Tolawi
<h2><strong>La genèse :</strong></h2>
<p>L’école Cinémagis organise chaque fin d’année le tournage d’une fiction longue sur une thématique imposée. Cette année le thème est la rupture sous toutes ses formes. C’est alors que TOLAWI voit le jour, un unitaire de 52 minutes. Si l’école finance en grande partie la production de ce film, nous avons besoin de votre soutien pour faire de ce projet une réalité.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/591780/Groupe-1557050740.JPG" width="100%" /></p>
<h2><strong>Pitch :</strong></h2>
<p>Edouard TOLAWI est huissier de justice. Il travaille pour son père, Olivier, qui est à la tête du cabinet. Les deux hommes sont sans pitié. Un beau jour, Edouard fait une saisie chez une vieille dame sans savoir que cette dernière a des dons de voyance. Dès lors, Edouard est victime d’une « malédiction » qui lui fera perdre tous ses sens. Edouard se trouve maintenant confronté à son passé qui refait surface.</p>
<h2><strong>Note d’intention :</strong></h2>
<p>Au travers de ce long métrage nous voulons mettre en avant l’éveil psychologique et spirituel de notre personnage principal Edouard. En effet, Edouard a pris comme modèle son père Olivier depuis tout petit. Il ne s’est pas construit de manière équilibrée. Sa mère étant décédée lorsqu’il était plus jeune, Edouard n’a eu que son père comme parent. C’est ici que tout prend racine, la relation au père est très conflictuelle et malsaine. Le manque de cette figure féminine sera la clé du mal être de notre personnage. Le père a une relation de pouvoir avec son fils à contrario de sa mère, que nous verrons au travers de flash-back, qui est pleine de douceur et d’amour avec lui. Il sera question de montrer ici que le manque d’amour de notre personnage, Edouard, a des répercussions sur son quotidien. Sa psychologie sera retranscrite au travers de rapports dénués de toute humanité avec son entourage. Il sera à l’image de son père, impatient, frustré et autoritaire.<br />
Nous avons pour intention de montrer la quête identitaire d’Edouard au travers d’une perte sensorielle qui l’obligera à se confronter à son passé traumatique. Nous le suivrons dans son quotidien, d’abord en tant que spectateur avec un cadre posé avec par moment de légers mouvements de caméra. Nous situerons au travers de ces plans, le contexte spatio-temporel ainsi que son rapport à son père qui est destructeur. Nous imaginons un environnement géométrique où rien ne dépasse pour traduire le manque de compassion de son père et le peu de place qu’Edouard et Olivier laissent à leur émotivité.<br />
Puis tout basculera le jour où Edouard va croiser la route de Madame Vermeille, voyante et cartomancienne. La malédiction jetée sur Edouard va lui permettre de s’éveiller et de prendre conscience de qui il est vraiment. Nous nous rapprocherons alors de ce personnage en proie au désespoir avec une caméra à l’épaule pour signifier un changement de sa part : Edouard ne peut plus fuir ce qui le rattrape. Nous verrons au fur et à mesure son évolution psychologique et sa totale remise en question. Notre personnage a besoin d’ancrage pour savoir qui il est vraiment. Tout travail sur soi, toute remise en question de nos croyances est douloureux. Edouard souffrira de cette perte de repères tout le long du film pour enfin accéder à une libération totale.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/591781/Combo-1557050769.JPG" width="100%" /></p>
<h2><strong>Les décors :</strong></h2>
<p>L’ensemble du tournage s’effectuera à Bordeaux même, en effet, nous souhaitons mettre en avant le patrimoine de cette ville par le biais des différentes facettes de nos personnages. L’école Cinémagis s’étant installée très récemment sur Bordeaux, il était logique pour nous d’essayer à notre échelle de lui rendre hommage.</p>
<h2><strong>L’équipe :</strong></h2>
<p>La réalisatrice : Ezti LARRUE</p>
<p>Co-réalisateur : Turina SAUSSE</p>
<p>Chef opérateur / Cadreur : Léo GRUBY<br />
Chef électricien : Romain BERDOLLT<br />
Chef machinerie : Julien MAUGIS<br />
Son : Louis SIMMONS<br />
Régie : Jeanne SINDIC<br />
Production : Baptiste LASSALLE</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/591782/Affiche-1557050793.JPG" width="100%" /></p>
<h2><strong>La collecte :</strong></h2>
<h3>Premier palier 1000€ :</h3>
<p>Les conditions de tournage influent grandement sur la qualité du travail et, avec une équipe<br />
constituée d’environ trente étudiants, il est essentiel que chacun puisse manger correctement.</p>
<h3><br />
Deuxième palier 2000€ :</h3>
<p>La production pourra défrayer l’ensemble de l’équipe technique. Les acteurs ne seront pas en reste, puisque nous pourrons en plus de payer leur déplacement, les loger à proximité des lieux de tournage.</p>
<h3><br />
Troisième palier 3000€ :</h3>
<p>C’est du bonus ! Des décors enrichis, de plus gros équipements, de quoi rendre le film encore plus beau !</p>