Help me if you can't ( comédie humaniste...)

Aidez à créer un film qui refuse l'enfermement dans son propre monde !

Visuel du projet Help me if you can't ( comédie humaniste...)
Réussi
43
Contributions
16/07/2018
Date de fin
3 370 €
Sur 3 340 €
100 %

Les publications

<p>D'abord pardon à ceux qui ne sont pas à Paris ce week end mais le sentiment, l'excitation je crois de la projection, me donne envie de mettre un message ici aussi pour la séance promise au Saint André des Arts. Ce sera ce dimanche à midi et demi avec un pot offert ensuite dans la rue Gît-le-Coeur par laquelle on entre dans le cinéma... L'enthousiasme offert par deux festivals en simultané le mois dernier me fait espérer que ce ne sera peut être pas la dernière projection... Merci encore de tout coeur à tous ceux ici qui l'ont rendu possible ! </p> <p><img alt="Derni_re-1562919139" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/606802/Derni_re-1562919139.jpg"></p>
<p>Le festival de Pantin vient d'annoncer ce soir les dates de projection du film!</p> <p>Samedi 8 juin à 14h dans la grande salle avec présence de l'équipe</p> <p>Mercredi 12 juin 21h45 séance du soir</p> <p>Ce sera au sein d'un programme ("Panorama 5"). Pour ceux qui préfèrent ne pas être dans une longue séance (il y aura plusieurs court-métrages, les interventions des équipes...), j'étudie une possible projection plus tard au St André des Arts où l'on pourrait aussi avoir plus de temps pour échanger...</p> Merci encore d'avoir rendu cette aventure possible... <p><img alt="Help_me_if_you_can_t-1557510103" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/593486/Help_me_if_you_can_t-1557510103.png"></p> <p> </p>
<p>Bonjour à tous...</p> <p>Et désolé pour l'emballement des nouvelles! Elle est tombée vendredi soir dernier. A mes yeux le festival Côté Court de Pantin est le plus important de France, après Clermont certes, mais d'un impact particulier pour les "professionnels parisiens" du fait aussi de son implantation en Ile-de-France. Plus subjectivement, j'avoue le suivre depuis 2002, c'est un peu là que je me suis dit "pourquoi ne pas tenter le court-métrage?"... Je réalisai mon premier l'année suivante.</p> <p>Pour les plus curieux, je vous mets le lien vers le site du festival. Il y a ensuite cinq pages de films pris... on est à la dernière (22 lignes avant la fin), dans la sélection Panorama...</p> <p><a href="https://www.cotecourt.org/selection_2019.php" target="_blank">https://www.cotecourt.org/selection_2019.php</a></p> <p> Je vais ainsi pouvoir tenir la promesse initiale du projet initié il y a deux ans: emmener une équipe toute jeune, du 93, vers une diffusion professionnelle en l'associant à des pro et avec certains moyens, en espérant que ces acteurs aient ainsi plus confiance en eux dans la suite. Je m'aperçois que cela m'en donne aussi beaucoup au passage!</p> <p>Merci encore infiniment à tous de l'avoir rendu possible...</p> <p>Amicalement,</p> <p>       Patrick</p>
<p>La dernière actualité était le jour de l'hiver... La suivante est le jour du passage à l'heure d'été. Le temps passe vite!</p> <p>La bonne nouvelle est qu'Unifrance vient de mettre le film à l'honneur pour "l'export à l'étranger", c'est à dire pour une meilleure visibilité par les festivals internationaux: https://www.unifrance.org/film/47809/help-me-if-you-can-t </p> <p>J'avoue être assez épaté par la beauté des portraits des acteurs qui se sont engagés dans le film et qu'Unifrance met sur sa page...</p> <p>Maintenant j'espère à la fois la préparation d'une copie cinéma (DCP) et une avant-première en Ile-de-France, en mai, sans pouvoir le jurer, les tarifs demandés par les salles art et essais sont curieusement très élevés et ne tiennent pas compte de l'économie du film, ce sont des prix standards... J'ai quand même espoir de convaincre un programmateur ou que celui-ci soit convaincu par un proche. Je fais donc le plus tourner l'information... </p> <p>Bien à vous tous !</p>
<p>L'actualité précédente, il y a douze jours, était d'une longueur incroyable et je tiens à m'en excuser auprès de ceux qui auraient pris le temps de la considérer en entier lors d'une journée déjà chargée. J'avais envie de tout raconter... Ou du moins, ce qui me revenait à l'esprit. J'étais au début d'un gros rhume et n'ai pas eu la lucidité de penser que cela atteignait tant mon moral que ma lucidité... Dis autrement, je pense que j'avais un peu le cafard et, du film me revenait surtout les efforts, les larmes et les sacrifices. Alors que <em>Help me if you can't</em> c'est la chance incroyable d'assembler une équipe (au moins vingt sur ce film), permettre à de jeunes acteurs de gagner en confiance et oser le "cinéma professionnel", grâce au soutien de personnes d'horizons très différents et au final partager une histoire lors de projections ou diffusions numériques.</p> <p>Là je voudrais simplement préciser qu'en début de semaine prochaine je me mettrai au bureau pour rédiger les reçus de dons. J'ai tardé car j'espérais un bénévole, une main secourable, mais souvent je n'ai même pas osé demander, parce que l'autre me paraissait trop sympathique pour lui imposer de "l'administratif", voire cela me paraissait un peu confidentiel. En tout cas, les envois auront lieu au plus tard jeudi prochain. En cas "d'erreur d'adresse" et que rien n'arrive, n'hésitez pas à réclamer... </p> <p> </p> <p> </p>
<p>Grâce votre soutien, <em>Help me if you can't </em>a pu être tourné en juillet (cinq jours après la fin de la collecte). Pour l'anecdote, lors de la prise du matériel optique (caméra, objectifs, lumières) au loueur, Photocinerent, la veille du film, il y eut un suspense incroyable. Le matériel devait valoir vers 60 000 € (une mallette d'objectifs cinémas, en comporte chacun d'au moins cinq mille euros, je découvrais à l'occasion l'intérêt d'un assistant juste pour le transport, veiller sur eux, les mettre...) et il fallait laisser, comme garantie, une "empreinte magnétique" avec la carte bleue permettant un retrait de 5 000 €. Le tournage faillit être annulé car mon compte ne le permettait pas (le retrait est virtuel, mais il faut qu'il soit vraiment possible). Deux heures d'attente pour trouver une solution, j'avoue avoir pleuré à un moment entre deux appels aux éventuels garants devant se manifester immédiatement, le lieu allait fermer et tout allait tomber à l'eau... Et arriva en fin d'après-midi sur le compte de l'association le versement, plus rapide que prévu par le site, des dons de Kisskissbankbank et cela permit de débloquer in extremis la situation. Un vrai miracle...</p> <p>Le tournage s'est ensuite passé sans incident. Du 21 au 23 juillet, l'essentiel fut tourné à Montreuil. Peu après, comme la monteuse, Gaia Arcelli acceptait de partir plus tard en vacances, mais pas revenir plus tôt, et que je tenais à finir le film avant le 29 août (date limite de demande de subvention auprès de <em>Cinémas 93</em>), le montage eut lieu le même jour où je rendais le dernier câble oublié pour un des loueurs lumière à St Ouen. Une post production dans la continuité du tournage. Ceux qui ont déjà fait des films savent le poids de fatigue que cela représente. J'avoue l'avoir bien ressenti...</p> <p>Cela dura une dizaine de jours, de fin juillet à la première semaine d'août. Enfin, le mixage son et l'étalonnage des couleurs commencèrent deux semaines après. On put donc déposer la demande de subvention dans les temps.</p> <p>C'est une aide pour finir le film mais il est conseillé de la demander le film bien avancé... Une condition d'obtention est aussi de ne pas montrer l'oeuvre au public avant la réponse début octobre. A cette date-là, j'appris que l'on ne passait même pas le premier tour (alors que j'étais régulièrement conseillé, comme parrainé par une productrice ayant déjà eu l'aide, que j'avais même présenté personnellement le projet à la responsable mais qui n'est pas du comité de sélection). Sur le coup, je le pris comme un mauvais signe, le film était-il réussi? Avait on franchi la marche "professionnelle"? Avais-je bien dirigé les jeunes acteurs qui faisaient leurs débuts à l'écran sauf les rôles de soutien où il y avait Pol White, Anastasia Robin, Pierre Porquet, Laurence Meini ?</p> <p> Depuis, je sais que cinq sur cent films ont eu ce soutien et je sors de l'excitation qui me faisait croire que l'on devait forcément en être...</p> <p>Chef opérateur, ingénieur son, monteur image et son, ont été déclarés. Le but du film était de mettre des moyens "professionnels" au service d'une troupe de jeunes talentueux en lesquels je crois, créer un coup de pouce tant pour eux que pour moi, et... accessoirement j'espère, créer un film qui se tient.</p> <p>Pour ne pas me laisser emporter par le spleen, je tournai aussi en urgence en octobre, <em>La suite de Sentsov, </em>un spot de cinq minutes pour le réalisateur Oleg Sentsov enfermé en Sibérie depuis quatre ans, et qui j'espère sortira bientôt (tant le film que le réalisateur...).</p> <p>D'un point de vue financier, le mécénat sur <em>Help me</em> tourne autour de 5000 / 5 500. Et, pour le tournage, l'investissement personnel doit être d'autant grâce à un crédit revolving de la même somme fusionné depuis dans un ancien crédit à la consommation qui triple ainsi de volume...</p> <p>A la mi-octobre, je proposais le film au plus important festival de courts, celui de Clermont-Ferrand. J'appris le 29 novembre qu'il n'était pas pris. Léger coup de blues mais cela m'a rappelé que la diffusion en festival est un travail de très longue haleine. A l'international, je l'inscris avec la liste des soixante-dix les plus "côtés" choisis par Unifrance, l'association qui veille au bon export du cinéma français. Pour l'instant j'ai proposé <em>Help me</em> à la Berlinale, Tampere (en Finlande), Saguenay (Canada), Aspen (USA). Et niveau national, je passe par le Carrefour des festivals et quelques plateformes. Il est déjà inscrit au "plus prestigieux" français après Clermont, celui de Pantin et à plus d'une dizaine d'autres. Il faut remplir des dossier, régler des inscriptions parfois mirobolantes (à l'international ce peut être 80€ comme pour la Berlinale voire 100€ aux USA...) mais si le film est diffusé dans au moins un de ces festivals, l'un des principaux buts du projet serait atteint, envoyer l'équipe d'acteurs vers d'autres horizons...</p> <p>En pratique, le film a déjà sa présence confirmée aux Marchés du film de Clermont (première semaine de février) et de Saguenay au Québec (mi-mars) où des diffuseurs pourront aider encore le film. Sa fiche est aussi depuis fin octobre sur IMDb, la "référence américaine", que j'aime bien comparer à notre Allociné ici: </p> <p><a href="https://www.imdb.com/title/tt9202736/?ref_=nm_flmg_dr_1" target="_blank">https://www.imdb.com/title/tt9202736/?ref_=nm_flmg_dr_1</a></p> <p>Depuis que Cinémas 93 n'aide pas le film, je sais que je peux montrer <em>Help me... </em>en public mais, par économie, je cherche encore. Pour la projection, je tiens à une salle parisienne du type Les Trois Luxembourg, L'Entrepôt, le Lincoln, Le Lucernaire, le Balzac, le St André des Arts ou Studio 28 (le Reflet ne prend pas de court-métrage même le matin). Cela me permet de m'apercevoir que ceux qui me soutenaient sur mes films antérieurs, parfois des projectionnistes ou des programmateurs, sont partis et ont été remplacés pas des personnes ayant souvent moins d'initiative. Or j'aimerais éviter une location coûteuse en passant par les tarifs pour les films subventionnés et au budget parfois égal à quinze fois celui-là, je retisse donc des liens, en escomptant une séance du samedi ou dimanche matin. Après avoir compté sur une avant-première en décembre, j'en suis à l'espérer pour la mi-janvier. J'avertirai évidemment dès la première réponse ferme! Et pour ceux ne pouvant découvrir le film en salle à Paris, je transmettrai évidemment ensuite un lien privé...</p> <p>Merci évidemment encore pour l'aide et la confiance inestimables qui ont permis le film tel qu'il vient...</p> <p><img alt="Image_r_cup_r_e_de_qt__help_me_-1544386856" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/559206/Image_r_cup_r_e_de_QT__Help_me_-1544386856.png"></p> <p>Adil Allybokus et Arnaud Fusco, image extraite du film</p>