La High Tech ne fait pas de quartier

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Visuel du projet La High Tech ne fait pas de quartier
Réussi
72
Contributions
09/04/2015
Date de fin
3 126 €
Sur 2 500 €
125 %

Soutenu par

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La High Tech ne fait pas de quartier

<p dir="ltr"> Tout d'abord, un tout grand merci à nos 65 contributeurs! Grâce à vous nous avons atteint notre objectif et cela nous touche beaucoup. Les coûts totaux de notre projet sont bien plus élevés que 2500 euros, ce pourquoi nous avons encore besoin de vous. Dépasser cette barre nous permettra de couvrir plus de frais et d'aller plus loin. Nous avons l'ambition de nous rendre dans d'autres villes dans le but de comparer les situations et de dégager une synthèse de nos différentes observations. Si vous voulez nous permettre de réaliser ce projet qui nous tient très à coeur, Kiss-Bankez-nous, vous ne le regretterez pas!</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Les entreprises numériques ont un impact indéniable sur nos modes de vie et sur l’économie au niveau global, <strong>qu’en est-il de l’influence qu’elles exercent dans les localités où elles s’installent physiquement </strong>?</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> A San Francisco, ville qui connaît une proximité directe avec la <strong>Silicon Valley</strong> (une région qui accueille le siège social de plus de <strong>6000 entreprises</strong>, dont une majorité appartient au secteur qui nous intéresse), comment expliquer que le prix moyen des <strong>loyers</strong> ait augmenté de près de 40% entre 2011 et 2013 dans certains quartiers, autrefois considérés comme  populaires ? Comment se fait-il que dans ces mêmes quartiers, le nombre d’expulsions arbitraires ait drastiquement augmenté durant les 3 dernières années ? Et que ces <strong>expulsions arbitraires</strong> se produisent dans près de 70% des cas dans des périmètres situés à proximité des navettes privées mises à disposition par les entreprises High-Tech pour permettre à leurs employés basés à San Francisco de rejoindre leur lieu de travail dans des conditions optimales ?</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <img alt="Bj9kvszwxhwxfk5pm9ks-1423833434" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/162172/bj9kvszwxhwxfk5pm9ks-1423833434.gif"></p> <p dir="ltr"> <em>Crédit Ashley Feinberg</em></p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Aujourd’hui, <strong>la ville est devenue la plus chère des États-Unis</strong> en ce qui concerne le prix de l’immobilier, sans que les revenus augmentent proportionnellement pour une majorité de la population. Des quartiers entiers sont refaçonnés. Continuer à y vivre est dès lors devenu impossible pour beaucoup d’habitants. Partir serait-elle alors l’unique solution envisageable?</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <strong>De nombreuses voix s’élèvent parmi les San-Franciscains</strong>, désignant les employés du secteur technologique comme les principaux responsables de ces changements. Dû au fait qu’ils soient bien mieux payés que la majorité des locaux et jouissent de conditions de travail optimales, ils sont accusés de <strong>modeler la ville à leur image</strong>, au détriment des autres citoyens.</p> <p dir="ltr"> A partir de ce constat, la question que nous nous posons est la suivante: malgré les promesses de progrès qu’elle avance, l’industrie technologique est-elle génératrice d’inégalités au niveau local?</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <img alt="Bus_eviction_sf-1423833586" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/162181/Bus_eviction_sf-1423833586.jpg"></p> <p dir="ltr"> <em>Crédit Beck Diefenbach/Reuters </em></p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <u>Notre projet</u></p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Pour nous, San Francisco représente un <strong>point de départ crucial.</strong> Cette ville nous permettra de nous pencher sur l’impact socio-économique que la présence d’<strong>entreprises technologiques</strong> peut avoir sur une localité bien définie. Notre projet d’ici <strong>janvier 2016 </strong>est de réaliser un <strong>dispositif documentaire interactif </strong>(plateforme <strong>web</strong>) qui vous permettra de partir à la rencontre des acteurs entrant en jeu dans la mutation que connaît la ville, ainsi que d’en <strong>comprendre les différents enjeux</strong>. Les nouvelles formes de narration journalistique nous passionnent et nous sommes déterminés à en faire le meilleur usage afin de vous proposer une <strong>expérience aussi enrichissante qu’innovante.</strong></p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Mais ce n’est pas tout ! Nous sommes convaincus que ce reportage sur San Francisco ne doit représenter qu’une <strong>première étape </strong>dans le cadre de notre projet. C’est pourquoi nous avons prévu de l’intégrer sur une <strong>plateforme web entièrement mise en place par nos soins</strong> qui, à terme, aura l’ambition de devenir un véritable <strong>lieu de questionnement </strong>et d’interaction à propos de l’impact de l’industrie technologique sur l’organisation des sociétés au niveau local. D’autres technopoles que la Silicon Valley existent de par le monde, et il nous semble intéressant de comparer ces cas à celui de San Francisco. Pourquoi ne pas envisager un détour par Dublin ou Paris ?</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Si le point de départ de notre aventure est clairement défini (elle commence dès aujourd’hui, et grâce à votre contribution),  elle ne connaît <strong>pas de ligne d’arrivée déterminée</strong>, au contraire des formats journalistiques classiques. Mais une chose est certaine : en nous apportant votre soutien, vous vous<strong> engagez </strong>aussi dans une histoire qui va s’inscrire au-delà d’une vision à court terme !</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <strong>Janvier 2016, c’est loin.</strong> Dès lors, nous vous proposerons un <strong>blog </strong>qui vous permettra de vous nourrir l’esprit du sujet et d’<strong>enrichir vos connaissances</strong>. Vous pourrez interagir avec nous grâce à notre page <a href="https://www.facebook.com/pages/LHigh-Tech-ne-fait-pas-de-quartier/825880117503385?ref=aymt_homepage_panel" target="_blank">Facebook</a>, notre compte <a href="https://twitter.com/HTPasDeQuartier" target="_blank">Twitter</a> et notre blog tout au long de la préparation et du reportage sur place.</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <u>Qui sommes-nous ?</u></p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <strong>Adrien</strong>, scout dans l’âme, se lance petit à petit dans l’univers technologique et numérique avec grand intérêt. Fort d’une expérience d’un an aux États-Unis, il a hâte de découvrir ce que San Francisco a à lui apprendre. Son atout? Le web.</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <strong>Arthur, </strong>connaît bien San Francisco. Il y a déjà vécu 5 mois et son amour pour la “City by the Bay” n’est un secret pour personne. Son expérience du terrain fera de lui un guide privilégié sur place.</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Toujours dynamique, <strong>Lola</strong> a le contact facile. Elle n’a pas peur de se lancer dans l’inconnu et sera donc très utile dans la prise de contact avec nos différents intervenants aussi bien dans la préparation du reportage que sur place.</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <strong>Céline</strong>, passionnée de photo et de musique, sera la touche créative de notre équipe. Elle regorge d’idées et de bons plans, un grand atout pour notre périple aux États-Unis.</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> <img alt="Ok-1423844044" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/162289/OK-1423844044.jpg"></p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> C’est à <strong>Bruxelles,</strong> où nous nous serrons depuis plus de 3 ans sur les bancs de <strong>l’IHECS </strong>(une haute-école où nous suivons tous les quatre un Master en journalisme), que nos <strong>chemins se sont croisés</strong>. Pour nous tous, ce projet représente l’<strong>aboutissement de ces années d’étude</strong> mais aussi le projet le plus ambitieux que nous ayons jamais entrepris de nos <strong>jeunes vies</strong>. Projet que nous nous engageons à développer selon une démarche journalistique rigoureuse et innovante.</p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p dir="ltr"> Afin de réaliser ce <strong>projet passionnant,</strong> nous avons besoin de vous pour nous <strong>aider financièrement</strong>. Les premiers frais concernent notre reportage web à San Francisco. Notre budget global représente 5.874,464 euros euros répartis comme suit:</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Appartement : 1416 euros</p> <p dir="ltr"> Vie sur place: 1095, 34 euros</p> <p dir="ltr"> Billets d’avion : 2760 euros</p> <p dir="ltr"> Passeports : 130 euros (pour Lola et Adrien)</p> <p dir="ltr"> Carte de téléphone américaine : 40 euros</p> <p dir="ltr"> Carte de transport BART et MUNI (pour les déplacements) : 283,30 euros</p> <p dir="ltr"> Contributions KISS KISS BANK BANK : 150 euros</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Nous prenons en charge les billets d’avion qui d’ailleurs sont déjà achetés. Dès le début, nous avons cru en notre projet. C’est pourquoi, nous avons « pris le taureau par les cornes » en investissant dans nos billets d’avion assez tôt afin de profiter de prix plus bas. Nous prenons aussi en charge les passeports, la carte de téléphone et les transports sur place.</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Nous vous demandons donc <strong>2.500 euros</strong> qui couvriraient la location d’un appartement (1.416€) et la vie sur place (1095.34€).</p> <p dir="ltr">  </p> <p dir="ltr"> Nous comptons sur votre <strong>générosité </strong>pour nous aider et nous soutenir. Nous avons besoin de vous pour garantir la faisabilité de ce projet. Comme nous vous l’avons dit, les <strong>coûts globaux </strong>seront bien plus élevés que 2.500€. Si nous dépassons cette barre, nous pourrons donc couvrir plus de frais. Ce qui pourrait nous permettre, comme évoqué plus haut, de nous rendre dans <strong>d’autres villes</strong> dans le but de comparer les situations et de dégager une synthèse de nos différentes observations. </p> <p>  </p>

Contreparties

5 €

  • 14 contributions
Toute contribution est précieuse, merci beaucoup! Votre nom apparaîtra dans nos “remerciements” et vous serez invités à notre soirée de présentation qui aura lieu à Bruxelles.

15 €

  • 17 contributions
Un tout grand merci! Nous vous enverrons une carte postale de San Francisco. A cela s’ajoute la contrepartie de la donation précédente.

25 €

  • 11 contributions
Nous vous offrons un tirage d’une photo A4 imprimée que nous aurons prise sur place lors de notre voyage à San Francisco ainsi que les contreparties précédentes.

50 €

  • 9 contributions
Votre don est essentiel. Nous vous offrons un poster imprimé d’une photo de votre choix, une capsule vidéo de notre expérience san franciscaine et les contreparties précédentes.

100 €

  • 6 contributions
Merci pour votre confiance et votre générosité. Nous vous proposons une conversation en directe quand nous serons sur place (via Skype ou Hang out). Cela vous permettra de poser vos questions et de vous tenir au courant de l'état de l'avancement du travail. Nous vous offrons aussi un bel album photo fait main avec nos meilleurs clichés pris à San Francisco.

200 €

  • 2 contributions
Waouw, milles merci! Nous vous invitons à une soirée conviviale pour partager un bon repas à l’américaine préparé par l’équipe afin de discuter et d’échanger sur notre sujet. A cela s’ajoute les contreparties précédentes.

300 €

  • 1 contribution
Visiblement vous vous sentez spécialement impliqué dans notre projet et nous vous en sommes très reconnaissant! Devenez notre partenaire et rencontrons-nous afin de discuter des termes de notre collaboration.

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