Ecrire, je l'ai toujours fait. Pourquoi? parce que c'est comme ça. La plupart des gens qui s'exprime grâce à l'art, le font par nécessité,. C'est comme respirer, mais la majorité ne pourra jamais transmettre aux autres cette passion. Il m'a fallut 30 ans pour arriver à terminer un écrit, aller de l'idée à l'accomplissement d'un travail fastidieux. Tous ceux qui ont écrit un jour un poème, un roman, une nouvelle, un scénario connaissent le sentiment de lassitude à la fin du travail, après l'euphorie. Ce sentiment qui vient après avoir envoyé 30 fois son manuscrit et obtenu péniblement 5 réponses robotisées. Le marché est ainsi, les grandes maisons d'éditions ne regardent pas en direction des nouveaux auteurs, les petites sont dépassées par le nombre.
Il existe peut être une autre solution? L'engagement des lecteurs, les défenseurs de la création et du droit de rêver. Oui du droit de rêver et de rendre disponible ce rêve et peut être même d'en vivre un peu!
"La disparition d'Eve" est une dystopie. C'est un roman qui évoque un monde sans femme, ni sans possibilité d'en créer une. Il raconte la chute de la civilisation sous la dominance des hommes, mais aussi la survie d'un groupe d'hommes, et peut être l'espoir. C'est une fin du monde qui porte un message, et c'est à vous d'en explorer la teneur.

Ce roman est pour moi comme un enfant que je veux faire vivre, grandir et que je trouve fantastique bien évidemment!

J'ai 45 ans et je tente ce pari insensé...Mieux vaut essayer et échouer que de ne jamais rien avoir tenté.

"La disparition d'Eve", un roman sur le monde après les femmes