FESTEN, Cie du Vacarme

Aidez nous à faire vivre FESTEN et venez prendre votre dose de drame au Théâtre de Ménilmontant. On vous promet du rire et des larmes.

Visuel du projet FESTEN, Cie du Vacarme
Réussi
42
Contributions
16/04/2014
Date de fin
2 540 €
Sur 2 500 €
102 %

FESTEN, Cie du Vacarme

<p> <strong>                                  </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Mille fois merci de la part de nous 15 ! Nous avons atteint les 100% ! Nous sommes très heureux de la confiance que vous nous portez et de votre enthousiasme.</strong></p> <p> <strong>Nous avons hâte de vous retrouver au Théâtre de Ménilmontant.</strong></p> <p> <strong>Si vous souhaitez encore nous soutenir financièrement, nous n'en serons que plus heureux ! En tant que jeune Compagnie, nous avons  énormément de frais comme nous vous l'avions expliqué.</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Family15" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/82472/family15.jpeg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Festen_web_copie" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66357/FESTEN_WEB_copie.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <i>Festen </i>est une pièce tirée du film danois de Thomas Vinterberg sorti en 1998 et prix du Jury au Festival de Cannes. C’est un des films fondateurs du mouvement cinématographique « Dogme 95 ».</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> A l'occasion de l'anniversaire d'Helge, une cérémonie fastueuse est donnée à l'hôtel familial. L'oncle lourdaud ressasse sa blague idiote, la dépressive met son grain de sel, le fils alcoolique et raciste n'en rate pas une... Une femme immortalise le tout sans grand discernement avec sa caméra. Au début du repas, le fils aîné porte un toast et révèle un lourd secret familial. La pièce traite de l'incrédulité de cette famille et de leur confrontation au silence. Comment la parole de Christian va-t-elle progressivement être prise en compte et entraîner le bouleversement et la désagrégation de cette famille ? Quel va être le parcours de chacun une fois cette parole entendue ?  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Nanterre_gbatokai" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66298/Nanterre_Gbatokai.jpg"></p> <p> <em>Photo de Laura Charbit, Arènes de Nanterre, 25/04/13.</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Distribution :</strong></p> <p>  </p> <p> HELGE, le père: Erik Chantry</p> <p> ELSE, la mère: Claire Salomé</p> <p> CHRISTIAN, le fils aîné: Olivier Kuhn</p> <p> LINDA, la fille morte: Laura Bolgheri</p> <p> HELENE, la fille: Pauline Lacombe</p> <p> MICHAËL, le fils cadet: Jean Tomas Ward</p> <p> METTE, la femme de Michaël: Cécile Charbit</p> <p> Oncle LEIF: Fabrice-Emmanuel Roux</p> <p> GBATOKAI, le petit ami d'Hélène: Baudouin Sama</p> <p> HELMUT, maître de cérémonie: Raphaël Jothy</p> <p> L'invitée à la caméra: Diane Dormet</p> <p> Une invitée: Sarah Mathurin</p> <p> LARS, maître d'hôtel et cuisinier: Bertrand Schol</p> <p> PIA, une bonne: Sixtine Leroy</p> <p> MICHELLE, une bonne: Marie Gallien</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Critique :</strong></p> <p>  </p> <p> " Le tableau familial en dépit de son cadre, le lourd secret de famille qui va tomber, reste très coloré et vivant. C’est un spectacle festif dans tous les sens du terme qui vaut vraiment le détour. Mis en scène par de jeunes metteures en scène pleines de promesses, il captive de bout en bout le spectateur. Il n’arrache pas les larmes mais interpelle néanmoins notre intimité, voyez-vous, ça parle de famille, de représentations lors de dîners familiaux, ça nous parle, n’importe quel rôle que nous ayons à tenir. "</p> <p>  </p> <p> Evelyne Trân, Paris, le 7 Décembre 2013.</p> <p> Blog <i>Théâtre au vent</i>, blog abonné de LeMonde.fr</p> <p>  </p> <p> (Ce lien vers l'article contient des <em>s</em><i>poilers</i>, attention!)</p> <p> <a href="http://theatreauvent.blog.lemonde.fr/2013/12/07/festen-de-thomas-vinterberg-mise-en-scene-de-laura-bolgheri-et-cecile-charbit-au-theatre-de-verre-17-rue-de-la-chapelle-75018-paris-les-567-et-8-decembre-2013-a-20-h-15/"><u>http://theatreauvent.blog.lemonde.fr/2013/12/07/festen-de-thomas-vinterberg-mise-en-scene-de-laura-bolgheri-et-cecile-charbit-au-theatre-de-verre-17-rue-de-la-chapelle-75018-paris-les-567-et-8-decembre-2013-a-20-h-15/</u></a></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Festen_sc_ne_13" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66297/Festen_sc_ne_13.jpg"></p> <p> <em>Photo de Axël Ramonet, Théâtre de Verre, 07/12/13.</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Le projet <i>Festen </i>est né dans le cadre des Travaux de Fin d’Études du Cours Florent en juin 2012. </p> <p> Les répétitions ont démarré dès décembre 2011. Toute l'équipe était alors élève des Cours Florent. L'accueil chaleureux du public nous donna envie de continuer ce projet. Après des changements de distribution, les répétitions reprirent en décembre 2012.</p> <p> Le spectacle fut ensuite accueilli par le Festival Scènes Ouvertes de la Sorbonne Nouvelle en Avril 2013 puis par le Festival des Marmites Artistiques aux Arènes de Nanterre. </p> <p> La Compagnie du Vacarme créée en Août 2013 par Cécile Charbit et Laura Bolgheri a présenté  la pièce les 5, 6,7 et 8 décembre 2013 au Théâtre de Verre. </p> <p>  </p> <p> <strong>Festen se jouera les 17,18, 24 et 25 avril 2014 au Théâtre de Ménilmontant à 21h dans la salle XXL.</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="1418425_10201756687471140_842220565_n" height="615" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66299/1418425_10201756687471140_842220565_n.jpg" width="420"><em>                                      </em></p> <p> <em>Photo de Bertrand Schol, Résidence au Théâtre de Verre, 02/11/13</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Présentation de l'équipe :</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Les_metteurs_en_sc_ne" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66531/les_metteurs_en_sc_ne.jpg"></p> <p> Laura Bolgheri, <em>metteur en scène et Linda à l'écran       </em></p> <p> Cécile Charbit, <em>metteur en scène et Mette, la femme de </em><em>Michaël</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Les_parents" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66521/Les_parents.jpg"></p> <p>       Erik Chantry, <em>Helge, le père                                                         </em></p> <p> <em>      </em>Claire Salomé, <em>Else, la mère</em>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Les_enfants" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66522/Les_enfants.jpg"></p> <p> Olivier Kuhn, <em>Christian, le fils aîné</em>                  </p> <p> Pauline Lacombe, <em>Hélène, la fille</em> <em>                          </em></p> <p> Jean Tomas Ward, <em>Michaël, </em><em>le fils cadet</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Leif_gbatokai" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66536/Leif_Gbatokai.jpg"></p> <p> Fabrice-Emmanuel Roux, <em>Oncle Leif                         </em></p> <p> Baudouin Sama, <em>Gbatokaï, le petit ami d'Héléne</em></p> <p> Raphaël Jothy, <em>Helmut, le maître de cérémonie</em><em> </em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Les_invit_s_bis" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66539/Les_invit_s_bis.jpg"></p> <p> Diane Dormet, <em>l</em><em>'invitée à la caméra  </em>                                                          </p> <p> Sarah Mathurin,<em> une invitée</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Le_staff" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66530/Le_staff.jpg"></p> <p>   Bertrand Schol, <em>Lars, le maître d'hôtel et</em> <em>cuisinier</em>                  </p> <p>   Sixtine Leroy, <em>u</em><em>ne bonne</em></p> <p>   Marie Gallien, <em>u</em><em>ne bonne</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Note d'intention des metteurs en scène :</strong></p> <p> <em>ATTENTION : ce paragraphe contient des </em><em>spoilers.</em></p> <p>  </p> <p> <i>Festen </i>est une tragédie du silence et de la mort. Le respect des trois unités donne un cadre à la violence pour se déployer. Le souvenir de Linda plane au-dessus de la tablée du « festin ». A mesure du dîner, les tensions s’intensifient et la vérité éclate : Christian dans un discours rituel fait l’aveu des viols que son père lui a fait subir à lui et à Linda. La violence du non-dit et du silence fait osciller les scènes entre immobilité et grande excitation. L’agitation devient comme l’alcool un refuge pour se terrer dans le silence. Le rythme du spectacle est soutenu et entraîne le spectateur dans une longue chute cauchemardesque ponctuée de cris et de rires graves.</p> <p>  </p> <p> Le spectacle insiste sur la question du silence au-delà de celle du viol. La morte, Linda est le symbole du non-dit, de ce que l'on sait mais que l'on doit occulter sous le sceau du remords, de la honte et de l'infamie pour continuer à vivre dans les convenances. En n’écoutant pas Christian, les membres de la famille font preuve d’une incapacité à faire face au passé, à s’impliquer, et sombrent dans le déni.</p> <p>  </p> <p> Le film de Thomas Vinterberg est naturaliste. Les premières disputes donnent tout de suite le ton et annoncent un drame. Dans le spectacle nous nous éloignons de ce naturalisme pour tendre vers une tonalité avoisinant le grotesque. Nous donnons par exemple une place plus centrale à l’aspect festif de l’événement, créant de plus un doute sur la véracité des propos de Christian. Le grotesque naît du décalage jouissif des scènes de danse et de festivités collectives au sein même de la tragédie. L’ambiance pesante est sous-jacente, et vient s’installer de manière progressive jusqu’à ce que s’amorce la violente décomposition de la famille. Face à la vérité, les personnages s’agitent pour ne pas réagir. Ils se fédèrent alors autour du vin, de blagues douteuses, et de la chanson raciste quasi magistrale à l’acte 2. Le spectacle a une dimension humoristique brute et cruelle. Devant <i>Festen, </i>on sourit face à des personnages à l’humour graveleux, lamentable, et on prend conscience de la cruauté humaine.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Scénographie : </strong></p> <p>  </p> <p> Une longue table de cérémonie autour de laquelle sont assises dix personnes occupe la majeure partie de la scène. Helge et Christian sont aux extrémités séparés par la longueur de la table imposante. Le spectateur se sent intrusif, témoin de la dislocation de cette famille. Il est pris en compte sans insistance par les comédiens. Une des invités, caméra à la main, filme certaines séquences du dîner comme un banal film de famille. Cela semble être un coutumier puisque le spectacle nous donne à voir un instant d’un film d’un anniversaire passé. Un retour vidéo est projeté simultanément sur une surface blanche en fond de scène. Cette vidéo en direct inscrit les événements dans un présent que l’on pourrait presque qualifier d’éternel. Le spectateur, grâce à certains plans zoomés voit ce qu’il ne devrait pouvoir observer. Il est omniscient. Le film de famille maladroit devient un révélateur supplémentaire et cruel. Rien n’est caché. Les barrières ont sauté ; la proximité est palpable et interroge le statut du spectateur. Comment celui-ci va-t-il réagir quand le discours de Christian semble lui être personnellement adressé ? Toujours dans cette volonté de tout montrer, de faire surgir « l’obscène » la caméra traque de manière impudique les personnages jusque dans la chambre de Linda située à l’étage.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="1456974_10201756687151132_1919653076_n" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/66300/1456974_10201756687151132_1919653076_n.jpg"></p> <p> <em>Photo de Bertrand Schol, Résidence au Théâtre de Verre, 02/11/13.</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Remerciements : </strong></p> <p>  </p> <p> Nous tenons à remercier toutes les personnes qui nous ont aidés et soutenus au long de ce parcours, et notamment la famille Charbit, Jessica Dupuis et toute l'équipe du Théâtre de Verre, François Ha Van, Samy Hidous, Julien Kosellek, Nicolas Merme, Joanna Peziol, Axël Ramonet, et Delphine Roudault.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong> </strong></p>

À quoi servira la collecte

<p> Après deux premières représentations lors de festivals étudiants, l’accueil enthousiaste du public nous a confortés dans notre envie de continuer à défendre le spectacle <i>Festen. </i>Nous avons alors créé la Compagnie du Vacarme en août 2013 afin de pouvoir présenter le spectacle dans des théâtres parisiens. </p> <p>  </p> <p> L’enjeu de nos quatre représentations au Théâtre de Verre en décembre était de faire connaître notre travail à un public le plus éclectique possible. Nous avons fait salle pleine à chaque date, et le spectacle a suscité de nombreuses réactions encourageantes. Le constat est moins engageant en ce qui concerne les professionnels. Malgré nos nombreuses sollicitations, peu se sont déplacés. Nous prétendons à un avenir professionnel concernant <i>Festen,</i> et cherchons aujourd’hui à vendre le spectacle qui jusqu’à aujourd’hui est financé par nos économies. Malgré notre volontarisme dans le travail de communication et de diffusion, nous constatons que nous ne sommes pas armés au mieux afin d’optimiser notre visibilité sur le marché du spectacle vivant. Lucides face à ces difficultés et convaincus que notre projet est viable, nous allons donc travailler avec un chargé de diffusion et de production.</p> <p>  </p> <p> En bref, les dons reçus par ce Kiss Kiss Bank Bank, s'il est atteint, serviront à rémunérer notre chargé de diffusion, durant trois mois avant les représentations, puis un mois suivant les représentations pour les relances et le suivi du projet, à hauteur de 700€ par mois, pour un total donc de 2800€.</p> <p>  </p> <p> Les frais engendrés par les représentations d'avril 2014 au Théâtre de Ménilmontant seront couverts par les bénéfices faits par la compagnie lors des représentations de décembre 2013 au Théâtre de Verre et par nos fonds propres. Lors de ces dates, comme lors des précédentes nous ne pourrons pas rémunérer les comédiens.</p> <p>  </p> <p> C'est à dire:</p> <p> Location de salles de répétition: 170€</p> <p> Droits d'auteurs: 732€</p> <p> Décors, accessoires et costumes: 200€</p> <p> Matériel technique (vidéoprojecteur, etc): 500€</p> <p> Consommables: 100€</p> <p> Communication (Affiches, flyers) : 360 €</p> <p> Captation et montage d'un teaser : 400€</p> <p> Nous prenons aussi un risque financier lors de ces quatre dates, puisque le minimum garanti s'élève à 700€ par date.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

Contreparties

5 €

  • 2 contributions
Un grand MERCI sincère et public

10 €

  • 4 contributions
Un grand MERCI sincère et public + une affiche A3 du spectacle

20 €

  • 4 contributions
Contreparties précédentes + Un badge à l'effigie de la Compagnie du Vacarme

30 €

  • 5 contributions
Un grand MERCI sincère et public + 1 place pour l'une des représentations de votre choix au Théâtre de Ménilmontant (le 17, 18, 24 ou 25 avril 2014). Possibilité de retirer la place directement au théâtre.

40 €

  • 6 contributions
Un grand MERCI sincère et public + 1 place + 1 affiche + 1 badge

60 €

Contreparties précédentes + 1 surprise

100 €

  • 8 contributions
Un grand MERCI sincère et public + 2 places + 2 affiches + 2 badges + 2 surprises

200 €

  • 1 contribution
Un grand MERCI sincère et public + 1 shooting photo avec Bertrand Schol photographe + 1 affiche + 1 badge http://www.bertrandschol.book.fr/

400 €

Un grand MERCI sincère et public + 1 shooting photo avec Bertrand Schol photographe + 2 places + 2 affiches + 2 badges

500 €

Un grand MERCI sincère et public + 1 shooting photo avec Bertrand Schol photographe + 3 places + 3 affiches + 3 badges + 3 surprises

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