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Projet littéraire (Essai), ce sera mon premier livre publié.

Dans ces périodes où tout est rationalité, peur et égoïsme, j’ai senti le besoin de parler de… magie.

De beauté, de solidarité.

J’ai senti le besoin de réagir, pour ne pas être enseveli sous cette chape de matérialisme qui pèse chaque jour un peu plus, sous les discours vides de sens et tronqués qui nous arrivent de partout, de nos politiques, de nos médias, de nos éducateurs…

J’ai senti le besoin de réagir au matraquage médiatique qui nous incite à croire que nous sommes dans une démocratie libre et ouverte, dans le meilleur système économique possible, et que les lobbies et les complots ne doivent pas être source de préoccupation…

J’ai senti le besoin de mettre en doute le discours scientifique « officiel », qui nous fait croire que nous ne sommes qu’un assemblage chimique — des robots — , qu’il n’y a rien après la mort, et que l’ADN s’est créé par hasard (ces contre-propositions sont peut-être des idées loufoques pour certains, mais je pense que vous pourriez être intéressés devant les explications que j’avancerai, les auteurs et les expériences dont je parlerai).

Et je voudrais insister sur la dérive qui nous a entrainés à perdre tout bon sens, en tant que société, à abdiquer toute valeur et tout rêve devant un endormissement vénal, à abdiquer tout sens de l’enchantement, toute intuition devant un mental hypertrophié, qui ne nous permet plus de reconnaitre ni ce que nous sommes, ni le mystère infini et les possibilités infinies que représente la vie.

Cette dérive a mis en place un réseau de corruption « bon enfant » dont il va être difficile de sortir… Si les gouvernements en sont subtilement contaminés, si les ONG sont financées par des fonds privés aux intentions inconnues, ou inavouées, si les médias appartiennent à seulement une poignée de milliardaires, comment va-t-on se rendre compte de quoi que ce soit, jamais ? Et dans cette espèce de Truman show, nous voyons bien des choses louches, des scandales inouïs, mais d’une part, nous sommes apparemment surtout intéressés par le maintien de notre petit confort, et d’autre part, il me semble qu’il y a une sorte de réflexe à vouloir défendre la grande figure paternelle globale qui nous a bercés chaque jour depuis notre naissance… Comme un messager qui viendrait annoncer à un enfant que son père l’a abusé lorsqu’il était plus petit : la première réaction est d’en vouloir au messager, de le haïr, et d’essayer de prouver que cela est faux par tous les moyens possibles, de nier les évidences qui se feraient jour…

Mon livre va ainsi souvent à contre-courant des idées reçues… Je parlerai de spiritualité libérée de son carcan religieux, d’économie libérée de son carcan capitaliste, de recherche scientifique libérée de son carcan réductionniste.

J'ai voulu ces thèmes, chers à mon cœur, agréables à lire, simples, et je me suis efforcé de les tisser dans la vie de mon personnage et de sa vie de tous les jours.

Je vous remercie… beaucoup… pour votre attention, votre temps et, le cas échéant votre participation à ce projet.

Vous pouvez lire les 10 premières pages ici :

https://fr.calameo.com/read/0061639930b3f291c00f7

Pour ceux qui souhaite poursuivre leur lecture encore un peu plus, je vous propose ci-dessous les deux textes de présentation pensés pour le dos du livre :

Qui n'a pas rêvé de voler ? L'humanité a aujourd'hui atteint l'ère de cette possibilité pour tous. Profitant des dernières avancées technologiques et de la remontée récente des cours de la bourse, elle s'en donne à cœur joie. Avec le dernier modèle de téléphone portable à la main, elle filme les fenêtres qui défilent à toute vitesse devant elle, et salue amicalement ses compagnons de chute... Ayant sauté de l'édifice sur lequel s'est installée sa civilisation, elle profite du paysage et de la liberté éprouvée, et pense de temps en temps à ceux qui critiquent cette civilisation, en se demandant bien pourquoi... Car jusqu'ici, c'est génial ! Et si certains oiseaux de mauvais augure insistent à mentionner des termes tels que « sol », « terre ferme » et autre « réalité », il y a tout de même une excellente nouvelle à ces problèmes : ils sont pour demain.

Tout est méticuleusement calculé, les scientifiques, les économistes et les politiques sont d'accord, nous savons parfaitement de quoi il s'agit, ce que nous sommes et où nous allons... Tout est logique et froidement prévisible. Et grâce à nos supers pouvoirs, nous allons repousser le sol encore et encore...

Clique sur Like si tu es d'accord...

Une autre vision est aussi possible, une vision où nous serions réellement capables de voler. Pour ce faire, il faudrait comprendre et respecter beaucoup mieux la vie, et remettre un tout petit peu en cause les histoires à dormir debout qu'on nous a servies sur un plateau depuis si longtemps. Entre dogmes religieux et contes scientifiques, entre politiques confus et anxiété économique de notre absurde jeu compétitif qui pousse à tout détruire sur notre passage, pourra-t-on trouver un jour la route de notre liberté ?

Qu'aurait à dire un handicapé physique de la banlieue parisienne sur le sujet ? Clique Like si ça te fait envie.

(C'est pour rire, ne clique sur rien du tout s'il te plaît.)

Deuxième texte :

Il y en a qui disent que sans notre économie de compétition, on n’aurait jamais construit autant de choses, jamais eu autant d’avancées…

C’est peut-être un petit peu vrai.

Si Jerry avait pas mis le feu à la queue de Tom, ce chat n’aurait jamais couru aussi vite, crié aussi fort.

C’est vrai.

Et on peut se demander si des chats fous tournant en rond en se rentrant dedans, criant de peur et de douleur, est ce qui va nous faire avancer où que ce soit… quand même.

C’est quand qu’on proposera d’éteindre ces feux ? Pour pouvoir respirer ? Pour pouvoir se demander où on veut vraiment aller et comment on veut y aller ?

C’est quand qu’on arrêtera de tout détruire, de tout gâcher et de se tirer les uns sur les autres ?

Et alors, une fois calmés, on pourra essayer d’apporter des réponses à d’autres questions qui, elles aussi, ont tendance à nous faire tourner en rond. Parce que, par exemple, ils nous racontent toujours que la vie n’est qu’une construction de matière inerte, qu’il n’y a rien d’autre dans l’Univers que cela… Que l’ADN s’est construit par hasard… ce genre de choses.

Il y a beaucoup d’évidences qui montrent le contraire… mais pas grand monde ne les regarde vraiment en face.

Moi, j’ai que ça à faire.

Je suis en chaise roulante.

Darwin, la vie n'est pas un accident!