Nouvel album de Benjamin Schoos
<p><strong>« Quand la nuit tombe sur l’orchestre » de Benjamin Schoos</strong></p>
<p>Pour son quinzième album studio, <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Miam_Monster_Miam" target="_blank">Benjamin Schoos</a> a décidé de passer à l’instrumental. Le vinyle de « <em>Quand la nuit tombe sur l’orchestre </em>», à paraître le 5 Octobre 2018 , est actuellement en précommande sur Kiss Kiss Bank Bank.</p>
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<p>Christophe chantait des mots bleus mais pour son quinzième album studio, <a href="http://www.benjaminschoos.co.uk" target="_blank">Benjamin Schoos</a> a quant à lui décidé de chanter des mots invisibles. Après le bien nommé « <em>Profession chanteur </em>», et comme c’est souvent le cas avec lui, l’inclassable artiste belge a décidé de faire tout l’inverse : sur son prochain album « <em>Quand la nuit tombe sur l’orchestre </em>», inspiré d’une citation du surréaliste André Breton, il dit au revoir au langage et propose une compilation de ses plus beaux thèmes instrumentaux.</p>
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<p>Composés et enregistrés en différents lieux, différents endroits et différentes époques, mais par un seul homme, ce nouvel album sent évidemment très fort le romantisme, les ambiance surannés typiques des seventies, mais sans jamais tomber dans la nostalgie. Ici, l’ombre des compositeurs français mythiques plane au dessus du baldaquin : on entrevoit François de Roubaix (cf le très enfantin Pop Baroque Theme), Sébastien Tellier (La porte des rêves évoque la B.O. du barbu fantasque pour le film Narco) et si vous tendez bien l’oreille, alors vous entendrez également Alain Chamfort sussurer des mots doux sur "D<em>ans les bras de la nuit"</em>.</p>
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<p>Compilation, certes, mais pas que. « <em>Quand la nuit tombe sur l’orchestre</em> » est surtout la synthèse d’une époque très (trop) bavarde pendant laquelle, parfois, mieux vaut ne rien dire. Sur les quinze morceaux qui composent ce disque-comptine, c’est le cas, mais sans endormir. Puisque s’il s’écoute majoritairement à l’horizontal, le cul n’est jamais très loin comme en atteste le Disco Europe Express, thème à l’origine écrit pour illustrer le documentaire d<a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Monssens" target="_blank">’Olivier Monssens</a>.</p>
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<p>«<em> Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants muets </em>» ; telle est donc la morale de ce disque composé à cheval entre les années 2011 et 2018, et c’est une pièce de plus dans le flipper géant de ce Schoos qui semble touours pouvoir chaussures à pied, quelqu’en soit la taille. Logique, quand on sait qu’il fut un temps ventriloque à la radio…</p>
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<p>Cette campagne de précommande servira à financer le <strong>mastering</strong> et le <strong>pressage vinyle et Cd </strong>ainsi qu'à couvrir l'envoi chez les souscripteurs qui recevront le vinyle entre mars et avril 2018. Avec cette nouvelle précommande, <strong>Freaksville Records </strong>reste fidèle au "direct to fans" en proposant un tarif préférentiel pour les récompenser de leur soutien, avant la mise en vente de l'album chez les disquaires. Le disque est ici proposé au tarif imbattable.</p>
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