M.B.
<p>Les <strong>Jardins numériques</strong> est une association liée au réseau associatif franco-italien. Nous avons reçu l'accord de <strong>Marco Bellocchio</strong> pour <strong>réaliser un docu-fiction</strong> autour et avec ce dernier par le metteur en scène <strong>Giuseppe Frigeni.</strong></p><p> </p><p> </p><p><img alt="Marco-bellocchio-3-1496244329" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/429230/Marco-Bellocchio-3-1496244329.jpg"> Marco Bellocchio.</p><p> </p><p> </p><p><strong> LA RENCONTRE</strong></p><p>De la rencontre avec Giuseppe Frigeni, metteur en scène d’opéra, scénographe et concepteur lumière et l'association parisienne <em>Les Jardins numériques</em>, l'idée de réaliser un film documentaire autour et inspiré de l’œuvre du grand réalisateur italien Marco Bellocchio est donc devenue une évidence.</p><p> </p><p>Un projet ambitieux et passionnant : <strong>faire jouer Marco Bellocchio et Adriano Aprà</strong>, le grand critique italien du cinéma.</p><p> </p><p> </p><p><img alt="Adriano_apra-1496243804" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/429223/ADRIANO_APRA-1496243804.jpg"> Adriano Aprà.</p><p> </p><p> </p><p>Ce docu-fiction est le <strong>premier portrait jamais réalisé sur Marco Bellocchio</strong>, ce sera une sorte de <strong>Road Movie, plus dans la tradition du voyage romantique</strong>, en immersion dans son univers, où lui-même et Adriano Aprà, amis de toujours, y joueront leurs propres personnages.</p><p> </p><p><strong>Le personnage principal, Marco Bellocchio, à travers un voyage en train retourne vers Bobbio (sa ville natale en Italie). Paysages, rencontres et anecdotes se succéderont et évoqueront certains films ou thèmes de la filmographie du grand cinéaste italien.</strong></p><p> </p><p>Ce moyen métrage sera un hommage au travail et à l’art de Marco Bellocchio et témoigne de son influence sur les générations plus jeunes.</p><p> </p><p>Nous voulons mettre à l’honneur une vision différente et plus profonde du cinéma de Bellocchio en exposant le regard de Giuseppe Frigeni sur Bellocchio, <strong>“un regard d’artiste sur un autre artiste.”</strong></p><p> </p><p>Ce film sera un hommage, un portrait personnel, la tentative modeste mais sincère de renouer avec certains principes formels et expressifs que Giuseppe Frigeni reconnait dans l’œuvre de Marco Bellocchio.</p><p> </p><p>Loin de prétendre à l’analyse exhaustive (qui est la spécificité des historiens et des critiques), ce film se voudra, soit comme un support poreux, qui laisserait transparaître des obsessions personnelles et des repères formels, soit comme palimpseste sur lesquels réécrire et redessiner des figures de style de Marco Bellocchio.</p><p> </p><p> </p><p><strong>LES PROTAGONISTES</strong></p><p><strong>Le Maestro : Marco Bellocchio </strong></p><p>L’une des figures centrales du cinéma italien.</p><p>On dit de ses films qu’ils sont baroques, engagés, subversifs, provocateurs. De fait, créant souvent la controverse, ils ne laissent pas indifférents. Du cinéma italien des cinquante dernières années, Marco Bellocchio a tout connu, lui qui réalisa en 1965 son premier long métrage, <strong>“Les Poings dans les poches”</strong>, qui fit alors grand bruit.</p><p> </p><p>Il est le dernier des grands cinéastes de l’âge d’or de la production italienne. Cinéaste célébré, invité dans tous les grands festivals (double prix d’interprétation à Cannes en 1980 pour <strong>Anouk Aimée</strong> et <strong>Michel Piccoli</strong> dans <strong>“Le Saut dans le vide”</strong>).</p><p> </p><p>Il a réalisé plusieurs films magnifiques, tels que “Sourire de ma mère” (2001), “Le Metteur en scène de mariages”, présenté dans la sélection Un Certain Regard au Festival de Cannes (2006), "Vincere” (2009), “Buongiorno, notte “(2003) avec Maya Sansa, une de ses comédiennes préférées, “La Belle Endormie” avec Isabelle Huppert et Toni Servillo, “Sangue del mio sangue“ (2015), <strong>“Fais de beaux rêves”</strong> (2016)</p><p> </p><p> </p><p><strong>Le critique : Adrano Aprà </strong></p><p><strong>Célèbre critique cinématographique italien.</strong> Il a écrit de nombreux livres et essais sur le cinéma italien et ses articles ont été publiés en Italie et à l’étranger.</p><p> </p><p>Il a édité des dizaines de publications sur le cinéma italien et international. Il a été codirecteur du célèbre ciné-club de Rome <strong>« Filmstudio 70 »</strong>. Il a travaillé pour plusieurs festivals et il a dirigé le <strong>Salsomaggiore</strong> Film Festival en région Émilie-Romagne et, en 1977 et 1998 le <strong>festival cinématographique de Pesaro</strong> dans la région des Marches, en Italie centrale.</p><p> </p><p>Il a dirigé la <strong>Cinémathèque nationale italienne</strong> et il a été professeur à l’<strong>Université «Tor Vergata» à Rome</strong>.</p><p> </p><p> </p><p><strong>Le réalisateur : Giuseppe Frigeni </strong></p><p>Metteur en scène d'opéra international, il habite en France depuis de très nombreuses années. Après une formation universitaire en Italie, il poursuit l’étude de la danse contemporaine à Paris avec des chorégraphes tel que Françoise et Dominique Dupuy, José Montalvo, Carolyn Carlson, David Gordon …</p><p> </p><p>En 1988, il rencontre <strong>Robert Wilson</strong> avec qui il travaille sur plusieurs projets artistiques, d’abord comme assistant et à partir de 1994 en qualité de co-metteur en scène, réalisés pour le Théâtre du Châtelet, La Scala de Milan, l'Opéra Bastille, l’Opéra National de Paris...</p><p> </p><p>Il a aussi travaillé en tant que chorégraphe pour <strong>Patrice Chéreau, Peter Stein, Luca Ronconi et Klaus Michael Grüber</strong>. Depuis 2000, il signe ses propres mises en scènes, scénographies et lumières.</p><p> </p><p> </p><p><strong>L'association Les Jardins Numériques </strong></p><p> </p><p><img alt="Dsc_3063-1496762301" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431219/DSC_3063-1496762301.jpg"></p><p> </p><p>Les Jardins numériques est une association basée à Paris. Créée en 2005 avec une forte orientation solidaire et citoyenne, elle est membre actif du<strong> réseau associatif franco-italien Italia in Rete.</strong></p><p> </p><p>Elle propose des activités numériques, notamment en direction des habitants des quartiers populaires du sud Parisien, de publics en handicap, en fragilité numérique et sociale.</p><p> </p><p>Elle a développé aussi des grands projets vidéo et Web, tel que le portail et des tutoriels vidéo pédagogiques <strong>« Passerelle de mémoires »</strong> avec le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) de Paris et le projet de musée virtuel <strong>« Museocube </strong>» (pour en savoir plus, consulter le site de présentation : http://www.museocube.org).</p><p> </p><p>Elle réalise actuellement des portraits filmés de lignées de femmes <strong>« Issues de femmes », </strong>projet financé par le Conseil régional IDF et qui vient de recevoir le <strong>Label Paris Europe 2017 </strong>de la Mairie de Paris.</p><p> </p><p> </p><p><strong>Nous sommes ainsi rentrés dans l'histoire comme protagonistes et partenaires ! </strong><strong>Et maintenant si vous rentriez dans l'histoire avec nous !</strong></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><img alt="Mb6-1496244434" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/429232/MB6-1496244434.jpg"></p>
<p><strong>La collecte servira à financer le repérage avant tournage en Italie dans les lieux de Marco Bellocchio (Rome, Piancenza, Bobbio), les frais de déplacement et de mission du réalisateur, la photographe, l’opérateur, la rencontre des deux artistes.</strong></p><p> </p><p><strong>Rencontres avec Marco Bellocchio en Italie et repérage des lieux de tournage cet été avec le réalisateur, l’opérateur vidéo, la photographe (5 jours) : 2800 €</strong></p><p>Voyage en avion Paris – Milan AR : 600 €</p><p>Quatre nuits d’hôtel à Milan, Bobbio, Piacenza : 1000 €</p><p>Déplacements en train et en voiture : 600 €</p><p>30 repas : 600 €</p><p> </p><p><strong>Kisskissbankbank : 8 % = 240,00 €</strong></p><p> </p><p><strong>Si nous dépassons notre objectif :</strong></p><p> > et atteignons 4000 €, rédaction des dossiers de demande de financement privé et public</p><p> > et atteignons 6000 €, nous participerons à des festivals et à des marchés de documentaires pour trouver des financeurs et des distributeurs</p><p> </p><p><img alt="Pizza-1496764038" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431247/Pizza-1496764038.jpg"></p>