"L'Argent de Zola et le krach de l'Union générale : une étude juridique" par Edouard RICHARD

Relecture juridique et historique inédite de l'Argent de Zola en parallèle avec la chute de la véritable Union Générale.

Visuel du projet "L'Argent de Zola et le krach de l'Union générale : une étude juridique" par Edouard RICHARD
Réussi
50
Contributions
07/12/2016
Date de fin
4 075 €
Sur 4 000 €
101 %

"L'Argent de Zola et le krach de l'Union générale : une étude juridique" par Edouard RICHARD

<p> <img alt="Papouuu3-1478346336" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/365480/papouuu3-1478346336.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>                                                 A TOUS,</strong></p> <p>  </p> <p> FAMILLE, PROCHES, MOINS PROCHES, ANCIENS ETUDIANTS, AMIS DE BOULOT ET PAS DE BOULOT, A TOI GENEREUX ETRANGER, A CEUX QUE JE CONNAIS PAS ENCORE..., A VOUS TOUS CHERS A MON COEUR !</p> <p>  </p> <p> OYEZ BRAVES GENS LA COMPLAINTE DE VOTRE SERVITEUR QUI VOUS TEND LA MAIN !!!</p> <p>  </p> <p> <strong>     CONTRIBUEZ AU FINANCEMENT D'UNE REEDITION </strong></p> <p> <strong>                    UNIQUE, ORIGINALE ET NOVATRICE</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                                                Après trois ouvrages </strong></p> <p>  </p> <p> <em>Ernest Renan penseur traditionaliste ?</em> (1996), <em>Droit des affaires – questions contemporaines et perspectives historiques</em> (2005) et <em>Le</em> <em>Parfait Négociant</em> de Jacques Savary (2011).</p> <p>  </p> <p>         Don Ricardo il Magnifico vous présente son quatrième opus dont voici le titre :</p> <p>  </p> <p> <strong><em>               </em></strong></p> <p> <em><strong>          L'ARGENT DE ZOLA ET LE KRACH DE L'UNION GENERALE</strong></em></p> <p> <strong>                                           UNE ETUDE JURIDIQUE</strong></p> <p>  </p> <p>                        1er volume : 3.163.534 caractères (1.136 p.) Format papier</p> <p>                      2e volume : 3.561.658 caractères (1.300 p.) Format numérique</p> <p>                        <strong>soit plus de 2.400 pages d'histoire du droit des affaires !</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>                        Sa publication dans de bonnes conditions dépend </strong></p> <p> <strong>                                         ESSENTIELLEMENT DE VOUS !</strong></p> <p>  </p> <p>                                     Et c'est pour cela que je sollicite votre aide</p> <p>  </p> <p> Le manuscrit est entre les mains de la maison d'édition Droz (Genève). Mais éditer un ouvrage de cette importance est très coûteux. J'espère arriver à vous convaincre de participer et de m'aider en sollicitant votre aide via KisskissBankbank.</p> <p> Pour cela je vous présente ci-dessous mon projet génial et captivant, fruit de plus de quatre années de labeur intense !</p> <p>  </p> <p> <em><strong>                                       Les motivations du projet </strong></em></p> <p>  </p> <p> De multiples rééditions de <em>L’Argent</em> ont été faites depuis la date de parution de cet épisode des Rougon-Maquart (1891). Certaines très détaillées sont issues particulièrement de la plume d’Henri Mitterrand dans les années 1960. Nombre de rééditions de poche sont également parues et comportent d’intéressantes annexes, des dossiers explicatifs, des glossaires… mais restent, au vu de leur format, fatalement lacunaires.</p> <p> Mais<strong> aucune étude juridique d’ampleur n’a été faite sur ce roman</strong>, même si les aspects, notamment économiques, ont pu ponctuellement être abordés, notamment, mais pas seulement, par certains spécialistes des lettres zoliennes.</p> <p> <strong>Le véritable krach de l’<em>Union Générale (1882)</em></strong>, qui ruina tant de nos ancêtres, et dont Zola s'inspira pour la trame de son ouvrage a été mis en lumière par l'ouvrage de l’économiste-historien Jean Bouvier (<em>Le krach de l’Union Générale</em> – 1965). La catastrophe a été également été examinée sous l’angle comptable par le spécialiste qu'est Nicolas Praquin. Maintes publications plus modestes, des articles, évoquent l’œuvre de Zola et/ou la réalité de la chute de l’<em>Union générale, </em>souvent sur un plan politique et/ou littéraire.</p> <p> Seuls quelques articles ou chapitres d’ouvrages) abordent incidemment le champ de la comparaison entre le roman et la réalité, même si l’on affirme couramment que Zola s’inspira du krach de la banque d’Eugène Bontoux. <strong>Cependant, aucune étude d’ampleur n'avait été entreprise jusqu'à maintenant !</strong> Pourtant l’étude de <em>L’Argent</em>, figure régulièrement dans les programmes des lycées, des écoles préparatoires, écoles de commerce, universités et autres instituts de formation.</p> <p> <strong>Mais, aucune étude d’histoire juridique consacrée à la question des rapports entretenus entre <em>L'Argent</em> le droit n'existait jusqu'à aujourd'hui</strong>, constat a de quoi surprendre lorsque l’on connaît la rigueur avec laquelle Zola tissait les liens entre  fiction romanesque et réalité. Il avoua lui-même que la rédaction de <em>L’Argent</em> avait été celle qui avait exigé de lui le plus d’efforts d’investigation. On en trouve une preuve dans les <strong>2000 pages de ses notes préparatoires</strong>.</p> <p> Confronté à la réalité du droit économique et financier de son temps, Zola a tenté de maîtriser, autant que pouvait le faire un non-spécialiste averti qu'il était, les tenants et aboutissants de l’odyssée de l’<em>Union Générale</em>. Le réalisme de ses descriptions de technique juridique, nonobstant quelque rares errements, est assez remarquable pour un profane. En un sens, l’aixois est plus méritant que Balzac qui avait bénéficié de sa formation de clerc de notaire pour écrire, par exemple César Birotteau.</p> <p>  </p> <p> <strong>         Voilà pourquoi nous nous sommes attelés à cette immense tâche</strong>.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><em>                                       Quel en a été le modus operandi</em></strong> ?</p> <p>  </p> <p> Le projet qui fut le nôtre consista donc à établir un parallèle aussi fidèle que possible entre les deux « aventures », la fictive romanesque et celle, réelle de l’<em>Union</em>, tout en tenant à la main le fil conducteur du droit, et ce depuis le dépôt des statuts constitutifs de la véritable Banque, jusqu’à sa chute magistralement décrite par Zola. L’ampleur de la tâche s’est avérée telle qu’elle ne pouvait que prendre la forme d’une publication dense et renseignée, étant donnée la précision parfois quasi-mathématique de Zola dans la fabrication de ses ouvrages. Mais l’approche juridique du roman, pouvait également servir de prétexte à une étude <strong>sur la réalité du krach</strong> de la banque catholique de Bontoux. Comme pour le roman lui-même, et là encore, <strong>aucune étude d’histoire juridique n’avait été opérée</strong>. La rédaction de notre étude permet donc de faire d’une pierre deux coups.</p> <p> Pour autant la volonté de ne pas quitter une orbite didactique nous a poussé à tenter d’échafauder un ouvrage disposant de plusieurs niveaux de lecture. Le plus accessible d'entre eux se situera dans les notes de bas de page figurant, au sein du premier volume, sous le texte original de <em>L’Argent</em>.</p> <p> <strong>Plus de 600 notes explicatives !</strong></p> <p> Ces dernières renvoient fréquemment à des développements beaucoup plus significatifs évoqués dans <strong>la partie <em>Commentaire</em></strong> suivant immédiatement le texte même du roman annoté. C’est au sein de ce dernier (800 pages) que figurent les divers développements thématiques permettant d’effectuer le parallèle entre la version du roman et la réalité de la vie et la chute de <em>l’Union </em>générale, et ce dans le contexte précis de l’époque. Outre la dimension financière et juridique, sont également évoqués les éléments participant de l’ambiance politique, sociale et idéologique qui entourèrent l’affaire.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>                                        Des leçons pour aujourd'hui...</strong></em></p> <p>  </p> <p> Le plus frappant dans cette affaire est <strong>son caractère extrêmement contemporain</strong>, les réflexes des acteurs du monde de la finance est déjà exactement les mêmes que ceux qui les guident aujourd’hui dans leurs actions. Les lacunes du droit, ses faiblesses sont autant de failles dont les « hommes d’affaires » profitent pour développer leur activité. Pensez à la chute de Lehman brothers !</p> <p> La sanction judiciaire des comportements déviants est aussi une œuvre délicate. <strong>Le dépouillement de la jurisprudence</strong> de l’<em>Union générale</em> (non seulement des procès principaux, mais aussi des autres procès annexes non connus liés à l’affaire), des plaidoiries des ténors du barreau  (<em>in extenso</em>), <strong>a été entièrement effectué</strong>.</p> <p> L'écheveau des intérêts très complexes et souvent contradictoires qui opposèrent les actionnaires et les créanciers, mais aussi les intermédiaires (agents de change, coulissiers), sont décryptés pièce par pièce.</p> <p> On y voit que les grandes questions qui agitent encore aujourd’hui la plume du législateur et le regard des médias (rachat d’actions, dividendes fictifs, rémunérations des dirigeants et administrateurs des grosses entreprises, manipulations des assemblées générales etc.) sont déjà présentes à l’époque. L’éternel chassé-croisé entre le droit et la pratique...</p> <p> Et puis le véritable cataclysme que constitua la faillite de l’<em>Union</em> pour des milliers de petits porteurs malheureux, explique encore aujourd’hui le caractère parfois timoré de la législation française en matière de libéralisme. ces derniers ne sont plus là pour le dire, mais nous le racontons pour eux, évoquant le caractère parfois assez ahurissant, sur le plan de l’équité, des solutions jurisprudentielles qui sacrifièrent bien d'entre eux et/ou de créanciers, voire encore <strong>l’indulgence au minimum surprenante dont bénéficièrent la plupart des administrateurs</strong>.</p> <p>  </p> <p> <strong>Le deuxième tome</strong> de cette étude est essentiellement composé de pièces justificatives que nous avons pu nous procurer  (archives nationales, BNF et autres bibliothèques...) non seulement en consultant les manuscrits de Zola, mais surtout les archives de l’<em>Union Générale</em>. Là encore, le rapprochement avec les renseignements fournis par le romancier est particulièrement saisissant de réalisme. <strong>La consultation des Archives notariales nous a permis de mettre la main sur nombre de pièces originales</strong> (statuts de la société, actes modificatifs, liste des souscripteurs, plaidoiries, réquisitoires, etc.), et de mieux appréhender la manière dont les contemporains avaient perçu le drame grâce aux témoignages et analyses des contemporains (juristes, journalistes, publicistes…), souvent dans le feu de l’action.</p> <p> <strong>Le désarroi des juristes de l’époque quant à la perception des conséquences de ce terrible krach</strong> en dit long sur l’imperfection congénitale de la science juridique, lorsque celle-ci se trouve confrontée aux réalités économiques qu’elle est loin de maîtriser.</p> <p>  </p> <p> Figurent en outre dans les deux volumes <strong>plusieurs illustrations</strong> (dont des dessins originaux réalisés par un de mes étudiants), <strong>des photos</strong> de documents originaux, <strong>des portraits</strong> d'époque, mais aussi <strong>des schémas et tableaux</strong> explicatifs des montages financiers, des bilans de faillite etc.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>    Ci-dessous : Le cadre idyllique dans lequel fut conçu l'ouvrage, soit mon bien aimé bureau 320 !</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Papapapapa-1478347307" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/365482/papapapapa-1478347307.jpg"></p> <p> <strong>                                                      </strong></p> <p> <strong>  Ci-dessous, la couverture d'un dossier constituant les Minutes notariales déposées aux </strong><strong>Archives Nationales.</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Papa2-1478346024" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/365478/papa2-1478346024.jpg"></p> <p> <strong>                   </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Ci-dessous, Jules Feder et Eugène Bontoux, respectivement directeur et président de l'Union Générale</strong></p> <p> <strong>(illust. orig. Raphael Siboni)</strong></p> <p>  </p> <p> <strong><img alt="Bontoux-1479054068" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/368137/Bontoux-1479054068.jpg"> </strong></p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> <strong>                                     VOICI EN QUOI VOUS POUVEZ M'AIDER</strong> §</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Le but de la collecte est de pouvoir contribuer à financer pour une part appréciable la publication de l'ouvrage. Les fonds recueillis seront <strong>intégralement reversés à l'éditeur</strong> (Droz, Genève, CH).</p> <p>  </p> <p> <strong>Je ne touche aucun droit d'auteur</strong> sauf  dans deux cas:</p> <p> - si l'ouvrage est financé à 100%</p> <p> - en cas de réédition.</p> <p>  </p> <p> En bref, osons rêver., çà au moins çà ne coûte rien..</p> <p>  </p> <p> <strong>                                     </strong></p> <p>  </p> <p> Une aide financière est demandée parallèlement au <strong>Centre National du Livre</strong>, organisme dont la décision de subvention, si elle est octroyée, sera donnée fin janvier 2017.  Mais la participation de cet organisme est aléatoire et limitée.Je percevrai un aide de mon <strong>laboratoire de rattachement </strong>(IODE UMR CNRS) que je remercie au passage !</p> <p> Le devis est, vous l'aurez constaté, très élevé. Mais il ne s'agit pas d'un ouvrage de poche, et encore moins de l'oeuvre d'un auteur de best-sellers à succès (on est peu de chose...). Mais le vrai bonheur est d'être édité, de matérialiser tous mes rêves liés à mon boulot que j'adore.</p> <p>  </p> <p> En vertu du contrat qui m'a été proposé, <strong>seul le premier volume</strong> sera édité sous version papier. Le second, qui comprend toutes les pièces justificatives, ne sera édité qu'en format numérique, accessible via internet contre paiement en ligne. Les éditeurs sont plus en plus enclins à réduire leurs risques par ce type de procédés.</p> <p>  </p> <p> <strong>                                               POURQUOI 4.000 € ?</strong></p> <p>  </p> <p> D'abord parce que le devis de l'éditeur s'élève à 27.907 € !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="2446_001-2-page-001-1479197333" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/368617/2446_001-2-page-001-1479197333.jpg"></p> <p>  </p> <p> Sans contribution financière, chaque exemplaire de l'ouvrage <strong>serait proposé à un prix public de 250 € !!</strong>! Bref, invendable, inaccessible, même pour les institutions (bibliothèques etc.).</p> <p>  </p> <p> En espérant, raisonnablement, des aides publiques à hauteur de 30% du projet, et en ajoutant la somme de 4.000 € issue de votre aide,<strong> j'espère pouvoir approcher les 50% dudit devis</strong>.</p> <p>  </p> <p> Comme vous pouvez le voir sur l'image ci-dessus, 8.400 € de subvention permettraient d'abaisser le prix de vente public de  l'ouvrage à 149 €. 14.000 € de subvention permettraient d'abaisser le prix  89 €, etc..                              </p> <p>  </p> <p> Chaque euro obtenu permettra donc en premier lieu  de publier le livre, mais encore d'assurer sa diffusion en en réduisant notablement  le prix de vente.</p> <p>  </p> <p>                                            <em><strong>Donc chaque euro compte !</strong></em></p> <p>                                                              <strong>  et</strong></p> <p> <strong>                                            c'est là un enjeu majeur  ! </strong></p> <p>  </p> <p> Qui plus est, <strong>même au-delà de la somme fixée ici</strong>, chaque euro conserve une utilité majeure puisqu'il contribue à réduire le prix de vente et donc de promouvoir l'accès au livre à tous.</p> <p>  </p> <p> <strong>Mon rêve le plus fou  serait de passer à la baisse la barre symbolique d'un prix public de  50 € </strong></p> <p>  </p> <p>                                              <strong>Réaliser cet objectif dépend de VOUS !</strong></p> <p>  </p> <p> Si l'on doit réserver l'édition aux seuls romans à succès l'on tombera alors dans le matérialisme le plus vulgaire. Rares sont les éditeurs prêts à prendre des risques, le mien est sérieux mais, et c'est bien compréhensible, ne désire pas se lancer dans une entreprise impossible. Alors à vos marques... prêts ?</p> <p>  </p> <p> <strong>                                       </strong></p> <p> <strong>                                               La question des contreparties</strong>.</p> <p>  </p> <p> Je ne peux véritablement offrir, comme vrai cadeau, que l'ouvrage lui-même au dix meilleurs contributeurs (v. infra les contreparties), et une superbe reproduction photographique d'une action de l<em>'Union Générale</em> pour bien d'autres contributeurs = idée déco !!! <strong>sans parler d'un message personnalisé de remerciement pour tous !</strong> (vous êtes gâtés hein ?)</p> <p>  </p> <p> Alors, et en dehors de cela je ne renverrai que de la reconnaissance, de l'affection, de l'amour même... et çà, cela n'a pas de prix n'est-ce-pas ? Comment disait Roberto Benigni :</p> <p>  </p> <p> <strong>                               "Mon coeur est époustouflant" !!!</strong></p> <p>  </p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="//cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2FoQTWR_wKZII%3Fwmode%3Dopaque%26feature%3Doembed&amp;wmode=opaque&amp;url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DoQTWR_wKZII&amp;image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FoQTWR_wKZII%2Fhqdefault.jpg&amp;key=ff2702755d9749cda571c6d6c2f3eb46&amp;type=text%2Fhtml&amp;schema=youtube" width="540"></iframe></p> <p>  </p> <p> <strong>Si le projet échoue, ce sera cinq années de travail foutues en l'air ! </strong>Voilà, si avec çà vous n'avez pas un vieux sentiment de culpabilité qui vous étreint en cas de refus ou d'ignorance, c'est que vous êtes des monstres froids d'égoïsme et de cupidité inversée.</p> <p>  </p> <p> Enfin, et c'est là l'argument déterminant pour la famille, l'ouvrage sera dédié à "Nonne et Max" !!! çà en jette hein ?</p> <p>  </p>

Contreparties

5 €

  • 3 contributions
Un remerciement personnalisé par mail !

Livraison estimée : novembre 2016

15 €

  • 5 contributions
Un remerciement personnalisé par mail accompagné en pièce jointe d'un chapitre de l'ouvrage, sous format PDF, dans sa version quasi-définitive (les renvois infra-paginaux n'étant faits qu'en toute fin de processus éditorial).

Livraison estimée : décembre 2016

25 €

  • 19 contributions
Un remerciement personnalisé par mail accompagné en pièce jointe d'un chapitre de l'ouvrage, sous format PDF, dans sa version quasi-définitive (les renvois infra-paginaux n'étant faits qu'en toute fin de processus éditorial). + une superbe reproduction photographique d'un titre de l'Union Générale ou d'un certificat nominatif original de souscription d'un véritable actionnaire ou encore d'un certificat d'inscription d'action nominative par... le syndic de faillite !

Livraison estimée : décembre 2016

120 €

  • 4 contributions
Un remerciement personnalisé par mail accompagné en pièce jointe d'un chapitre de l'ouvrage, sous format PDF, dans sa version quasi-définitive (les renvois infra-paginaux n'étant faits qu'en toute fin de processus éditorial).! + Un exemplaire papier de l'ouvrage (soit le tome 1 puisque le second est sous PDF) pour les dix premiers contributeurs offrant la plus forte participation. Mais plusieurs petits Kissbankers peuvent se regrouper pour permettre à l'un d'entre eux de bénéficier de la contrepartie ! Deux d'entre les dix exemplaires concernés leur seront expressément réservés en priorité. Tous les exemplaires concernés seront personnellement dédicacés.

Livraison estimée : octobre 2017

Faire un don

Je donne ce que je veux