LE VOLEUR D'AUTOBUS
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Cherif voulant rejoindre sa femme Djamila, mourante à l’hôpital, décide de prendre l’autobus. Angoissé à l’idée de ne plus revoir Djamila et irrité par la désinvolture du chauffeur, Cherif profite de l’absence de ce dernier pour détourner l’autobus plein de ses passagers.</p>
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Accusé de vol, il tente de se disculper auprès de ses juges. </p>
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« Le voleur d’autobus », est une tragi-comédie<strong> sociale à l’humour subversif…</strong></p>
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<em>Cherif : «… Je n’exagère pas Monsieur le Président ! C’est la réalité qui exagère ! »</em></p>
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<strong><em>« Raconter gaiement sa triste vie ! »…</em></strong></p>
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<strong>« Le voleur d’autobus »</strong> par le biais <strong>d’une fiction</strong>, reflète une <strong>réalité sociale.</strong></p>
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Dans un pays opulent où la richesse est mal répartie ; derrière les protagonistes, <strong><em>Cherif </em>et <em>Djamila</em></strong>, se cache <strong>l’aberration d’un système social</strong> miné par <strong>la corruption</strong>, <strong>le gaspillage, l’injustice, la lâcheté</strong> quotidienne des gens, <strong>la malversation</strong> du pouvoir, <strong>la démagogie</strong> et <strong>l’automatisme des masses</strong> d’une société qui vacille.</p>
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Une traduction <strong>garante et fidèle</strong> à <strong>l’emphase burlesque</strong> du « <em>parler algérien</em> », permettant de <strong>réincarner l’autodérision</strong> dans son contexte verbal. L’écriture, parce qu’elle émane des masses, est <strong>simple, directe, vivante… </strong></p>
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<strong>Satirique</strong>, puisant dans l’humour populaire, elle décrit cependant des situations <strong>grotesques, concrètes, précises et vraisemblables.</strong></p>
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<strong>« Le voleur d’autobus »</strong> n’est pas une <strong>démonstration folklorique</strong>, ou une étude sociologique, mais <strong>une narration satirique vivante</strong>, <strong>contemporaine</strong> et <strong>universelle</strong> à la fois.</p>
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Un <strong>divertissement</strong> qui nous renvoie à <strong>l’absurdité d’un système social</strong>. </p>
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Avec Linda Chaib et Yamin Dib</p>
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Traduction, adaptation et mise en scène de Nour-Eddine Maâmar</p>
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Lumières et scénographie Perrine Cado</p>
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<a href="http://www.atelier-theatre-actuel.com" target="_blank">http://www.atelier-theatre-actuel.com</a></p>
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Cela nous permettra de : </p>
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-créer le spectacle (répétitions - résidences - décor) / 15 000€</p>
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-louer la salle de spectacle au festival / 10 000€</p>
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