La peau de la Grande Ourse

Venez à la rencontre de deux femmes, de deux choix de vie; Lia en lutte contre le système, Claire en lutte pour y survivre. Deux vies que tout opposent, elles se rencontrent dans leurs faiblesses et leurs échecs ; deux solitudes de femmes en rupture avec leur temps qui tentent de trouver un sens dans un monde qui va trop vite pour elles. Aidez-nous à concrétiser ce projet.

Visuel du projet La peau de la Grande Ourse
Réussi
14
Contributions
26/12/2012
Date de fin
660 €
Sur 600 €
110 %

La peau de la Grande Ourse

<p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><em>UN GRAND MERCI A TOUS !!!! L'OBJECTIF A ETE ATTEINT GRACE A VOUS..... MAIS LA COLLECTE CONTINUE!!!!</em></strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em>NOUS AVONS ENCORE BESOIN DE VOTRE AIDE POUR LE DECOR, LES FLYS, LES COSTUMES.......</em></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><em>MERCI!!!merci!!</em></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Deux comédiennes, un metteur en scène, un musicien, un vidéaste reunis autour<u> </u>du projet<em>  <u>La peau de la grande Ourse</u></em><u>.</u></p> <p>  </p> <p> <strong>Metteur en scène</strong> Emmanuel Strauss</p> <p> <strong>Comédienne</strong> Claire Golliot et Manac'h Sabrina</p> <p> <strong>Musique</strong> Dimitri Goudier</p> <p> <strong>Photo </strong>Stéphane Sartorius</p> <p>  </p> <p> <strong>Synopsis </strong></p> <p>  </p> <p> Elles sont en bataille.</p> <p> Lia se bat contre le "géant andalou", le supermarché de la plaine où elle travaille. Elle ne veut pas devenir comme tous ces autres employés dont le travail est leur vie, le travail aliénant où l’on passe de statut de personne à celui de fonction. Elle clame sa différence en invoquant l'histoire de ses ancêtres, de ses terres, de ses milles oliviers de la colline qu’elle dit posséder depuis plus de mille ans. Elle livre alors un combat à la David et Goliath.</p> <p>  </p> <p> Claire est une femme qui a pu rêver d’une vie meilleure, mais consciente de la réalité du monde, dotée d’un esprit pragmatique, mère, elle ne prétend à rien d’autre que d’avoir une situation assez confortable pour vivre convenablement avec sa famille. Claire recherche la normalité : payer ses crédits, emmener Jeanne à l’école, lui payer le cartable en promo. Pourtant son mari en a décidé autrement. </p> <p>  </p> <p> Chacune éprouve de la difficulté à donner sens à son combat ; transpire le sentiment d’impuissance chez toutes deux. L’auteur livre une critique du monde de la compétitivité, de la surconsommation, qui caractérise les heures que nous vivons aujourd’hui, de la difficulté de l’individu à trouver sa place.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>NOTE DE MISE EN SCENE</strong></em></p> <p>  </p> <p>   L’impuissance de Lia et Claire reflète la nôtre face au système capitaliste, machine créée par l’homme, qui va inexorablement vers sa perte. Nous sommes nos propres dieux destructeurs conscients de la fin prochaine de notre système.. Nouvelle fatalité, nouvelle tragédie moderne.</p> <p>  </p> <p> <em><strong>LA SCENOGRAPHIE</strong></em></p> <p>  </p> <p> Nous voulons utiliser la vidéo comme « écran de leur conscience ». Des images qui font écho à chaque moment de vie qu’évoque chaque personnage. Elles revivent les moments du passé comme si la temporalité était brisée.   Nous utilisons l'image de l'autoroute comme symbole de notre monde où tout va toujours plus vite plus loin sans prendre le temps nécessaire de respirer. Une autoroute qui conduit pourtant à la même destination.  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>NOTE DE L'AUTEUR  </strong></em></p> <p>  </p> <p> J'écris sur ceux sur qui personne n'irait parier un dollar. Comme pour beaucoup d'entre nous en somme. Ceux dont "l'histoire" ne représente aucun intérêt ni pour les télés, ni pour les magazines mais qui, pourtant, VIVENT. Ce sont depuis toujours, enfin depuis que j'écris, ces trajectoires-là qui s'imposent. Et ça, c'est valable pour tous mes textes, c'est valable pour La Peau de la Grande Ourse, pour Le Funiculaire, pour Les Chants de l'ordinaire, c'est valable pour Corps présent et pour Des jeunes gens aussi et pour le reste. Des trajectoires tragiques et ridicules, mais d'un ridicule partagé, d'un ridicule qui nous renvoie à notre propre bataille dérisoire d'êtres au monde. Car il ne s'agit pas de donner dans la déploration mais de tenter de se tenir juste du côté de la vie, en prenant acte de ce qui en fait le sel et le désastre. Pour m'approcher au plus près, de ces vies, j'opère des sortes d'exagérations de moments et d'espaces donnés, des exagérations d'états isolés du monde. Et je me pose là, juste là et pendant un temps, nous partageons ces figures et moi ce qu'elles ont à vivre. Entre elles et moi, entre nous, il y a l'écriture. C'est elle qui mène la danse. Elle nous tient ensemble. C'est fragile ce lien, c'est comme une appartenance. Qu'une phrase tourne mal et la relation peut se défaire, comme un amour qu'un geste malheureux ébranle. Et l'écrit est foutu. Suzanne Joubert.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <em><strong>BIOGRAPHIE</strong></em></p> <p>  </p> <p> <img src="http://img11.hostingpics.net/pics/577459DSC0056.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Emmanuel Strauss, metteur en scène, comédien, passionné par le théâtre moderne et classique, amoureux des mots, il a été formé au Cours Florent par Michel Fau, Phillipe Joiris. Il travaille sous la direction de S.Lastreto, J.J Rieux, Philip Berling....et joue sur les scènes du théâtre national d'Amiens, au théâtre 13, au TGP de St Denis, ou encore au palais des Arts. Il écrit et réalise « Les Chacals » série courte satirique sur les moeurs masculines. Il met en scène Molière, Marivaux, Von Horvath, Lars Noren, Durrennmatt, Feydeau, Copi, Tcheckov...et en parallèle, depuis plusieurs années il transmet sa passion du théâtre aux élèves d'une école.</p> <p>  </p> <p> <img src="http://img11.hostingpics.net/pics/5152156bis.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Claire Golliot, comédienne, metteuse en scène, en 2006, elle commence à travailler à Calais pour la compagnie des « Anonymes tp » . En 2007, elle part un an aux Etats- Unis ; elle y étudie le théâtre à l’Université d’Alabama du Nord où elle est retenue pour le rôle de Jocaste dans Oedipus Tyrannus de Sophocle. De retour en France, elle participe à la création d’un spectacle pour café-théâtre dont elle a le premier rôle avec la compagnie « Histoire d’eux », et elle entre à l’Ecole internationale de théâtre Jacques Lecoq. Suite à cela, Claire travaille pour "La Compagnie des choses", "Les anonymes tp" et "l'Arlequin de l'esprit", et elle anime un atelier de théâtre en anglais</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img src="http://img11.hostingpics.net/pics/593155478393101507088857281091732904011o.jpg"></p> <p>  </p> <p>       Sabrina Manac’h, a crée en 2002, la compagnie les Horzinzins, qui a remporté plusieurs prix dans différents festivals. En 2004, elle intègre la Cie PNT à Caen. Deux ans plus tard, elle monte sur Paris pour jouer dans la compagnie TMMT. Elle décide de suivre la formation Jacques Lecoq où elle rencontre Claire Golliot. L’envie d’autres horizons, l’amène à partir en Australie où elle travaille avec la compagnie Melbourne French Theater. De retour à Paris, elle travaille pour plusieurs compagnies ( Cie Jadda, Cie La traverse, Cie Resonnances…)</p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> 200 €: location de salle de répet à 2euros/heure ( au 105/ centre matis/ Mpaa)</p> <p> 200 €: Décor; 2 écran toile ( 3M/1M et 1M/1M) en PVC 490g m2</p> <p> 200€: location caméra pro sony hvr z1 3jrs</p>

Contreparties

10 €

  • 1 contribution
flyer dédicacé et 4 stickers

20 €

Contreparties précédentes + Mp3 de la musique du spectacle

30 €

  • 3 contributions
Contreparties précédentes +Invitation au spectacle

40 €

Contreparties précédentes+affiche du spectacle

50 €

  • 1 contribution
Contreparties précédentes+ invitation à la générale avec rencontre de toute l'équipe

70 €

Contreparties précédentes+ un dîner avec toute l'équipe

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