Les Canards Sauvages
<p style="text-align:center"><strong>Les comédiens :</strong></p>
<p style="text-align:center"> <img alt="" height="508" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/551381/PA131335__2_-1540802243.JPG" width="339" /></p>
<p><strong>Ondine PLESANU, </strong>actuellement en master 2 théâtre à la Sorbonne Nouvelle, après une licence de théâtre dans la même université, a fait ses premiers pas sur scène à 8 ans, dans la salle Adyar. Cette expérience devant près de 300 spectateurs a été le début d’une grande aventure. Elle est ensuite entrée dans la compagnie Bonacorsi avec laquelle elle a participé à divers festivals dont la Rénathéa. Elle a également fait des représentations aux théâtres de Nesles et Stéphane Gildas. Fondatrice de la troupe DIS-SI-METRIQUE, elle a écrit la pièce Les Canards Sauvages qu’elle met en scène et joue le rôle de la psy.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/551376/44848412_2239425573005586_8460383015254622208_n-1540801770.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>Balthazar GRIMALDI </strong>s’est découvert une passion pour le théâtre au lycée Racine auprès d’Agnès Arnaud. En parallèle, il a suivi une formation théâtrale avec Julie Carcuac pendant cinq ans. Agréé à la compétition en boxe anglaise, sport qu’il a pratiqué de manière intensive pendant de nombreuses années, sa condition physique et sa détermination sont ses points forts. Cette expérience lui a aussi apporté des valeurs essentielles au théâtre comme le sens de la discipline et l’amour du défi. Il joue aujourd’hui le rôle du Collectionneur au sein de la COMPAGNIE DIS-SI-METRIQUE.</p>
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<p> <img alt="" height="669" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/551373/3-1540801305.jpg" width="385" /></p>
<p><strong>Virginie HAZARD</strong> a commencé à jouer il y a de ça 13 ans mais sa formation a vraiment débuté auprès de Bruno Boulzaguet et Philippe Cotten dans la jeune troupe de l'Atalante. Elle est par la suite entrée en deuxième année au Cours Florent et a terminé cette formation en jouant le rôle de Peggy Roche, dans une création de Stéphanie Ponsin, A Vif à la recherche de Sagan. Une fois son brevet de fin d'études en poche ainsi que sa licence de Théâtre à la Sorbonne Nouvelle elle devient l'apprentie de Daniel Mesguich avec lequel elle participe à son spectacle Répertoire au théâtre de l'Epée de Bois. Depuis elle paraît dans divers courts-métrages, longs-métrages et clips et incarne le rôle de la femme en couple dans la pièce Les Canards Sauvages de Ondine Plesanu.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/551384/A-1540802514.jpg" width="100%" /></p>
<p><strong>Arnaud DEBESSE</strong> commence le théâtre en Vendée pendant sa scolarité. Il monte à Paris pour ses études, et suit les cours de théâtre de Jean-Laurent Cochet.<br />
Après un séjour en Autriche où il joue régulièrement, il se tourne vers la Troupe Éphémère pour compléter sa formation en improvisation. Dans le même temps, il varie son enseignement avec des cours de chant et de danse, et suit des séminaires de prise de parole avec Olivier Leymarie. Aujourd’hui, après plusieurs expériences dans le théâtre et le cinéma, il fait partie de la troupe où il joue le rôle de l’homme seul et multiplie les auditions et projets.</p>
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<p> <img alt="" height="550" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/551383/044A9021-min_copie_2_2_-1540802494.JPG" width="366" /></p>
<p><strong>Alexis DE CHASTEIGNER, </strong>passionné par les lettres, a d’abord étudié les langues dans le cadre d’études d’interprétariat avant de se lancer dans le journalisme. Après avoir notamment travaillé dans le domaine de la traduction, il a souhaité s’ouvrir à l’univers du théâtre l’an passé, qui l’avait toujours attiré sans qu’il se décide à franchir le pas pour autant. Fasciné par cet art qui mêle à la perfection la rigueur et la discipline au jeu et à la liberté d’expression sous toutes ses formes, il y trouve une véritable énergie nouvelle et surtout l’envie d’oser pousser toujours un peu plus loin la recherche créative. Monter sur les planches offre la chance d’apprendre à mieux se connaître soi-même et de comprendre le monde qui nous entoure grâce à l’observation constante qui en découle. Une vraie aubaine dans un monde où les écrans ont quasiment décalé les rapports humains au second rang ! Il joue le rôle de l'homme en couple.</p>
<p>A l'origine de cette création : la volonté de proposer une pièce éthérée où les problèmes du quotidien sont abordés avec optimisme. Ici le champ des possibles est infini. Les choses les plus anodines dans nos vies prendront une ampleur démesurée dans celles des personnages. De transformations psychiques en transformations physiques, vous ne saurez plus où donner de la tête, au risque de la perdre. </p>
<p><strong>Pourquoi avoir choisi le thème du canard ?</strong> Parce que c’est un sujet propice à l’imaginaire étant fort de symbolique. Il est présent partout dans nos vies : il y a le canard sauvage d’Ibsen, l’homme canard que l’on croise dans la rue et enfin le fameux canard en plastique que l’on trouve aussi bien dans les fêtes foraines qu’à Pigalle. Le canard réunira tous les personnages, dans leur désir de liberté.</p>
<p> <a href="http://evene.lefigaro.fr/citation/grave-obliger-ressembler-tout-monde-provoque-nevroses-psychoses-33898.php">“C'est grave de s'obliger à ressembler à tout le monde: cela provoque des névroses, des psychoses, des paranoïas.”</a> écrivait <a href="http://evene.lefigaro.fr/celebre/biographie/paulo-coelho-2411.php">Paulo Coelho</a>. Ici, le manque d’amour mène à la névrose, le manque de rationalité à la psychose et le manque de confiance à la paranoïa. Un seul mot donc: le manque. A chacun des personnages il « manque une case ». L’histoire est la suivante: 4 personnages toquent à la porte d’une toquée pour troquer leur névrose contre un peu de normalité. Seulement, peut-on étouffer sa nature ? A qui se raccrocher, lorsque le monde entier est désaxé ? La pièce doit fuser, les comédiens doivent se répondre du tac au tac. Les personnages sont des miroirs les uns des autres, tantôt déformants, tantôt révélateurs. Autant d’étoiles qui forment une constellation bien à elles. Le langage dans tous ses états : décuplé, traduit, fantasmé, réduit, est au cœur de cette création. La pièce, ponctuée de musique et de danse, sera une effusion de liberté, une véritable parade mettant en scène la marginalité.</p>
<p>Actuellement, la Compagnie peaufine ses répétitions en vue de ses premiers festivals.</p>
<p><strong>Dépenses prévisionnelles :</strong></p>
<p>La métamorphose étant au cœur de la pièce,</p>
<p><strong>Les costumes et accessoires</strong> constitueront le plus gros poste de dépenses: 300 euros</p>
<p><strong>Décor</strong> : 100 euros</p>
<p><strong>Location salles:</strong> 198 euros</p>
<p><strong>Commission Kisskissbankbank : </strong>52 euros</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/551507/camembertassoc-1540836301.PNG" width="100%" /></p>
<p>Si l'objectif est dépassé, nous utiliseront l'argent pour nous produire dans d'autres villes françaises voire à l'étranger.</p>
<p>L'association DIS-SI-METRIQUE percevra l'intégralité de la collecte.</p>