pendants et autonomes depuis le d&eacute;but de cette aventure, nous sommes aujourd&rsquo;hui parvenus &agrave; un stade o&ugrave;, pour sa prochaine &eacute;tape, notre projet de film n&eacute;cessite un soutien de votre part. En effet, le film que nous r&eacute;alisons est en passe de voir le jour mais si jusqu&rsquo;ici le co&ucirc;t, en temps comme en argent (tournage, montage), a pu &ecirc;tre assum&eacute; par nos propres moyens, ceux relatifs au sous-titrage et &agrave; l&rsquo;accompagnement musical &ndash; l&rsquo;un et l&rsquo;autre n&eacute;cessitant l&rsquo;intervention de professionnels du genre &ndash; repr&eacute;sentent, de fait, un co&ucirc;t incompressible que nous ne pouvons assurer seuls. Par ailleurs, l&rsquo;inscription du film en festival et son in&eacute;vitable promotion impliquent aussi un financement &agrave; anticiper, tout aussi d&eacute;terminant.</p><p>Pour tout cela, nous comptons sur vous&nbsp;!</p><p><strong>&nbsp;</strong></p><p><strong>Budget </strong>(1500&euro;)&nbsp;<strong>: </strong></p><p>- 750&euro; : mixage et cr&eacute;ation d&rsquo;un accompagnement musical<br />- 450&euro; : communication et distribution<br />- 300&euro; : sous-titrage (vostfr)<br />(Kisskissbankbank se r&eacute;servant 8% &ndash; soit 120&euro; &ndash; du total r&eacute;colt&eacute;)</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478406/DLNObudget-1515943157.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>Au nom de l&#39;&eacute;quipe, Julien Grimaud r&eacute;coltera l&#39;int&eacute;gralit&eacute; de la collecte qu&#39;il ventilera selon les postes budg&eacute;taires mentionn&eacute;s ci-dessus.</p><p>&nbsp;</p><p>Rien ne vous emp&ecirc;che de cotiser si la somme est atteinte ! L&#39;exc&eacute;dent servirait ainsi &agrave; financer la traduction et le sous-titrage du film en anglais (en vue d&#39;une inscription dans les festivals internationaux).</p><p>&nbsp;</p><p><u>Calendrier : </u></p><p>- mars / avril 2018 : finalisation des sous-titres et de la musique</p><p>- fin avril 2018 : pr&eacute;sentation du film aupr&egrave;s des festivals</p><p>- septembre 2018 : sortie du film (envisag&eacute;e)</p><p>&nbsp;</p>

Contreparties

5 €

Un grand merci sur les réseaux sociaux !

Livraison estimée : janvier 2018

10 €

  • 3 contributions
La contrepartie précédente et l'envoi d'une carte postale du film personnalisée

Livraison estimée : mai 2018

20 €

  • 8 contributions
Les contreparties précédentes et votre nom dans les remerciements au générique du film

Livraison estimée : avril 2018

30 €

  • 6 contributions
Les contreparties précédentes et l'envoi d'un code d'accès exclusif permettant le visionnage du film en avant-première

Livraison estimée : juin 2018

40 €

  • 4 contributions
Les contreparties précédentes et l'envoi du tote-bag du film

Livraison estimée : juin 2018

50 €

  • 5 contributions
Les contreparties précédentes et l'envoi du CD de la musique originale du film, composée par Marc d'Haussy.

Livraison estimée : juin 2018

65 €

  • 2 contributions
Contreparties précédentes et l'envoi du livret des quatre poèmes (en italien et en français) d'Ilaria Caputi dans le film

Livraison estimée : juin 2018

100 €

  • 9 contributions
Les contreparties précédentes et l'envoi du DVD du film

Livraison estimée : octobre 2018

130 €

  • 1 contribution
Les contreparties précédentes et une invitation à l'une des deux soirées de projection du film, prévues en France et en Italie (au choix...)

Livraison estimée : septembre 2018

300 €

  • 1 contribution
Les contreparties précédentes et votre nom au générique en qualité de producteur associé

Livraison estimée : avril 2018

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