Enfin se sentir bien !

" Enfin se sentir bien !" Voilà ce que me dit un ami qui a lu une copie du manuscrit à son allure, chapitre par chapitre.Le titre était trouvé.

Visuel du projet Enfin se sentir bien !
Échoué
6
Contributions
30/03/2016
Date de fin
107 €
Sur 6 800 €
1 %

A Little Kiss

A little Market

Les publications

<p> Le principe de la moindre-souffrance n&#39;a pas &eacute;t&eacute; encore reconnu. Ce n&#39;est pas toujours ceux qui sont les premiers &agrave; le dire qui arrivent &agrave; &ecirc;tre reconnu de tous. L&rsquo;&eacute;chec &agrave; la pr&eacute;-vente de ce livre est possible. C&rsquo;est dommage de prendre du retard sur ce rendez-vous. Ce principe changera beaucoup la donne dans plein de domaine. La politique, l&#39;organisation de la soci&eacute;t&eacute;, l&#39;organisation de sa vie.</p> <p> Ce livre explique cela sur 33 petits chapitres sur des th&egrave;mes que sont&nbsp;: la libert&eacute;, l&rsquo;&eacute;galit&eacute;, la fraternit&eacute;, la croyance, l&rsquo;importance de la mort, le renoncement, la sexualit&eacute;. A partir du moment o&ugrave; tu sais pourquoi tu vas faire cela, tu sauras te poser les bonnes questions&nbsp;: le faire o&ugrave; pas le faire&nbsp;?</p>
<p> [...]&quot; Par mon m&eacute;tier, j&#39;ai eu la chance de beaucoup&nbsp;voyager, ce fut &nbsp;mon &eacute;cole de philosophies, plus buissonni&egrave;re qu&rsquo;acad&eacute;mique.</p> <p> Au&nbsp;nord en partant d&rsquo;Iqaluit au Nunavut, jolie nom qui se trouve bien sur terre (province ind&eacute;pendante du Canada, pays des Inuits) &nbsp;jusqu&rsquo;au bout de l&#39;Afrique, au cap de Bonne Esp&eacute;rance, si bien nomm&eacute; pour celui qui aime philosopher.</p> <p> J&rsquo;ai vu un coucher de soleil, tranquillement assis sur une plage de Tahiti et son lever, fi&egrave;rement debout sur le quai du port de p&ecirc;che de Tokyo parmi les caisses de thons fraichement d&eacute;barqu&eacute;es.</p> <p> Durant ces voyages, j&rsquo;ai rencontr&eacute; l&rsquo;&ecirc;tre humain le plus digne de la terre, un enfant de sept, huit ans. Il avait pour unique v&ecirc;tement un fil de laine orange nou&eacute; &agrave; sa taille. Je le revois souvent, errant dans ma m&eacute;moire, immobile au milieu d&rsquo;une foule active d&rsquo;un march&eacute; de la banlieue de Dhaka.</p> <p> Sur les bords du Brahmapoutre, j&rsquo;ai rencontr&eacute; l&rsquo;homme le plus pauvre de la terre, ainsi se pr&eacute;sentait-il. Nous avons discut&eacute; longuement sur la mis&egrave;re et la pauvret&eacute;. Il m&rsquo;a appris &agrave; en faire la diff&eacute;rence. Le quittant, le voyant drap&eacute; de sa sagesse, je ne savais plus qui &eacute;tait le moins riche des deux.</p> <p> Une fois, allant trop loin, j&rsquo;ai d&ucirc; porter un gilet pare-balles, moi qui ne suis pas soldat. Je me promenais parmi des femmes et des enfants qui n&rsquo;en portaient pas. C&rsquo;&eacute;tait dans un matin flou de Mogadiscio, apr&egrave;s une nuit pleine de p&eacute;tarades d&rsquo;armes automatiques et de ballets d&rsquo;h&eacute;licopt&egrave;res lan&ccedil;ant des grenades &eacute;clairantes &agrave; la fa&ccedil;on d&rsquo;Apocalypse Now.</p> <p> J&rsquo;ai vu&nbsp;Damas et la grande mosqu&eacute;e des Omeyyades, avec sa relique de Jean le baptiste (saint chr&eacute;tien et aussi l&#39;un des &nbsp;proph&egrave;tes de l&rsquo;Islam &ndash; يحيى&nbsp; &nbsp;Yahya).</p> <p> J&#39;ai vu Beyrouth, dans ses ann&eacute;es obscures, traversant &agrave; la h&acirc;te, cach&eacute; dans la cabine d&rsquo;un vieux camion, les yeux grands ouverts, les camps de Sabra et Chatila.</p> <p> J&#39;ai vu J&eacute;rusalem, son mur des lamentations sur&eacute;lev&eacute; de la mosqu&eacute;e du d&ocirc;me du rocher, les juifs et les musulmans si pr&egrave;s et si loin &agrave; la fois.</p> <p> J&#39;ai vu Ramallah ses pierres et ses enfants.</p> <p> J&rsquo;ai contempl&eacute; les pyramides de Gizeh, la grande mosqu&eacute;e d&rsquo;Islamabad, les temples d&rsquo;Angkor-Vat fraichement lib&eacute;r&eacute;s des khmers rouges, le site de Teotihuac&aacute;n, le Vatican, les temples bouddhistes d&rsquo;Hano&iuml;, de Tokyo, de Bangkok, de&nbsp; Phnom Penh, et je ne sais toujours pas si Dieu existe ou pas.</p> <p> J&rsquo;ai survol&eacute; beaucoup, foul&eacute; trop peu de d&eacute;serts.</p> <p> Je suis&nbsp;pass&eacute; dans&nbsp;les pays communistes, et j&rsquo;y ai vu la tristesse d&rsquo;Alma-Ati au Kazakhstan, les petits vendeurs de cartes postales &agrave; H&ocirc;-Chi-Minh-Ville, les mendiants dans les rues de P&eacute;kin.</p> <p> Je suis descendu dans les plus grands h&ocirc;tels du monde mais aussi dans les plus petits, au gr&eacute; des missions, de la fatigue, si souvent, mauvaise conseill&egrave;re.</p> <p> Je ne dis pas cela pour me vanter, il me reste encore &ldquo;beaucoup &agrave; voir&rdquo;, &nbsp;&agrave; apprendre et encore plus &agrave; comprendre. Je le dis seulement pour offrir ce t&eacute;moignage cr&eacute;dible de dix ans de voyage : l&rsquo;&eacute;galit&eacute; n&rsquo;existe pas sur terre, du moins pas sous la forme mat&eacute;rielle, quantitativement, ou qualitativement.[...]&quot;&nbsp;</p> <p> &nbsp;</p>
<p> &nbsp;</p> <p> Un ami FB</p> <p> Merci Michel, pour ce message, en esp&eacute;rant que l&#39;avenir proche soit meilleur ! il y a urgence avant la d&eacute;cadence, comme celle du peuple romain il y a pr&egrave;s de deux mille ans...Je positive et esp&egrave;re un changement proche et obligatoire...Amicalement et bonne soir&eacute;e.</p> <p> M.Damien</p> <p> C&#39;est par&nbsp; des r&eacute;flexions philosophiques de ce monde viendra. Le premier temps est celui de la prise de conscience individuelle que nous pouvons vivre autrement en souffrant moins. Le monde c&#39;est encore tromp&eacute; de chemin commun. Ici les routes sont nombreuses, reste &agrave; trouver la bonne. Dans &quot;enfin, je me sens bien &quot; je livre 33 pistes pour mieux comprendre comment nous fabriquons des id&eacute;es, des bonnes mais aussi des mauvaises. Ce livre un ensemble d&rsquo;id&eacute;es qui tournent toutes autour de deux points.</p> <p> Nous et notre recherche de Sa moindre souffrance.</p> <p> Tous les autres pour une soci&eacute;t&eacute; nouvelle, apais&eacute;e, apaisant enfin reposante.</p> <p> Reste &agrave; faire vivre ce livre, la premi&egrave;re chance c&rsquo;est vous avec les r&eacute;seaux sociaux, vous pouvez partager le lien et multiplier les vues, la seconde sera les 400 personnes qui feront le pas de l&rsquo;acheter. Alors l&rsquo;&eacute;diteur prendra le relais et m&rsquo;&eacute;ditera pour le distribuer dans toutes les bonnes librairies.</p> <p> Il suffirait d&rsquo;un rien comme &agrave; chaque fois.</p> <p> Bonne journ&eacute;e</p>