Papa nos dijo // Short movie
<p><strong>SYNOPSIS :</strong></p><p>Santiago, un papa obsessionnel vit reclus de la société avec ses deux filles : Leo, 16ans, et Paz, 13ans. La famille se retrouve autour d’une lubie construite par Santiago autour de Sarah, une championne de Polo. Le clan est prêt à tout pour faire rentrer Sarah dans leur famille.</p><p> </p><p><strong>SINOPSIS : </strong></p><p>Santiago, un padre obsesionado, vive en margen de la sociedad con sus dos hijas: Leo, 16 años, y Paz, 13 años. La familia se reúne alrededor de una pasión maniaca construida por Santiago sobre Sarah, una campeona de Polo. El clan haría cualquier cosa para que Sarah sea de la familia. </p><p> </p><p> </p><p>Nous sommes deux artistes/cinéastes françaises, passionnées par les expériences, et par les prises de risques artistiques. C’est pour cela que nous avons décidé de réaliser notre premier court-métrage à Buenos Aires. Après plusieurs collaborations sur des clips en France et au Japon, et divers projets vidéo, nous avons décidé de réaliser un court-métrage en espagnol avec une équipe entièrement argentine. Notre but étant de croiser deux cinémas à 11.000 km de distance, le cinéma français et le cinéma argentin à travers un métissage in situ.</p><p> </p><p>Notre scénario se nourrit de la découverte d’un nouveau pays, d’une nouvelle culture, d’une nouvelle vision esthétique, avec à la main notre bagage de connaissances du cinéma français. C’est par des éléments classiques de la culture argentine parsemés tout au long du court-métrage que l’on créera l’immersion dans une Argentine réelle, sous notre regard acéré de françaises.</p><p>Nous avons choisi de mettre en scène notre intrigue dans une maison en banlieue de Buenos Aires. Le spectateur prend place dans une famille recluse sur elle-même, avec pour seul centre de vie le fanatisme du père : Santiago. Lui et ses deux filles Léo et Paz, mangent, boivent, vivent au nom de Sarah, championne de Polo. C’est un court-métrage social, qui parle de la difficulté de la vie, de la dureté de l’amour et de la folie qu’elles peuvent entraîner. Le spectateur sera d’abord amusé par cette famille hors-norme, puis au fil du court-métrage, l’angoisse prendra place.</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470940/VERONICA_MAYORGA-1512162651.png" /></p><p> </p><p>Santiago renvoie au spectateur l’image du désespoir, caché derrière un personnage schizophrène, violent, en colère, il se révèle être le personnage le plus fragile de l’histoire. L’amour qu’il a pour ses filles est bien présent, mais sa folie prend le dessus sans cesse, laissant un goût amer au spectateur lors de scènes incestueuses ou violentes. Santiago est bloqué dans son amour pour son ex-femme, qu’il projettera dans toutes les femmes qui lui ressembleront. Il transmet inconsciemment à ses filles cette recherche interminable d’une mère idéalisée.</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470634/MARTIN_IDOETA_BADDE-1512076731.png" /></p><p> </p><p>Les sœurs, elles, nous renvoient au conditionnement, à l’amour et l’obéissance aveugle d’enfants pour leur père. Dans cette période de vie qu’est l’adolescence, où de nombreuses remises en question sont inévitablement présentes, le spectateur est face à deux adolescentes, aveugles, hors de la réalité, comme hypnotisées par le conditionnement de leur père.</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/472894/Capture_d_e_cran_2017-12-10_a__11.33.38-1512916445.png" /></p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470636/NATI_HORENCZYK-1512076797.png" /></p><p> </p><p>Jusqu’où vont-ils aller pour cet amour obsessionnel ?</p><p> </p><p>L’esthétisme des cadres sera minutieusement soigné, accompagné d’une lumière naturelle pour la majeure partie des scènes, souvent composées symétriquement pour accentuer la ressemblance des deux sœurs. Des travellings et plans séquences accompagneront les scènes les plus immersives, alors que des plans fixes feront office de tableaux.</p><p>Nous mettons l’accent sur une décoration chargée, low cost mais méthodique : des photos de la championne, des objets de polos, des coupes et des cannes jonchent les murs et remplissent l’espace. Le fanatisme de la famille est retranscrit à l’image via cette décoration mais aussi dans leurs vêtements : les sœurs sont quotidiennement habillées de tenues d’entraînement de polo. Évoluant dans un milieu populaire, la famille se révèle très inventive pour se rapprocher de l’univers du polo ; faux chevaux fabriqués avec des balais, montage-photos…</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470621/24197491_1446995482036191_354985719_o-1512072574.jpg" /></p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470941/23224449_1420044721397934_1436210390_o__1_-1512163464.png" /></p><p> </p><p> </p><p>La musique soulignera le jeu des acteurs, pour immerger le spectateur dans des ambiances sonores fortes, oppressantes et mentales. Entre chansons populaires argentines et bruitages angoissant comme un bruit de grattement d’ongle répétitif, la bande son embarque le spectateur dans un voyage autant visuel que sonore.</p><p> </p><p><iframe src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2Fvideoseries%3Flist%3DPLV1dlzfh9tmqauKvgz5p3-vQSXaCAp8aF&url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DmY6U_rLrCco&image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FmY6U_rLrCco%2Fhqdefault.jpg&key=cb39d84f05d8439bbe96012f078e02b0&type=text%2Fhtml&schema=youtube" width="500" height="281" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p><iframe src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2Fvideoseries%3Flist%3DPLV1dlzfh9tmqauKvgz5p3-vQSXaCAp8aF&url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DZJQiqTELwwI&image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2FZJQiqTELwwI%2Fhqdefault.jpg&key=cb39d84f05d8439bbe96012f078e02b0&type=text%2Fhtml&schema=youtube" width="500" height="281" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p> </p><p><strong>L'EQUIPE </strong></p><p> </p><p><strong>Juliet Casella et Julia Tarissan, </strong>scénariste et réalisatrice</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470613/18156719_10213360717641184_3782179123263869578_o-1512071876.jpg" /></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><strong>Gabriel Guerra Taveira, </strong>co scénariste</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/472893/20861871_10155575375826354_6545295091471053444_o-1512916367.jpg" /></p><p> </p><p> </p><p><strong>Rodrigo Reinoso,</strong> 1er assistant direction</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470616/Capture_d_e_cran_2017-11-30_a__16.56.29-1512071991.png" /></p><p> </p><p> </p><p><strong>Sergio Guevara,</strong> producteur</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470618/Capture_d_e_cran_2017-11-30_a__17.00.16-1512072077.png" /></p><p> </p><p> </p><p><strong>Robert Peyote Paredes,</strong> Chef déco</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470868/Capture_d_e_cran_2017-12-01_a__12.41.13-1512142893.png" /></p><p> </p><p> </p><p><strong>Alejo Pinchot</strong>, photographe</p><p> </p><p><img width="100%" alt="" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/470948/Capture_d_e_cran_2017-12-01_a__19.14.07-1512166540.png" /><br /><br /> </p><p> </p>
<p><strong>La collecte nous permettra de :</strong></p><p><br />- louer un camion pour le matériel ; 200 euros </p><p>- louer du matériels (caméra, steadycam, micro, perche, éclairages...) de bonne qualité ; 1500 euros<br /><br /><br /><strong>Si la collecte dépasse cela nous permettra donc aussi de : </strong></p><p>- récolter un budget à la décoration pour créer l'atmosphère dont le film a besoin ; 700 euros</p><p>- assurer un bon repas et une belle table régie à l'équipe lors du tournage et des répétitions ; 500 euros </p><p>- envisager la post-production (montage, son, mixage, étalonnage et création d'un DCP - DIGITAL CINEMA PACKAGE (fichier destiné à l'exploitation numérique du film en salle et en festival) ; <br /><br />- dédommager l'équipe et les acteurs ; 500 euros</p><p>- payer les droits musicaux, la BO du film ; 100 euros </p><p>- assurer les imprévus afin d'avoir une petite marge de sécurité .<br /><br /> </p><p><strong>CALENDRIER PROVISOIRE : </strong><br /> </p><p>Décembre 2017: fin du casting / repérage des lieux / composition de l'équipe <br />Janvier 2018: répétition avec les acteurs / création de la décoration des lieux / mise en place du tournage <br />Février 2018 : préparation des lieux / tournage<br />Mars 2018 : post production<br /><br /><strong>Julia Tarissan percevra l’intégralité de la collecte</strong></p><p><br /> </p>