Les Belles envolées est un film optimiste qui raconte à travers les témoignages poignants, intimes et authentiques, de 7 népalaises, que la montage peut être un lieu d'émancipation.

Les alpinistes et les trekkeurs apprécient le Népal pour ses paysages, ses montagnes et le sourire de ses habitants. Ils connaissent pour la plupart la pauvreté de ce pays (le Népal figure parmi les pays les plus pauvres du monde), mais ils ignorent le plus souvent le sort réservé aux femmes. Un sort qui a valu à la journaliste, Marie Dorigny, d'intituler un de ces article : « Le Népal n’aime pas les femmes ».
Dans un contexte particulièrement difficile, plusieurs femmes « brisent le plafond de verre » et bravent le poids des cultures pour réaliser leur rêve et devenir l’égal des hommes.
Ces femmes sont des alpinistes. Les Sherpanis (ethnie de la vallée de l’Everest) sont de plus en plus nombreuses à se distinguer dans ce combat. Les belles Envolées est un film qui met ces femmes en lumière, de la première d'entre elles à avoir atteint le sommet de l’Everest, Pasang Lhamu Sherpa, aux Népalaises qui aujourd’hui réalisent leur rêve sur les pentes des plus hauts sommets du monde, et ainsi, tracent la voie aux autres femmes. La montagne devient un outil d'émancipation et ces femmes assument d'être des modèles pour que les jeunes filles du Népal, osent à leur tour être le ferment d'une société plus libre, plus égalitaire.

Les belles envolées

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