Le Sacre du Printemps: mise en scène ou possession?

Aidez-nous à... filmer des chorégraphes majeurs de notre temps, et percer ainsi les secrets d'une oeuvre mythique: Le Sacre du Printemps.

Visuel du projet Le Sacre du Printemps: mise en scène ou possession?
Réussi
61
Contributions
05/08/2013
Date de fin
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Le Sacre du Printemps: mise en scène ou possession?

<p> <u><strong>Le Sacre du Printemps - Mise en Scène ou Possession </strong></u></p> <p> <u><strong>(Long-métrage documentaire)</strong></u></p> <p>  </p> <p> <strong>2013</strong>. Un siècle exactement après la première représentation du <em>Sacre du Printemps</em> au Théâtre des Champs-Elysées à Paris, de nombreux chorégraphes continuent de monter la pièce, que ce soit dans le but de reproduire au plus proche de ce qu'elle était, ou au contraire d'en proposer une vision très personnelle. </p> <p> La <strong>"vision de ce rite sacral païen"</strong>, qui a inspiré Nicolas Roerich pour la scénographie, Igor Stravinsky pour la partition musicale, Vaslav Nijinsky pour la chorégraphie, continue de nos jours d'inspirer et de fasciner profondément artistes et auditeurs. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Mosaique_sacre" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/21293/mosaique_sacre.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>SYNOPSIS</strong></p> <p>  </p> <p> Un chorégraphe amené à représenter <em>le Sacre du Printemps</em> se confronte presque immanquablement à une musique qui appelle à penser la danse sous l'un de ses aspects originels. Exercice passionnant en tant que tel, car imposant au chorégraphe d'aller rechercher dans sa manière de mettre en danse, ou de mettre en scène, quelque chose de fondamental, de primitif, élément qui se trouve sans doute déjà présent dans ses pièces antérieures, mais qu'il doit parvenir à déterminer, fait ressortir, rechercher au fond de lui-même. La musique du <em>Sacre</em> exacerbe l'image du rituel, de par sa composition et l'histoire de sa création. </p> <p>  </p> <p> L'idée de ce film est de nous faire parcourir les chorégraphies du <em>Sacre</em> les plus importantes et marquantes de ces toutes dernières années. Parmi elles, celles de Jean-Claude Gallotta, Olivier Dubois, Tero Saarinen ou encore Angelin Preljocaj. </p> <p>  </p> <p> Il s'agit de partir à la rencontre de danseurs et de chorégraphes dans l'idée de leur proposer de "re-traverser" pour la caméra et en répétition, un extrait significatif de leur pièce, un moment de création intense, dont le souvenir évoquerait pour eux quelque chose de ce lien ténu entre danse et rituel. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>NOTE D'INTENTION: </strong></p> <p>  </p> <p> Nous essaierons avant tout de dégager différentes problèmatiques à travers l'échange dans le travail, échange mis en valeur par nos dispositifs de tournage sous formes d'ateliers de travail entre chorégraphes et danseurs d'élection. </p> <p> En salle de répétition, les moments forts de la création que nous nous attachons à vouloir "re-traverser" seront mis en scène, non pas avec la tentation de les reconstituer à l'identique en fonction du souvenir des protagonistes, mais dans l'idée de recréer un contexte propice à la réflexion et au travail, pour recréer ensemble, avec la présence de la caméra, des moments uniques qui posent ces questions essentielles. </p> <p> Des images des spectacles respectifs filmés sous forme de captation pourront venir s'intégrer aux séances de travail, et ainsi nourries par la lumière mise sur les coulisses de la création, prendre une autre couleur et illustrer ou renforcer les propos. </p> <p>  </p> <p> C'est en croisant regards critiques, études anthropologiques et moments de travail entre danseurs, chorégraphes, instrumentistes et chefs d'orchestre, que nos questions sur ce qui fait la singularité de l'oeuvre trouveront leur écho au détour d'un lieu de répétition, d'une scène de théâtre ou d'une salle de concert. </p> <p> Les chorégraphes et les directeurs musicaux exposeront d'une part leur vision de l'oeuvre à travers des séances de travail en compagnie de leurs intéprètes, tandis qu'une réflexion personnelle, portée par la fascination des auteurs pour cette pièce, et nourrie d'études critiques et anthropologiques, tentera de nous apporter des éléments de réponses, ou nous permettra de nous déplacer autour de ce <strong>mystère Sacre</strong>, et de nous renvoyer au rôle plus général que joue cette pièce dans le panorama de la danse contemporaine en 2013.</p> <p>  </p> <p> Par cette approche, cette pièce s'inscrira comme une porte d'entrée nous éclairant sur notre rapport à l'Art, à la représentation scénique, au spectacle et à la danse. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>PRÉSENTATION DES CHORÉGRAPHES:</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Jean-Claude Gallotta :</strong></p> <p> <a href="http://www.youtube.com/watch?v=koqHJZx6eKU" target="_blank">http://www.youtube.com/watch?v=koqHJZx6eKU</a></p> <p>  </p> <p> Chaque chorégraphe porte un <em>Sacre</em> en lui. Celui de Jean-Claude Gallotta est gravé au compas sur un pupitre d'écolier. Le futur chorégraphe entend l'oeuvre pour la première fois sur un vieux tourne-disque. Assoupi sur son banc en bois, il "s'enrêve" aussitôt, dit-il aujourd'hui. C'est alors qu'il chorégraphiait la dernière séquence de son spectacle précédent, <em>L'Homme à la tête de chou</em>, que lui sont revenus ces souvenirs. Par quelle voie secrète ? En guise de réponse, <em>Le Sacre du Printemps</em> s'est alors imposé comme le second volet du diptyque commencé avec l'hommage à Gainsbourg : même danseurs, même lumière sélénienne, mêmes énergies venues directement de la musique. Jean-Claude Gallotta a choisi de travailler sur la première version de l'oeuvre, qu'il considère comme une des meilleures, rude, sans afféteries, sans brillance décorative, dirigée et enrengistrée par Igor Stravinsky lui-même. Pas d'anecdote, pas d'intrigue. Jean-Claude Gallotta ajoute : pas d'Elue, ou du moins pas d'Elue unique, glorifiée puis sacrifiée. Chaque interprète féminine sera "éligible", tour à tour, pour rétorquer à "l'obscur pouvoir discrétionnaire" des dieux. Du rituel, Jean-Claude Gallotta a également retenu le double sens étymologique de "relier" et de se "recueillir". Il s'agit bien pour lui de se recueillir, comme à genoux, sur les marches de l'autel qui montent et monteront toujours à son adolescence, et de se relier aux maîtres, de Kantor à Fellini, qui l'ont conduit à ne pas l'oublier. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Olivier Dubois : </strong></p> <p> <a href="http://www.olivierdubois.org" target="_blank">http://www.olivierdubois.org</a></p> <p>  </p> <p> <em><strong>"PRÊT À BAISER</strong></em>"</p> <p> Avec Olivier Dubois et un danseur-interprète. </p> <p> Arrangements musicaux : François Caffenne, d'après "<em>Le Sacre du Printemps</em>" d'Igor Stravinsky</p> <p> Durée: 50 min, Production COD, Coproduction Le Centquatre Paris. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Evenement_193_image" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/20953/evenement_193_image.jpg"></p> <p>  </p> <p> <u><em>Note d'intention d'Olivier Dubois:</em></u></p> <p>  </p> <p> <em>"De la muse...</em></p> <p> <em>"Par ma bouche, je te ferai oeuvre</em></p> <p> <em>Par mon baiser, je prêterai à mon insatiable et morbide état l'apparence de mon désir. </em></p> <p> <em>Posséder, vider de son élan vital et combler mon abyssale noirceur. </em></p> <p> <em>Créer l'éternel par mes lèvres assassines."</em></p> <p>  </p> <p> <em>La première note, ce basson...cette complainte chasseresse. La traque sulfureuse et complice de la muse. </em></p> <p>  </p> <p> <em>"Où es-tu ? Je suis là. Où es-tu ? Je suis là derrière le bois."</em></p> <p> <em>Sous les flashes, le cliché hollywoodien - gloire; ou bien preuve flagrante d'un assassinat."</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Sasha Waltz:</strong></p> <p> <a href="http://" target="_blank">http://www.sashawaltz.de/</a></p> <p>  </p> <p> Au printemps 2013, le Théâtre des Champs-Elysées fêtera son centenaire et une partie importante de sa programmation sera ainsi consacrée à faire revivre quelques-unes des grandes soirées qui marquèrent ses premiers mois d’existence. Les programmes proposés pour célébrer ce Centenaire s’appuient bien entendu sur certains des moments les plus forts du printemps inaugural de 1913 mais font également écho à d’autres événements ou thématiques ayant trouvé leur place dans la si riche histoire du Théâtre.</p> <p>  </p> <p> Ce double Centenaire du Théâtre et du Sacre sera l’occasion de présenter une nouvelle création de la chorégraphe berlinoise Sasha Waltz avec les forces de l’Orchestre et du Ballet du Mariinsky de Saint-Pétersbourg, berceau musical de Stravinsky, menés par son charismatique directeur Valery Gergiev.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L'ÉQUIPE DU FILM:</strong></p> <p>  </p> <p> <u><strong>ETIENNE AUSSEL (Auteur/ Réalisateur/ Opérateur)</strong></u></p> <p> <strong><a href="http://www.etienne.aussel.free.fr" target="_blank">site web : www.etienne.aussel.free.fr</a></strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_1730-1" height="416" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23823/IMG_1730-1.JPG" width="416"></p> <p>  </p> <p> Réalisateur documentariste et Vidéaste, Etienne Aussel entre dans la vie professionnelle en 1999 par la danse contemporaine (Centre chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne).</p> <p> Son activité comprend des réalisations et des montages de films documentaires, des créations image pour la scène, la danse, l'opéra, des installations vidéo / art numérique, ainsi qu'un travail d'archives et de captations pour les compagnies.</p> <p> Après près de dix ans aux côtés de José Montalvo et Dominique Hervieu (dont la direction de l'équipe vidéo à l'Opéra de Lyon sur l'opéra Porgy &amp; Bess), il décide en 2009 de partir à la rencontre de nouveaux univers artistiques et de développer ses projets d'auteur.</p> <p> Il fait de nombreuses rencontres et entre en collaboration étroite avec des artistes chorégraphiques tels que Rosalind Crisp, Nasser-Martin Gousset, Hafiz Dhaou, Claire Jenny.</p> <p> Il se perfectionne sur les outils audiovisuels et informatiques utilisés dans le spectacle vivant, et se forme précisément au cinéma documentaire dans la lignée du cinéma direct aux Ateliers Varan (l'école fondée par Jean Rouch).</p> <p>  </p> <p> <strong>Filmographie :</strong></p> <p>  </p> <p> <strong><em>Tour de Babelle, </em></strong>documentaire 57' : 2004 (diffusion sur Mezzo). <em><strong>Cartes postales chorégraphiques pour les Francofffonies</strong></em> par Dominique Hervieu, 12 films courts, duos dansés : 2006 (diffusion sur TV5 Monde). <em><strong>Rosalind Crisp, l'espace entre les espaces</strong></em>, documentaire 26' : 2009 (film réalisé dans le cadre des Ateliers Varan). <em><strong>Mowa</strong></em> et <em><strong>Autour de Tassiga,</strong></em> documentaires 52' : 2010 (éditions DVD l'Harmattan).  <em><strong>Regards</strong></em> documentaire 23' : 2012 (diffusion au festival Handica-Apicil).</p> <p> Captations multi-caméras de spectacles de danse contemporaine.</p> <p>  </p> <p> <strong>Créations images pour la scène :</strong></p> <p> Compagnie Montalvo-Hervieu : <em><strong>un Nioc de Paradis</strong></em> : 1999 / <em><strong>Variation au Paradis</strong></em> (Ouverture du Festival de Cannes 2000, Palais des Festivals)  / <em><strong>Babelle Heureuse</strong></em> : 2002 / <em><strong>Les Paladins</strong></em> : 2004 production Théâtre du Châtelet (tournées à Londres, Shanghaï, Tokyo) / <em><strong>on danƒe</strong></em> : 2006 / <em><strong>Porgy &amp; Bess</strong></em> : 2008 production opéra de Lyon.</p> <p> <em><strong>Récréation primitive</strong></em> : Merlin Nyakam, 2001. <em><strong>Le Sacre du Printemps</strong></em> : Valérie Gabail 2011 Turku Music Festival, Finlande.</p> <p> Installation Vidéo-danse : <em><strong>Effigies</strong></em> : 2011, Claire Jenny, Marie Barbottin, diffusion au Centre National de la Danse à Pantin de Octobre à Novembre 2012. / <em><strong>Le Visiteur</strong></em> : Nasser Martin-Gousset 2013</p> <p>  </p> <p> Montage du film <em><strong>Le Deuil de la Beauté</strong></em> de Gao Xingjian, 2013.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>VALERIE GABAIL (Auteur/ Réalisatrice/ Son)</strong></u></p> <p>  </p> <p> <img alt="Photo" height="274" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23825/photo.JPG" width="377"></p> <p>  </p> <p> Placée d'emblée sous le sceau de l'éclectisme et de la pluridisciplinarité, la carrière de la soprano française Valérie Gabail commence à l'âge de 15 ans avec le jazz vocal, puis la comédie musicale, avant de s'orienter vers la musique baroque, dont elle s'est faite une spécialiste reconnue. Remarquée d'abord par Marc Minkowski, elle se produit ensuite avec des ensembles tels que Les Arts Florissants/W.Christie, Les Talens Lyriques/C.Rousset, l'Ensemble Mattheus/J.C.Spinosi, mais aussi l'Orchestre National de France, le Philharmonique de Radio France, dans des répertoires variés et plus tardifs qui l'amènent à côtoyer des chefs d'orchestre comme Charles Dutoit, Michel Plasson, John Nelson, Kazushi Ono...</p> <p> Amenée à se produire sur de grandes scènes européennes au cours de productions lyriques où elle forme son goût, elle réalise bientôt que la mise en scène et l'aspect visuel et théâtral du monde qu'elle côtoie lui sont devenus des enjeux personnels cruciaux. L'année 2006, charnière pour elle, la verra tour à tour <strong>nominée aux Victoires de la Musique dans la catégorie «Révélation lyrique de l'année»</strong>, et devenir collaboratrice artistique auprès de la Compagnie de danse Montalvo-Hervieu, sur l'opéra de Georges Gerschwin Porgy &amp; Bess. Forte de cette riche expérience, qu'elle poursuit sur trois années et parallèlement à son activité de musicienne, elle confirme et multiplie les incursions dans de nouveaux répertoires, à la fois transgenres et expérimentaux. Ses partenaires y sont entre autres la vidéaste finlandaise Marita Liulia, la compositrice Kaija Saariaho, le guitariste rock Olivier Mellano pour le disque La chair des Anges (Naïve). Collaboration précieuse qu'elle réitèrera pour un deuxième opus chez Naïve, en création mondiale aux Transmusicales de Rennes en décembre 2012.</p> <p> Elle tient le <strong>rôle-titre dans l'opéra vidéo-rock POP-PEA</strong> donné au Théâtre du Châtelet en 2012, aux côtés notamment de Benjamin Biolay.</p> <p> En 2011, elle crée sa propre société de production cinématographique, <strong>Surimpressions</strong>, et <strong>réalise un film de fiction chorégraphique sur le Sacre du Printemps d'Igor Stravinsky</strong>, qu'elle crée au Turku Music Festival, avec le chef François-Xavier Roth comme partenaire musical. Elle suit également la formation documentaire aux<strong> Ateliers Varan (école de cinéma fondée par Jean Rouch)</strong> en 2012, et y réalise un film sur l'addiction et l'abstinence.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LUDIVINE LARGE-BESSETTE (Chef opérateur)</strong></p> <p> <strong>site web: <a href="http://ludilb.wix.com/largebessette" target="_blank">http://ludilb.wix.com/largebessette</a></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="-3" height="278" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/23879/-3.jpg" width="417"></p> <p>  </p> <p> Ludivine Large-Bessette a suivi en parallèle de sa solide formation Image à la <strong>FEMIS</strong> des études d'Arts Plastiques. Pour son mémoire de fin d'études à la Fondation Européenne des Métiers de l'Image et du Son, elle a travaillé sur la manière de cadrer la danse et sur la nécessité de filmer le corps. <strong>Son film de fin d'études, <em>LOW</em></strong> (une vidéodanse), a été sélectionné et projeté dans de nombreux festivals et lieux de danse, dont le Centre National de la Danse.</p> <p> Ce parcours pluridisciplinaire lui permet aujourd'hui d'enrichir son approche cinématographique et de servir au mieux les projets auxquels elle participe, qu'il s'agisse de fiction, de documentaire, d'art vidéo ou de vidéodanse.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>LA COMPAGNIE SURIMPRESSIONS</strong></p> <p> <strong><a href="http://" target="_blank">https://www.facebook.com/CompagnieSurimpressions</a></strong></p> <p>  </p> <p> La Compagnie Surimpressions est une société de production de films documentaires, fondée en 2013 par trois auteurs réalisateurs, Valérie Gabail, Etienne Aussel et Guillaume Delacroix, issus tous trois des Ateliers Varan à Paris.</p> <p> Valérie Gabail (musicienne de formation, réalisatrice et productrice) et Etienne Aussel (vidéaste et réalisateur), se rencontrent en 2006, sur la production de l'opéra de Georges Gershwin, Porgy &amp; Bess, montée par la compagnie Montalvo-Hervieu. Tous deux décident fin 2011 de collaborer étroitement à l'écriture et à la réalisation de deux projets de films documentaires, dont celui sur le Sacre du Printemps. </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

À quoi servira la collecte

<p> <strong>Le tournage de ce long-métrage documentaire débutera en Mai 2013.</strong></p> <p>  </p> <p> Dans un premier temps, l'argent sera avancé pour démarrer les tournages. Les dépenses étant conséquentes, nous avons grand besoin de votre soutien, et grâce à KissKissBankBank, pour faire aboutir notre projet. </p> <p>  </p> <p> <strong>Le crowdfunding, à l'instar de bien des créateurs aujourd'hui, nous est apparu aussi comme la façon la plus naturelle de conserver notre liberté artistique sur ce film, et d'échapper au formatage trop fréquent des chaines de télévision.</strong></p> <p>  </p> <p> L'équipe est composée de trois personnes, Valérie Gabail, Etienne Aussel et Ludivine Large-Bessette (image-cadre). Nous devrons nous déplacer un peu partout en France pour filmer les différentes chorégraphies choisies et figurer ainsi au mieux notre vision du film. Les premiers tounages qui débuteront au printemps, sont prévus dans les villes de Grenoble, Bezons, Paris, Marseille et Aix en Provence.</p> <p>  </p> <p> <strong>Les fonds collectés permettront alors de payer les frais liés : </strong></p> <p>  </p> <p> - A la location du matériel (image et son)</p> <p> - Aux transports, à l'hébergement et aux repas pour l'équipe</p> <p> - Une part importante des fonds sera consacrée aux droits d'auteurs. Filmer des chorégraphies avec leurs interprètes, ainsi que l'utilisation de la musique d'Igor Stravinsky, demandent une mise de fond très importante.  </p>

Contreparties

10 €

  • 4 contributions
Un grand merci!

20 €

  • 8 contributions
Une photo du tournage.

40 €

  • 19 contributions
Une photo du tournage et un DVD du film.

70 €

  • 5 contributions
Une photo du tournage, un DVD du film, et une invitation à une des projections du film.

100 €

  • 13 contributions
Une affiche du film, un DVD et 2 invitations à une projection du film.

300 €

  • 4 contributions
Une affiche du film, remerciements au générique, et rencontre spéciale avec les réalisateurs autour d'un débat sur le film.

1 000 €

Mentionnés comme co-producteurs officiels du film au générique.

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