JEUNESSE AFGHANE : PORTRAITS D'AVENIR

Réaliser un reportage photographique sur la jeunesse afghane.  Comment les jeunes de ce pays se projettent-ils dans l'avenir et quel regard portent-ils sur leur pays, leur quotidien et leur culture ? Des portraits pour traduire en image leurs aspirations, leurs ambitions, leurs doutes mais aussi leurs espoirs.

Visuel du projet JEUNESSE AFGHANE : PORTRAITS D'AVENIR
Réussi
49
Contributions
21/05/2012
Date de fin
6 225 €
Sur 6 000 €
104 %

Soutenu par

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Les publications

<p> <strong>Soutenez un photo reportage solidaire sur la jenesse afghane.</strong></p> <p> <strong>Dans le cadre d&#39;un partenariat avec le site de crowdfunding KissKissBankBank, <a href="http://www.youphil.com/fr">Youphil</a> vous pr&eacute;sente le projet de Sophie Arancio, un photo reportage sur la jeunesse afghane.</strong></p> <p> On ne conna&icirc;tra pas la date exacte de son d&eacute;part pour&nbsp;l&#39;Afghanistan, d&eacute;but avril, ni le parcours qu&#39;elle suivra durant ces trois mois. Questions de s&eacute;curit&eacute;. Sophie Arancio a beau r&eacute;p&eacute;ter qu&#39;elle n&#39;est pas inqui&egrave;te, la r&eacute;gion reste sensible et pour cause, la guerre contre les talibans s&#39;embourbe. &quot;<em>Je suis quand m&ecirc;me consciente des dangers, de ce qu&#39;il faut faire ou ne pas faire, comme aller dans le sud du pays, surtout pour une femme seule</em>, avoue-t-elle.&nbsp;<em>Mais je n&#39;ai pas plus d&#39;appr&eacute;hensions que cela.</em>&quot;</p> <p> Jeune photographe ind&eacute;pendante de 30 ans, Sophie Arancio a principalement &eacute;volu&eacute; dans le milieu de la mode et de la publicit&eacute;, de New York &agrave; Tokyo. &quot;<em>J&#39;ai cependant toujours eu envie de me servir du m&eacute;dium pour autre chose</em>&quot;, explique-t-elle, et notamment pour d&eacute;passer les clich&eacute;s v&eacute;hicul&eacute;s sur l&#39;Afghanistan, en d&eacute;couvrir le v&eacute;ritable visage.</p> <p> Au d&eacute;part, le projet &eacute;tait plus long et s&#39;&eacute;tendait sur toute l&#39;Asie, avec un passage esp&eacute;r&eacute; en Afganistan, de l&#39;ordre d&#39;une semaine.&nbsp;Mais &agrave; force de se renseigner, de lire des r&eacute;cits de voyage et de prendre contact avec des sp&eacute;cialistes de ce pays, &quot;<em>les choses se sont peu &agrave; peu pr&eacute;cis&eacute;es</em>&quot;. Aid&eacute;e par des ONG, elle obtient m&ecirc;me un visa de trois mois. Le projet &quot;<a href="../../projects/jeunesse-afghane-portraits-d-avenir">Jeunesse afghane: portraits d&#39;avenir</a>&quot; est lanc&eacute;.</p> <p> &quot;Je veux me<em>&nbsp;rapprocher du peuple afghan et surtout des jeunes, les interroger sur leur avenir et leur donner la parole par l&#39;image.<em>..</em>&nbsp;Je vais me ballader et voir. Contrairement &agrave; ce que l&#39;on croit, c&#39;est un peuple tr&egrave;s ouvert</em><em>.</em>&quot; Sophie a d&#39;ailleurs d&eacute;j&agrave; pris contact avec une jeune photographe afghane, avec qui elle ira &agrave; la rencontre d&#39;&eacute;tudiants &agrave; l&#39;universit&eacute;. &quot;<em>Cela me m&egrave;nera vers d&#39;autres personnes... Je veux me laisser porter par le voyage et profiter.</em>&quot;</p> <p> L&#39;autre grande rencontre attendue, c&#39;est celle avec un jeune afghan, bien d&eacute;cid&eacute; &agrave; construire un skate-park &agrave; Kaboul. &quot;<em>Il y a une importante communaut&eacute; de skaters l&agrave;-bas, on ne s&#39;y attend pas</em>&quot;, commente Sophie Arancio, tr&egrave;s attach&eacute;e &agrave; ce projet. D&#39;ailleurs, si elle parvient &agrave; r&eacute;colter plus d&#39;argent que pr&eacute;vu via la plateforme Kisskissbankbank, elle participera au financement. A son retour en France, elle tentera &eacute;galement de vendre des clich&eacute;s au profit du projet et de proposer le photoreportage &agrave; des associations qui militent pour la r&eacute;insertion par le sport.<strong>&nbsp;</strong></p> <p> <strong>Crowdfunding</strong>&nbsp;<strong>et sac-&agrave;-dos</strong></p> <p> &quot;<em>Le voyage est tr&egrave;s cher, je l&#39;avais sous-estim&eacute;</em>&quot;, commente-t-elle. Apr&egrave;s avoir fait plus de 200&nbsp;demandes de sponsors, sans succ&egrave;s, elle d&eacute;cide de faire un cr&eacute;dit et de s&#39;inscrire sur la plateforme de crowdfunding d&eacute;but mars.&nbsp;&quot;<em>J&#39;&eacute;tais tr&egrave;s g&ecirc;n&eacute;e de demander de l&#39;argent &agrave; des inconnus</em>.&nbsp;<em>C&#39;&eacute;tait tr&egrave;s bizarre et j&#39;y suis vraiment all&eacute;e &agrave; reculons</em>&quot;, avoue Sophie Arancio. Mais les r&eacute;sultats ne se font pas attendre et en un mois, elle r&eacute;colte pr&egrave;s de 5000 euros sur les 6000 vis&eacute;s. De quoi financer les d&eacute;placements, l&#39;h&eacute;bergement, les tirages et en reverser une partie &agrave; son association&nbsp;Nowhere Else Pictures&nbsp;qui organise des ateliers photos dans des &eacute;coles.</p> <p> Ce projet, c&#39;est un peu son b&eacute;b&eacute;, son premier en tant que photographe ind&eacute;pendante. &quot;<em>Je n&#39;ai pas choisi le plus simple en partant trois mois en Afghanistan, c&#39;est s&ucirc;r... Mais c</em><em>&#39;est un tournant dans ma carri&egrave;re, &agrave; la fois au niveau personnel et professionnel</em>.&quot;</p> <p> L&#39;article sur YOUPHIL.COM :<br /> <a href="http://www.youphil.com/fr/article/05130-soutenez-un-photoreportage-solidaire-sur-la-jeunesse-afghane">http://www.youphil.com/fr/article/05130-soutenez-un-photoreportage-solidaire-sur-la-jeunesse-afghane</a></p> <p> &nbsp;</p>
<p> <strong>Nouvelles du front : Sophie Arancio photographie la jeunesse afghane</strong></p> <p> <strong>Conna&icirc;t-on vraiment l&#39;Afghanistan, cette terre lointaine meurtrie par une guerre sans fin ? Comment les jeunes de ce pays se projettent-ils dans l&#39;avenir ? Quel regard portent-ils sur leur pays, leur quotidien et leur culture ? A travers son projet de crowdfunding&nbsp;<em><a href="../../projects/jeunesse-afghane-portraits-d-avenir">Jeunesse afghane : portraits d&#39;avenir</a>,&nbsp;</em>la jeune photographe&nbsp;<a href="http://www.sophiearancio.com/">Sophie Arancio</a>&nbsp;se propose de donner la parole aux principaux int&eacute;ress&eacute;s, et de balayer les st&eacute;r&eacute;otypes. Entretien.</strong></p> <p> <strong>Photographie.com : Quelle est la gen&egrave;se de ce projet ?</strong></p> <p> Tout est parti du personnage d&#39;Annemarie Schwarzenbach, journaliste et romanci&egrave;re dans la Suisse des ann&eacute;es &#39;30. Personnage tr&egrave;s libre qui n&#39;a eu de cesse de voyager tout au long de sa vie, notamment en Afghanistan. Au del&agrave; de son histoire, ce qui m&#39;a touch&eacute;e chez elle, c&#39;est sa volont&eacute; de pousser les autres &agrave; quitter leur milieu d&#39;origine pour aller voir ailleurs et d&eacute;couvrir la r&eacute;alit&eacute;, forc&eacute;ment diff&eacute;rente de ce qu&#39;on peut imaginer ou entendre de cet ailleurs. Aller par soi-m&ecirc;me constater, puis t&eacute;moigner.</p> <p> Depuis plus de dix ans maintenant, l&#39;Afghanistan nourrit beaucoup de fantasmes, et si on parle constamment de ce pays, il y a toujours autant de clich&eacute;s qui viennent &agrave; l&#39;esprit, malgr&eacute; nous. Depuis quelques ann&eacute;es, je suis frapp&eacute;e par la repr&eacute;sentation qu&#39;on se fait de ce pays et le d&eacute;calage qui existe entre cette image et celle que d&eacute;peignent les explorateurs ou les &eacute;crivains- voyageurs. Il n&#39;est pas possible que pour certains, ce pays soit une merveille, et que d&#39;autres le r&eacute;sument au fanatisme. Aussi, consid&eacute;rant les conflits que sa population a travers&eacute;s, j&#39;ai eu envie de leur donner la parole - une parole qu&#39;on entend peu, celle des civils -, et de montrer un autre visage de ce pays en pleine reconstruction. Et quoi de mieux que la jeunesse pour incarner le renouveau ?</p> <p> <strong>Photographie.com : Avez-vous d&eacute;j&agrave; visit&eacute; l&#39;Afghanistan, et quelle est votre strat&eacute;gie pour rencontrer les jeunes afghans ? Dans quelles r&eacute;gions avez vous l&#39;intention de vous rendre ?</strong></p> <p> Je n&#39;y suis jamais all&eacute;e, mais un tel voyage ne s&#39;envisage pas &agrave; la l&eacute;g&egrave;re. J&#39;ai donc pr&eacute;par&eacute; mon d&eacute;part avec application, ce qui fait que j&#39;ai d&eacute;j&agrave; de nombreux contacts sur place. Tout ce que je peux dire c&#39;est qu&#39;ils sont jeunes pour la plupart. Je vais voyager dans le nord du pays mais la situation oblige &agrave; beaucoup de pr&eacute;cautions : vous en saurez davantage &agrave; mon retour.</p> <p> <strong>Photographie.com : Pourquoi avez-vous choisi la formule du portrait ?</strong></p> <p> Je ne saurais r&eacute;pondre &agrave; cette question sans dire : qu&#39;aurais-je pu choisir d&#39;autre ? Cela s&#39;est impos&eacute; d&egrave;s le d&eacute;but. Il s&#39;agit de repr&eacute;senter une parole, un quotidien, une conviction, un regard. Ce que je vais chercher l&agrave;-bas c&#39;est la pulsation de la jeunesse, ce sur quoi porte ses yeux, ce qui occupe ses mains et ses jambes. Du portait donc pour donner &agrave; voir ces identit&eacute;s mais dans un traitement que je veux original. Ce qui&nbsp;m&#39;int&eacute;resse particuli&egrave;rement dans un projet comme celui-ci est avoir une approche contemporaine, notamment dans le cadre.&nbsp;</p> <p> En photographie, j&#39;ai le sentiment qu&#39;au del&agrave; de la technique et du choix esth&eacute;tique, c&#39;est le sujet qui fait la forme. Ces jeunes afghans ont tous quelque chose &agrave; dire, ils ont v&eacute;cu des choses fortes, souvent douloureuses, ils ont des espoirs et de ce que je sais beaucoup d&#39;&eacute;nergie : c&#39;est ce portrait que je veux faire, celui de cette jeunesse, avec son h&eacute;ritage, sa culture, ses cicatrices et bien entendu son regard vers l&#39;avenir.</p> <p> <strong>Photographie.com : Pensez-vous que la photographie peut changer la vision occidentale de ce pays ?</strong></p> <p> La photographie est une vision en soi. On la propose au public, qui d&eacute;cide ou non de la faire sienne, d&#39;entrer en r&eacute;sonance ou de s&#39;y opposer. Il est donc &eacute;vident que la photo peut modifier la perception qu&#39;on a en Occident de ce pays. D&#39;une part parce qu&#39;au fond on conna&icirc;t tr&egrave;s peu l&#39;Afghanistan, et qu&#39;on peut donc le d&eacute;couvrir par la photo. D&#39;autre part parce que l&#39;Occident est obs&eacute;d&eacute; par la construction d&#39;une imagerie.&nbsp;</p> <p> Nous vivons donc dans un paradoxe o&ugrave; l&#39;on a entendu &eacute;norm&eacute;ment parler de ce pays, sans rien en conna&icirc;tre ou si peu. L&#39;Occident est donc forc&eacute;ment soumis &agrave; la remise en cause des mod&egrave;les qu&#39;il projette sur des destinations aussi inconnues que l&#39;Afghanistan. Et tant mieux si la vision &eacute;volue, c&#39;est une forme de progr&egrave;s.</p> <p> <strong>Photographie.com : Comment ce projet s&#39;inscrit-il dans votre pratique photographique ?</strong></p> <p> Il est en rupture. Jusqu&#39;&agrave; pr&eacute;sent j&#39;ai fait de la photo de mode, du studio et des photos de personnes prises dans la rue. Toute ma photographie a consist&eacute; &agrave; repr&eacute;senter (rendre pr&eacute;sent) l&#39;inconnu. J&#39;aimais bien ce rapport &eacute;ph&eacute;m&egrave;re avec les mod&egrave;les. On &eacute;tait sur l&#39;image &agrave; 100%, dans tous les sens du terme. Ce travail ne portait pas sur l&#39;histoire, il figeait simplement un instant.&nbsp;</p> <p> Aujourd&#39;hui je ressens le besoin de charger ma photographie, de donner aux sujets une autre perspective que celle d&#39;avoir sur papier glac&eacute; leur &laquo; repr&eacute;sentation &raquo;. Il faut que dans cette image s&#39;inscrive une forme de journalisme, la consid&eacute;ration d&#39;une position, d&#39;un contexte, d&#39;une histoire pour rendre au mieux la vision du pr&eacute;sent de ce sujet, voir de son lendemain.&nbsp;</p> <p> <strong>Photographie.com : Pourquoi avez vous choisi le crowdfunding comme forme de financement ?</strong></p> <p> Au del&agrave; du concept, je trouve qu&#39;il s&#39;agit d&#39;un vrai ph&eacute;nom&egrave;ne. Le crowdfunding est r&eacute;v&eacute;lateur de notre &eacute;poque. Le retour du DIY (Do It Yourself) r&eacute;pond du m&ecirc;me principe. Aujourd&#39;hui les voies d&#39;acc&egrave;s &agrave; la r&eacute;alisation des projets &eacute;voluent, se recentrent sur les talents de chacun, sur des envies plus personnelles. On choisit le crowdfunding aussi quand on a envoy&eacute; 120 dossiers de demande de financement, et qu&#39;on a obtenu 0 &euro;. C&#39;est un vrai levier, car ceux qui contribuent &agrave; la r&eacute;alisation des projets ont le sentiment d&#39;&ecirc;tre eux-m&ecirc;mes acteurs ; parce qu&#39;ils participent financi&egrave;rement mais surtout parce qu&#39;ils savent que demain ce sera peut &ecirc;tre leur tour de proposer une id&eacute;e.</p> <p> Je pense que le crowdfunding va bouleverser beaucoup de principes de production, notamment sur les terrains du journalisme, avec le documentaire par exemple.</p> <p> En fait c&#39;est simple : autrefois, on envoyait des dossiers pour esp&eacute;rer des subventions ou un m&eacute;c&eacute;nat, mais lorsqu&#39;on &eacute;tait inconnu on n&#39;obtenait rien ; aujourd&#39;hui, avec des sites comme kisskissbankbank.com, si votre id&eacute;e s&eacute;duit, vous pouvez r&eacute;aliser ce que vous voulez!</p> <p> Propos recueillis par Roxana Traista</p> <p> L&#39;article sur PHOTOGRAPHIE.COM :</p> <p> <a href="http://www.photographie.com/news/nouvelles-du-front-sophie-arancio-photographie-la-jeunesse-afghane">http://www.photographie.com/news/nouvelles-du-front-sophie-arancio-photographie-la-jeunesse-afghane</a></p> <p> &nbsp;</p> <p> &nbsp;</p>
<p> Je ne sais pas comment remercier et signifier &agrave; quel point je suis touch&eacute;e par les soutiens que je re&ccedil;ois.<br /> D&eacute;j&agrave; 60% de l&#39;objectif est atteint en moins de 15 jours !<br /> Un grand merci, tr&egrave;s sinc&egrave;rement, &agrave; tous ceux qui comme moi croient en ce projet ou manifestent leur int&eacute;r&ecirc;t.</p> <p> Un grand merci &eacute;galement au magazine <a href="http://snatch-mag.com/" title="Snatch">Snatch</a> et &agrave; son r&eacute;dacteur en chef <a href="http://www.vincent-desailly.com/" title="Vincent Desailly">Vincent Desailly</a>, nouveau mentor du projet !<br /> Je suis ce magazine depuis ses d&eacute;buts sur le web et continue de suivre la belle aventure qui se m&egrave;ne d&eacute;sormais en kiosque.<br /> La culture encore, d&eacute;cid&eacute;ment je suis g&acirc;t&eacute;e !</p> <p> &nbsp;</p>
<p> <img alt="" height="441" src="http://www.photoservice.com/albums_en_ligne/photo/photo.cfm?pp=UWlKOGl3NklJSGh1SytJSjhCM05Jdz09&amp;e=5507" width="615" /></p> <p> Voil&agrave; un moment que je voulais faire un article sur Mirwais Mohsen, l&#39;auteur du graff qui illustre mon projet.</p> <p> Quand je parle de jeunesse afghane et que j&#39;imagine toutes ces &eacute;nergies qu&#39;on ne voit pas d&#39;ici, je pense &agrave; Mirwais qui est aujourd&#39;hui une figure du skateboard en Afghanistan.</p> <p> B&eacute;n&eacute;vole pour la fondation <a href="http://www.skate-aid.org/" title="skate-aid">skate-aid</a>, deux fois par mois, il se rend par exemple &agrave; H&eacute;rat pour enseigner le skateboard &agrave; de jeunes orphelins.</p> <p> Aujourd&#39;hui il travaille sur un nouveau projet&nbsp;: mettre en place un skate-park en plein air dans Kaboul ! J&rsquo;aime beaucoup ce projet qui pour moi incarne parfaitement la volont&eacute; de la jeunesse afghane &agrave; prendre en main son quotidien.</p> <p> Il me tarde de rencontrer Mirwais et vous imaginez bien qu&#39;il fera partie des portraits que je r&eacute;aliserai l&agrave; bas !</p> <p> J&#39;ai d&eacute;j&agrave; d&#39;autres contacts, dans les villes mais &eacute;galement dans des zones plus recul&eacute;es et chaque jour qui passe voit grandir en moi l&#39;envie d&#39;aller &agrave; leur rencontre !</p> <p> Ce sont eux le moteur quotidien de ce projet !</p>
<p> En moins d&#39;une semaine mon projet a atteint 53% de l&#39;objectif !<br /> J&#39;en suis tr&egrave;s heureuse et je voudrais remercier chaleureusement tous les kissbankers qui sont venus soutenir le projet.<br /> Voil&agrave; dix jours qu&#39;il est d&eacute;sormais en ligne et je d&eacute;couvre la frustration de ne pas conna&icirc;tre tous ceux qui se cachent derri&egrave;re les pseudos pour pouvoir les remercier un &agrave; un.<br /> <br /> Merci aussi au magazine <a href="http://www.transfuge.fr/" title="Transfuge">Transfuge</a> qui s&#39;est fait mentor du projet !<br /> J&#39;en suis tr&egrave;s honor&eacute;e car j&#39;appr&eacute;cie ce magazine pour la qualit&eacute; de sa ligne &eacute;ditoriale. Avoir la culture en ligne de mire n&#39;est pas chose ais&eacute;e en 2012 !<br /> Et puis &quot;cin&eacute;ma et litt&eacute;rature&quot;, que d&#39;inspiration, et pour le voyage notamment ! C&#39;est d&#39;ailleurs par la litt&eacute;rature que cette aventure est n&eacute;e, en d&eacute;couvrant le personnage d&#39;Annemarie Schwarzenbach, mais je vous en reparlerai !<br /> Je suis en tout cas tr&egrave;s fi&egrave;re d&#39;avoir leur soutien.</p> <p> Allez plus que 47% et je rejoins Kaboul !<br /> Kiss Kiss&nbsp;</p> <p> &nbsp;</p>
<p> En 3 jours, nous avons atteint 25% de l&#39;objectif !</p> <p> Je tiens &agrave; remercier tous les contributeurs qui soutiennent d&eacute;j&agrave; le projet et dont je devine pour certains, qui se cache derri&egrave;re les pseudos ;) Merci beaucoup pour ce soutien imm&eacute;diat !!!</p> <p> Je vous promets de vous donner des nouvelles souvent, en photo !</p> <p> Merci encore pour votre soutien et &agrave; tr&egrave;s vite !</p> <p> Kiss Kiss</p> <p> &nbsp;</p>