H24

AIDEZ-NOUS A TERMINER NOTRE DOCUMENTAIRE "H24", afin que toutes ces femmes bénévoles ne restent pas dans l'ombre plus longtemps!

Visuel du projet H24
Réussi
65
Contributions
02/03/2018
Date de fin
6 610 €
Sur 6 500 €
101 %

H24

<p><strong><em><u>LE PROJET:</u>&nbsp; de quoi s&#39;agit-il?&nbsp;</em></strong></p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/481283/27048084_10215270126968811_1835131329_o-1516810931.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p>Je suis professeur de photographie. Cette ann&eacute;e, j&#39;ai propos&eacute; &agrave; mes &eacute;l&egrave;ves de faire un film en rapport avec les r&eacute;fugi&eacute;s du parc Maximilien &agrave; Bruxelles.</p><p>&nbsp;</p><p>Ce parc est un lieu un peu sordide. C&#39;est l&agrave; que se concentrent des r&eacute;fugi&eacute;s, principalement Soudanais, mais on y trouve aussi des Erythr&eacute;ens, des Ethiopiens, des libyens...</p><p>&nbsp;</p><p>Pour beaucoup de ces r&eacute;fugi&eacute;s, le r&ecirc;ve c&#39;est de rejoindre l&#39;Angleterre. A Bruxelles, ils ne sont qu&#39;en transit, mais leurs conditions de vie sont pr&eacute;caires.</p><p>&nbsp;</p><p>Nous avons choisi&nbsp;de <em>rencontrer <strong>un r&eacute;fugi&eacute;</strong></em>, Bobo, mais aussi des femmes qui, d&#39;une mani&egrave;re ou d&#39;une autre, prennent soin des r&eacute;fugi&eacute;s en leur pr&eacute;parant des repas,&nbsp; nous les avons surnomm&eacute;es<em><strong> les nourrici&egrave;res</strong></em>.</p><p>&nbsp;</p><p>D&#39;autres femmes ont choisi de les inviter chez elles, le temps d&#39;une ou deux nuits, de leur offrir le sommeil, une douche, un repas en famille&nbsp;et un peu de dignit&eacute;. Ce sont <strong><em>les h&eacute;bergeuses.</em></strong></p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><u><em><strong>Qui suis-je ?</strong></em></u></p><p>&nbsp;</p><p>Denis L&eacute;cuyer est mon nom. Entr&eacute; sur le tard &agrave; l&#39;ULB,&nbsp; j&#39;en suis finalement sorti avec un dipl&ocirc;me de journaliste en poche.&nbsp;</p><p><br />Vers les 30 ans, j&#39;ai entam&eacute; 3 ann&eacute;es d&#39;&eacute;tudes &agrave; l&#39;Ecole de Photographie de la Ville de Bruxelles, dont je suis sorti gonfl&eacute; &agrave; bloc et d&eacute;missionnaire de la Presse &eacute;crite. J&#39;eus la chance d&#39;&ecirc;tre imm&eacute;diatement int&eacute;gr&eacute; pendant quelques mois &agrave; l&#39;agence PhotoNews, dont le directeur artistique, Paul Versele, fut un tr&egrave;s pr&eacute;cieux mentor.</p><p><br />Le reste fut une vie de photographe: peu de voyages car je m&#39;appliquai surtout au studio, &eacute;norm&eacute;ment de rencontres, des d&eacute;fis gros comme des montagnes, des contrats juteux et leur contraire, des missions impossibles, des missions d&eacute;sesp&eacute;r&eacute;ment possibles. Quelques livres bien imprim&eacute;s, quelques conf&eacute;rences, quelques excursions professorales, 2 ou 3 expos ont jalonn&eacute; le parcours. Les quelques ann&eacute;es pass&eacute;es au service de Paris-Match en qualit&eacute; de portraitiste principal furent sans conteste mon meilleur souvenir.</p><p><br />Aujourd&rsquo;hui je me consacre presque exclusivement &agrave; Wisiwig, (mon &eacute;cole de photographie cr&eacute;e en 2014) car l&#39;aventure est humainement et artistiquement d&#39;une richesse inestimable.</p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/481516/_DSC0172-1516888550.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><u><em><strong>Qui sont les nourrici&egrave;res?</strong></em></u></p><p>&nbsp;</p><p>Ce sont cinq femmes qui ont d&eacute;cid&eacute;&nbsp;de consacrer&nbsp;leurs vendredis &agrave; cuisiner pour les r&eacute;fugi&eacute;s du parc Maximilien. Elles font tout, toutes seules, et de mani&egrave;re b&eacute;n&eacute;vole dans des conditions presque inhumaines (pas de cuisine, pas d&#39;eau chaude,...) mais tout cela elles le font dans la bonne humeur et avec coeur.</p><p>&nbsp;</p><p>Ces femmes ont cr&eacute;&eacute;&nbsp;une asbl &quot;<strong>Hope forever</strong>&quot;&nbsp;qui a besoin de dons, d&#39;aide et&nbsp;d&#39;aliments pour nourrir les 400 r&eacute;fugi&eacute;s tous les vendredis.</p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478233/25354090_1994389664138724_4463992563734726997_n-1515676859-1515868852.jpg" /></p><p>Photo: Eric Bouvier&copy;Wisiwig 2017</p><p>&nbsp;</p><p><strong>HAMADOUI Jamila,</strong>&nbsp;51 ans, m&egrave;re de quatre gar&ccedil;ons. Fondatrice de l&#39;ASBL Hope forever. Citoyenne qui aime partager, donner et aider les autres. &quot;Je me consacre exclusivement &agrave; l&#39;ASBL afin de faire reculer la mis&egrave;re du&nbsp;quotidien&nbsp;autour de nous&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p><strong>LAMALLEM Fatima,</strong> maman de trois enfants. Pharmacienne depuis 28 ans et b&eacute;n&eacute;vole dans l&#39;asbl Hope forever. &quot;Je suis&nbsp;une femme passionn&eacute;e par le relationnel et tr&egrave;s empathique.&nbsp;Ce projet est, pour moi, une r&eacute;compense de la vie qui me&nbsp;permet d&#39;aider les autres&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p><strong>TERE Bouchra,</strong> 45 ans, maman au foyer de&nbsp;4 filles. &quot;Je suis&nbsp;motiv&eacute;e par le fait que nous avons tous notre part de responsabilit&eacute; et que ce qui arrive aux r&eacute;fugi&eacute;s aujourd&#39;hui peut m&#39;arriver&nbsp;demain. J&#39;ai&nbsp;de moins en moins confiance dans les hommes qui gouvernent nos pays. J&#39;aiderai tant que la sant&eacute; me le&nbsp;permettra en esp&eacute;rant faire reculer la mis&egrave;re. Je suis persuad&eacute;e que l&#39;homme est fondamentalement bon. Selon moi, si chacun d&#39;entre nous mettait une pierre &agrave; l&#39;&eacute;difice &ccedil;a ferait des miracles&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p><strong>ELAHMADI Keltoum,</strong> 50 ans, maman de deux enfants et grand m&egrave;re. &quot;J&#39;aime aider les gens dans le besoin car je suis&nbsp;tr&egrave;s sensible &agrave; leur pauvre cause. J&#39;esp&egrave;re pouvoir garder la sant&eacute; afin de pouvoir faire cela de longues ann&eacute;es encore&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p><strong>ZAKHNINI Nadia</strong>, 44 ans, veuve, maman de 4 enfants. &quot;Devenir&nbsp;b&eacute;n&eacute;vole pour l&#39;asbl m&#39;a permis de remonter la pente apr&egrave;s le d&eacute;c&egrave;s de mon mari, il y a 4 ans. Mon engagement tous les vendredis et la rencontre avec les autres m&#39;apporte beaucoup&nbsp;de s&eacute;r&eacute;nit&eacute;. Ma philosophie: <em>s&egrave;me le bien et tu r&eacute;colteras le bie</em>n&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p><br /><u><em><strong>Qui est notre ami r&eacute;fugi&eacute;?</strong></em></u></p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478234/25354030_1523143004389853_5368442124092010885_n-1515677112-1515868876.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><strong>DIALLO Bobo</strong>, 20 ans, il vient de Guinee Bissau.&nbsp; Il a appris le fran&ccedil;ais en moins d&#39;un an et est aujourd&#39;hui lui-m&ecirc;me b&eacute;n&eacute;vole au Parc.</p><p><br />&quot;J&#39;ai fui mon pays, seul, car j&#39;&eacute;tais&nbsp;en danger ainsi que toute ma famille laiss&eacute;e l&agrave; bas. J&#39;ai&nbsp;v&eacute;cu beaucoup de moments de gal&egrave;re dans des centres ferm&eacute;s et ensuite dans la rue et les gares&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p>&quot;Apr&egrave;s des mois de gal&egrave;re, j&#39;ai&nbsp;re&ccedil;u un petit logement d&#39;une famille h&eacute;bergeuse et j&#39;ai donc pu me domicilier &agrave; Bruxelles et r&eacute;gulariser ma situation&nbsp;en Belgique&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p>&quot;Depuis, je&nbsp;repars&nbsp;toutes les nuits&nbsp;au parc pour, &agrave; mon tour, aider en tant que b&eacute;n&eacute;vole&nbsp;la <em>plateforme citoyenne</em> de soutien aux r&eacute;fugi&eacute;s. Cette plateforme regroupe, entre autres, plusieurs jeunes b&eacute;n&eacute;voles qui, tous les soirs, qu&#39;il pleuve ou qu&#39;il vente, s&#39;occupent de loger l&#39;ensemble des r&eacute;fugi&eacute;s pour la nuit. Ces jeunes b&eacute;n&eacute;voles ne quittent pas le parc avant d&#39;avoir trouv&eacute; un endroit o&ugrave; dormir &agrave; chaque r&eacute;fugi&eacute;&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p>&quot;Je&nbsp;prends mon r&ocirc;le tr&egrave;s &agrave;&nbsp;coeur et r&ecirc;ve de pouvoir passer mon jury d&#39;&eacute;tat afin de devenir, un jour,&nbsp; sapeur pompier afin de&nbsp;continuer &agrave; &ecirc;tre au service des autres&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><u><em><strong>Qui sont les H&eacute;bergeuse</strong></em></u><u><em><strong>s?</strong></em></u></p><p>&nbsp;</p><p>Ce sont toutes ces personnes qui, le temps d&#39;une voire plusieurs nuits,&nbsp; accueillent chez elles un ou plusieurs r&eacute;fugi&eacute;s.&nbsp;&nbsp;Elles leur&nbsp;offrent un peu&nbsp;de dignit&eacute;, de&nbsp;repos, de soins et de r&eacute;confort.</p><p>Nous en avons rencontr&eacute; deux, mais elles sont des centaines &agrave; se relayer tous les soirs pour que&nbsp;300 &agrave; 400 r&eacute;fugi&eacute;s aient un toit pour dormir.</p><p>&nbsp;</p><p><br /><strong>&nbsp;LECUYER Mathilde</strong>:</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478235/26648343_10155544054818978_1047707517_n-1515677151-1515868893.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>&quot;J&#39;ai 24 ans. je viens tout juste de terminer mes &eacute;tudes de bio-ing&eacute;nieur et je travaille quelques mois pour partir &agrave; l&#39;&eacute;tranger. Je vis pour le moment chez mes parents&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p>&quot;J&#39;ai quelques fois l&#39;occasion d&#39;h&eacute;berger des personnes du parc Maximilien. Bien que je ne puisse pas le faire fr&eacute;quemment, je suis heureuse de pouvoir contribuer &agrave; ce mouvement de solidarit&eacute; citoyenne &agrave; ma mani&egrave;re. Ces quelques rencontres m&#39;ont permis de r&eacute;aliser que nous pouvons agir &agrave; notre niveau et que notre aide, aussi petite soit elle, repr&eacute;sente d&eacute;j&agrave; beaucoup &agrave; leurs yeux&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p>&nbsp;</p><p><strong>HONHON&nbsp; V&eacute;ronique</strong>:</p><p>&nbsp;</p><p><img alt="" width="100%" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/478237/23843461_10214777993345778_1442166408741935359_n-1515689952-1515868903.jpg" /></p><p>&nbsp;</p><p>45 ans, maman de trois enfants, graphoth&eacute;rapeute. &quot;J&#39;aime le contact avec les autres et j&#39;ai besoin de m&#39;investir aupr&egrave;s des plus d&eacute;munis afin de me sentir utile&quot;.</p><p>&nbsp;</p><p>&quot;J&#39;h&eacute;berge depuis le mois de septembre &agrave; raison de 4 ou 5 nuits par semaine. Chaque trajet vers le parc, je&nbsp;le fais&nbsp;avec ma fille cadette qui a, elle aussi, ce besoin d&#39;&ecirc;tre en contact avec les plus fragiles. J&#39;ai pris le&nbsp;parti d&#39;h&eacute;berger deux r&eacute;fugi&eacute;s pendant deux nuits afin qu&#39;ils aient le temps de &quot;respirer&quot; un peu et de se reposer pour mieux repartir&quot;</p><p>&nbsp;</p><p>&quot;Ces rencontres avec les r&eacute;fugi&eacute;s offrent &agrave; toute ma famille des &eacute;changes humainement tr&egrave;s riches&quot;.&nbsp;</p>

À quoi servira la collecte

<p><u><strong>Pourquoi&nbsp;avons-nous besoin de votre aide?&nbsp;</strong></u></p><p>Nous avons d&eacute;j&agrave; pu r&eacute;colter une partie&nbsp;de la somme par nos fonds propres, mais faire un film de qualit&eacute; de 16 minutes co&ucirc;te cher en mat&eacute;riel, en comp&eacute;tence et en temps.</p><p>Jusqu&#39;&agrave; pr&eacute;sent le r&eacute;alisateur du film a tout pris &agrave; sa charge, mais il a &eacute;puis&eacute; ses fonds il reste encore beaucoup de choses &agrave; faire pour finaliser le film: montage, &eacute;talonnage des images et du son, cr&eacute;ation de sons, traduction des sous-titres etc.</p><p>Il nous est impossible &agrave; ce stade de d&eacute;finir avec pr&eacute;cision &agrave; quel poste sera attribu&eacute;e telle ou telle somme, mais le r&eacute;alisateur souhaiterait &ecirc;tre aid&eacute; pour les d&eacute;penses d&eacute;j&agrave; effectu&eacute;es: frais logistiques, location d&#39;&eacute;clairage, location de mat&eacute;riel son, location de mat&eacute;riel vid&eacute;o (slider, pieds d&#39;&eacute;clairage etc), achat de logiciels,...</p><p>Concernant les d&eacute;penses &agrave; venir: honoraires d&#39;un &eacute;talonneur, d&#39;un monteur, d&#39;un designer son et d&#39;un traducteur, entre autres choses.</p><p>Nous avons&nbsp;un <strong>objectif minimal de 6500 euros</strong>, frais de kisskissbankbank (8%) compris. Toute somme d&eacute;passant cet objectif sera int&eacute;gralement&nbsp;revers&eacute;e aux deux associations&nbsp;pr&eacute;sent&eacute;es&nbsp;dans le film.</p><p>Nous esp&eacute;rons pouvoir ainsi soutenir&nbsp;</p><p><strong>- l&#39;association Hope Forever</strong> (dont font partie les nourrici&egrave;res). Cette association&nbsp;r&eacute;alise 500 repas chauds (avec boissons et fruits) tous les vendredis et les distribue au parc &agrave; 19H.</p><p><strong>- la plateforme citoyenne de soutien aux r&eacute;fugi&eacute;s </strong>(dont font partie les h&eacute;bergeuses). Celle-ci est compos&eacute;e de jeunes b&eacute;n&eacute;voles qui, chaque jour, sont pr&eacute;sents au parc d&egrave;s 20 heures pour trouver un logement &agrave; chaque&nbsp;r&eacute;fugi&eacute;. Ils prennent cette mission tr&egrave;s &agrave; coeur et restent parfois jusqu&#39;au petites heures du matin.</p><p>Ces associations sont plus que m&eacute;ritantes et ont vraiment besoin de votre aide alors <strong><u>faites sauter les plafonds!</u></strong></p><p><strong><u>Au plus vous donnez, au plus nous pourrons&nbsp;aider les associations qui gravitent autour du parc Maximilien.</u></strong></p>

Contreparties

10 €

  • 11 contributions
Votre nom dans les remerciements à la fin du film.

Livraison estimée : janvier 2018

25 €

  • 22 contributions
vous recevez l'accès aux 10 meilleures photos réalisées dans les cuisines de Hope Forever (téléchargement de fichiers haute définition prêts à être imprimés) ++ Votre nom figurera également dans les remerciements à la fin du film.

45 €

  • 11 contributions
vous recevez l'accès aux 20 meilleures photos réalisées dans les cuisines de Hope Forever (téléchargement de fichiers haute définition prêts à être imprimés) ++ Votre nom figurera également dans les remerciements à la fin du film.

Livraison estimée : janvier 2018

60 €

  • 7 contributions
Participez à la soirée organisée par l'ASBL Hope Forever qui vient en aide aux réfugies et aux personnes en demande d'aide. Vous y rencontrerez les nourricières et les hébergeuses. ++ Votre nom figurera dans les remerciements à la fin du film.

150 €

  • 2 contributions
Recevez une invitation à une soirée organisée par Denis Lécuyer (photographe et réalisateur) dans un grand studio photo de Bruxelles. Lors de cette soirée, toutes les personnes ayant contribué à ce projet seront réunies pour participer à l’avant première du film. Nous réaliserons egalement une photo de groupe réalisée avec les moyens démentiels du studio. ++ Votre nom figurera également dans les remerciements à la fin du film.

250 €

    Recevez un tirage manuel de la photo de notre réfugié Bobo (format A3 avec bords blancs - prête à l'encadrement - Tirage jet d'encre sur papier Hahnemuehle baryté) ++ Votre nom ou logo comme mécène associé au générique.

    450 €

    • 2 contributions
    Denis Lécuyer (photographe, réalisateur et fondateur de l'Ecole de Photographie Wisiwig) ) réalisera votre portrait ou celui d'une personne de votre choix en studio et vous le remettra sur une clé usb. ++ Votre nom ou logo comme mécène associé au générique.

    Livraison estimée : janvier 2018

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