Kevin s'attaque à l'Everest des mers après avoir vaincu 3 fois celui sur terre

Tout ce que les hommes ont construit, ils l'ont construit avec leurs rêves.

Visuel du projet Kevin s'attaque à l'Everest des mers après avoir vaincu 3 fois celui sur terre
Réussi
24
Contributions
07/03/2018
Date de fin
4 535 €
Sur 4 500 €
100 %

Les publications

<p>Kevin sera là pour le mettre à l'eau mi-avril, d'ici là quelques images du déchargement en attendant :)</p><p><a target="_blank" href="https://www.youtube.com/watch?v=2-z--koLURA&amp;feature=share">Video arrivée Sagarmatha à port Olonna</a></p><p> </p><p> </p>
<p>Hi, my name is Aida, I'm jurnalist in France, I have seasick and I hate wind!</p><p>But the race project of Kevin Farebrother is just amazing, that's why with friends we start this crowdfunding to offer him some old boat stuff.</p><p>Kevin lives in Perth, Australia. He is firefighter, he climbs 3 times Everest and now he wants to climb the sea's Everest and he will do it!</p><p>In 4 months he will be on the start of the most difficult sailing race in the world today, the Golden Globe Race. <u>A non stop solo sailing, all over the world and without assistance. </u></p><p><strong>30 000 miles and 10 month of sea, of fight and loneliness. </strong></p><p><strong>Without GPS, without electronic He will be navigating only with stars and sun like on the golden age of solo sailing ! </strong></p><p>He will be navigating with sextant on paper charts, without electronic instruments or autopilots. He will hand-write his logs and determine the weather for himself. </p><p>He will be sailing simple boat called Sagarmatha (the nepalese name of Everest), using basic equipment to guarantee a satisfying and personal experience.</p><p><strong>The challenge is pure and very raw, placing adventure ahead of winning at all costs</strong>.</p><p>It is for ‘those who dare’, just as it was for Sir Robin Robin Knox-Johnston, the first and only winner of this race for the moment.</p><p>Wonderful idea...! Why dream of it and never do it?</p><p>I hope we could help Kevin to do it. For him and for dreams, as long as they exist on the Earth.</p><p>We are looking for somebody who could help us to translate a part of the French texte in English.</p><p>And for some money, of course ...! ;-)</p><p>See you soon !</p><p>I hope :-)</p><p>Aida</p>
<p><img alt="Bateau-1519235841" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/489212/bateau-1519235841.jpg"></p>
<p><a target="_blank" href="http://goldengloberace.com/fr/skipper/kevin-farebrother/">Présentation skipper sur le site de la Golden Globe Race</a></p><p>Kevin Farebrother, pompier de Perth, est un aventurier dans l’âme, ayant récemment accompli sa troisième ascension du Mont Everest avec succès. L’ancien soldat du 23 SAS a emporté avec lui pour cette ascension une copie du livre de Sir Robin Knox-Johnston « <em>A world of my own</em>« , et dit: “Le récit de la victoire de la première Golden Globe Race en 1969, était beaucoup plus effrayant que tout ce que j’ai pu affronter pour grimper en haut de l’Everest! ». Kevin a navigué sur un voilier UFO 34 ces trois dernières années, et a acheté le Tradewind 35 <em>Silver Heels</em>, de Don McIntyre pour participer à la GGR. “Ma première mission sera de naviguer avec de Sydney jusqu’à Perth, comme premier entraînement à bord. L’amener jusqu’en Angleterre pour le départ est le plus gros challenge. Cela implique d’effectuer le tour de l’Australie, de traverser le Pacifique jusqu’au Panama et de naviguer en solitaire en remontant l’Atlantique, tout en essayant de diminuer mais de conserver mon travail!” Entre temps, Farebrother a une ascension de l’Everest supplémentaire au programme. “Je guiderai une équipe jusqu’au sommet en avril 2017, ensuite je me concentrerai pleinement sur la GGR. C’est une chance unique au cours d’une vie, de tester à la fois le mental et le physique jusqu’à leurs limites. Le défi est d’être seul sur une si longue période, sans personne pour échanger ni idées, ni pensées, quand les choses deviennent difficiles. ”</p><p> </p><p> </p><p><strong>Le Bateau</strong></p><p><img alt="Bateau-1519235841" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/489212/bateau-1519235841.jpg"> Kevin Farebrother a acheté le Tradewind 35, <em>Silver Heels</em>, de Don McIntyre. Cette conception réussie de John Rock comprend toutes les qualités reconnues qui inspirent pleinement confiance. Avec une longue quille et un déplacement lourd, une solide coque GRP, des ballastes et un pont en couches de balsa, il est "l'ultime vaisseau des Mers". Le Tradewind 35, voilier à toutes épreuves, est rapide, confortable et sécurisant, ce qui fait de lui un plaisir à la navigation.</p>
<p><strong>La Golden Globe n'est pas seulement une course. Elle est légende. Une course ultime, la première au monde en solitaire, parsemée de drames, qui a donné en français le plus beau livre de mer jamais écrit, La longue route de Bernard Moitessier. Elle revient, 50 ans plus tard. Et cette fois, elle partira de France, des Sables d'Olonne, en Vendée</strong></p><p>Entre le mal de mer et ma détestation du vent, rien ne me prédisposaità croiser un jour la route de la Golden Globe Race. Ce n'est pas seulement un tour du monde à la voile, en solitaire, sans escale et sans assistance qui partira en juillet des Sables d'Olonne, en France. C'est une course de légende, surtout, qui n'est partie qu'une fois, en 1968, de Plymouth, au sud de l'Angleterre, à l'initiative du Sunday Times. Une course ultime, la première au monde en solitaire, parsemée de drames, qui a donné en français le plus beau livre de mer jamais écrit,<em> La longue route</em> de Bernard Moitessier.</p><p>Personne n'a osé la refaire depuis. Et c'est aujourd'hui, 50 ans plus tard, qu'un Australien , et depuis le célèbre port du Vendée Globe aux Sables d'Olonne, aligne sur la ligne de départ 23 skippers de 14 nationalités différentes.</p><p>Je les ai rencontrés, ce matin, ces marins un peu fous qui partiront pour 10 mois de mer et de solitude, sans électronique, sans GPS, sans satellite, se guidant à l'ancienne, avec un sextant, un compas, des cartes et les étoiles.</p><p>Je n'avais pas vu depuis longtemps des visages et des vies aussi romanesques. Dans leurs yeux à tous, vibraient Robin Knox-Johnston etBernard Moitessier:</p><p><em>"</em><em><em>J'écoute la mer, j'écoute le vent, j'écoute les voiles qui parlent avec la pluie et les étoiles dans les bruits de la mer et je n'ai pas sommeil"</em> ... </em></p><p>Je crois que pour un an, ils voleront le mien, aussi !</p><p><em>« On ne demande pas à une mouette apprivoisée pourquoi elle éprouve le besoin de disparaitre de temps en temps vers la pleine mer. Elle y va. C'est tout. Et c'est aussi simple qu'un rayon de soleil, aussi normal que le bleu du ciel </em>».</p><p>Je ne le leur ai pas demandé non plus. Mais j'ai capté dans mon iphone leur photo. Puissent-ils tous revenir sains et saufs. Et puissions-nous les lire, partir avec, et revenir plus humains, plus apaisés, comme nous revenons à chaque fois depuis quarante ans, de la lecture de <em>La Longue Route</em> de Bernard Moitessier..!</p><p><a target="_blank" href="https://youtu.be/rkCEjGsDEFo">Qu'est-ce que la Golden Globe? Et pourquoi je l'aime. </a></p>