Vu d'en Haut ! un roman spirituel.

Découvrez l’histoire de Wihéa, une femme en quête de son passé et de sa reconstruction après une mystérieuse perte de mémoire.

Visuel du projet Vu d'en Haut ! un roman spirituel.
Réussi
31
Contributions
19/12/2024
Date de fin
28 préventes
Sur 14
200 %

Les publications

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Bonjour à tous, La campagne KissKissBankBank pour "Vu d’en haut" est terminée, et quelle aventure ! Grâce à vous, ce projet a dépassé toutes mes attentes. 🙏 Mais ce n’est que le début pour Wihéa et ses amis ! Actuellement, le roman est en cours de correction, avec un travail particulièrement minutieux pour vous offrir une expérience de lecture à la hauteur de vos attentes. Je vous expliquerai bientôt tout cela sur le site wihea.com, où nous nous retrouverons pour la suite. 📚 Et pour ceux qui n’ont pas pu participer à la campagne : Vous pourrez toujours commander le roman directement auprès de moi dans un premier temps, puis il sera disponible en librairies, sur Amazon, et sur d’autres plateformes. 💌 Les premiers pas sont faits : Entre les précommandes KissKiss et les commandes privées, une cinquantaine d’exemplaires partiront dès que les corrections et impressions seront finalisées. 🙏 Un immense merci à tous les contributeurs. Votre soutien me touche profondément et a rendu cette aventure non seulement possible, mais aussi incroyablement humaine. Restez connectés, l’histoire continue… 💫
Grâce à vous, l'objectif des 25 commandes a été atteint ! 🎉 Nous visons maintenant les 200 %, et ce soir, nous sommes déjà à 179 %. Votre soutien est incroyable, merci du fond du cœur. 💖 De mon côté, j’avance dans les dernières corrections du roman. Chaque jour, je peaufine les détails pour vous offrir la meilleure version possible. ✍️ Cette étape est essentielle pour donner vie à Vu d’en haut dans toute sa profondeur. Je suis en pleine réflexion entre trois imprimeurs capables de diffuser le livre dans les librairies. Grâce aux dons généreux ajoutés à vos achats, je suis presque en mesure de franchir cette étape cruciale. 🙌 💡 Un immense merci à tous ceux qui participent à cette belle aventure solidaire. Vous êtes bien plus qu’un simple soutien, vous êtes les artisans de ce rêve qui prend vie. Ensemble, faisons de Vu d’en haut une réalité encore plus grande. 🌟 Merci merci. Isabelle
🌟 Bonjour à vous, mes lecteurs et futurs lecteurs ! 🌟 Grande nouvelle : Vu d’en haut est corrigé, et je travaille actuellement sur la mise en page finale. 🎉 Deux options s’offrent à moi : un format 14,8 x 21 cm via un imprimeur français ou 15 x 22,5 cm en restant chez Amazon. J’hésite encore ! mais dimanche soir, il devra partir ! 💌 Beaucoup d’entre vous m’ont déjà soutenue avec un don, et je vous en remercie du fond du cœur. Toutefois, il manque encore un peu pour couvrir les frais si je prends avec diffusion, car j’autofinance ce projet. Je sais que je ne gagnerai rien immédiatement, mais croyez-moi, le plaisir de partager cette histoire avec vous est ma plus belle récompense. ✨ 🌟 Et après ? J’ai hâte d’envoyer le livre à l’impression, de préparer vos colis, et de voir vos retours dès que vous le tiendrez entre vos mains ! En janvier, je pourrai enfin me plonger dans l’écriture d’un nouvel opus. Mes personnages me manqueront sinon… 👀 Ludovic, Joël, Étienne, Nathan… et les autres hommes de l’histoire ont tant à vous dévoiler. Et les femmes ? Lydia, Wihéa, Eliane ... Mais patience, leur aventure n’en sera que plus savoureuse si vous la découvrez page après page. 😉 📩 En attendant, les contributions PDF seront bientôt envoyées pour que vous puissiez plonger dans cet univers et, pourquoi pas, partager vos impressions. Encore un immense merci pour votre soutien, votre enthousiasme et votre patience. Ensemble, faisons vivre Vu d’en haut ! 💫
Chers amis et lecteurs Je tiens à vous parler en toute transparence et avec beaucoup de gratitude pour votre soutien. Après des mois immergée dans l’écriture de mon roman, j’envisageais initialement de le publier via KDP-Amazon, comme je l’avais fait pour les 3 premiers tomes en 2017. Mais après avoir lancé ce crowdfunding, j’ai découvert avec joie que des sociétés françaises d’auto-édition proposent également des services de diffusion en librairie, une opportunité qui permettrait à mon livre d’aller bien au-delà de mon cercle proche. Depuis deux jours, je compare, je calcule et j’évalue les options. Voici où j’en suis : Mon roman est long et le coût d’impression chez les imprimeurs français est plus élevé que chez Amazon, entre 15 et 17 euros par exemplaire. À cela s’ajoute le coût du transport pour les exemplaires que je recevrai chez moi. Donc pas de bénéfice pour mes pré-ventes... Pas grave, je pourrai au moins l'imprimer. Cela dit, le fait de diffuser ce roman en librairies est une perspective qui me tient à cœur. Mais pour cela, je ne peux pas compter uniquement sur les bénéfices des pré-ventes pour payer ce service. Cependant, le bénéfice majeur serait une meilleure visibilité en librairies et un impact plus large, pour des marges entre 0,44 et 2€.🙂 Pour sortir d’Amazon, je dois donc compter sur vos dons en complément des préventes. C’est le principe même du crowdfunding : permettre à un auteur de financer son projet avec le soutien de ses lecteurs. Seulement, j'avais mal calculé à la base, enthousiamée à l'idée que le livre vous arrive avant Noël... Je suis allée trop vite. Grâce aux préventes, l’impression du livre sera possible. Mais pour aller plus loin et assurer une diffusion en librairies, vos dons joueront un rôle essentiel. Même les petits dons de 5 ou 10 euros, ou plus, sont une aide précieuse, et je remercie chaleureusement celles et ceux qui ont déjà contribué. Si vous souhaitez m’aider sans commander un autre livre, il existe une option simple « don » sur la plateforme, que vous pouvez utiliser pour soutenir ce projet. Je vous suis infiniment reconnaissante pour votre enthousiasme et votre confiance. Ensemble, nous pouvons faire voyager ce roman bien au-delà de ses premières pages. Merci de tout cœur ! Avec amitié, Isabelle
Plus que quelques jours : pour avoir le numéro ISBN pour finaliser les sauts de pages etc.. Cela donne encore quelques heures de travail, mais la couverture est prête. Je l'ai fait réaliser par une amie Sandrine Qu'en pensez-vous ? Au plaisir de vous tenir au courant de la suite... Bon WE Isabelle
Comme je vous l'avais annoncé, la couverture était "temporaire". Maintenant, j'hésite entre ces deux là. Mon nom en blanc ou en jaune ... A votre avis ?
MARDI 4 AVRIL 2011. Hôpital de Grenoble : 22h55 Serge prit une profonde inspiration, retenant sa respiration un instant, puis laissant l'air s'échapper lentement de ses lèvres à peine entrouvertes. Il ne put s’empêcher de penser, avec un léger sourire, que ce souffle tranquille ressemblait à un dernier soupir, paisible et libérateur. Les yeux fermés lui permirent un doux moment de contemplation. Soudain, les bruits devinrent comme étouffés. Il se sentait flotter, lé-ger comme une plume dans une brise douce. Chaque mouvement était fluide, comme s’il faisait partie du vent lui-même. Autour de lui, des éclats lumineux pulsaient, comme les battements d’un cœur invisible, apportant un sentiment de sérénité. Un peu surpris, il rouvrit les yeux et découvrit avec étonnement son corps en dessous, immobile. Il l’observa attentivement, réalisant qu’il avait déjà bien vieilli. Il n’avait jamais été bien grand, mais à cet instant, étendu dans ce lit, il paraissait vraiment chétif. Il était mal en point, maigre et sa peau d’une pâleur surprenante. Il se voyait branché à des tubes pour l’assistance respiratoire et des fils pour la surveillance des paramètres divers. Les circonstances qui l’avaient conduit ici demeu-raient floues dans son esprit, mais il se rendit compte que cela importait peu désormais. Ses pensées se tournèrent vers Yvonne, la femme qu’il chérissait ten-drement depuis douze ans, repensant avec tendresse à ce dernier après-midi passé à danser avec elle. Aussitôt, comme aspiré par une force mystérieuse, il se retrouva à ses côtés, dans leur chambre commune de la résidence pour personnes âgées. Pris de stupeur, il repensa à son corps allongé dans ce lit, et instan-tanément, il retourna aux soins intensifs de l'hôpital. Il prit conscience qu'il demeurait lié à son enveloppe charnelle par un long fil argenté, scin-tillant par intermittence, qui semblait posséder une existence propre, se déployant entre son corps et son âme. Il comprit alors qu'il avait le choix : couper ce lien et partir vers l'au-delà ou demeurer ici-bas. Le son étouffé qui l’entourait l’angoissait un peu. Pourtant, il entendait des voix, celles des médecins, les infirmières qui se racontaient leur semaine. Il se sentait léger, et il ressentait autour de lui, dans ces limbes invisibles, un amour immense, intense. Cet amour le transperçait, l’envahissait, le surprenait. Il pensa à sa petite fille, Wihéa, il avait attendu si longtemps pour la retrouver, et dernièrement, il avait rêvé qu’il devait contacter Ludovic son détective et lui demander de reprendre les recherches. N’était-ce pas un signe qu’il allait la retrouver ? Il ne pouvait donc tout simplement pas partir maintenant. Se rapprochant du lit, il eut l’impression de glisser dans les airs, étonnamment à l’aise. C’était agréable de voler. Alors qu’il s’apprêtait à réintégrer son corps, une présence l’envahit doucement. Il ne la voyait pas encore, mais il la sentait. Un flot d’amour l’entourait, mêlé à des souvenirs lointains. Une voix, douce et familière, résonna dans son esprit... — Tu pourras la voir bien mieux d’en-haut. Il sursauta et se retourna. Dans l’ombre de la pièce, une forme im-posante, faite de milliers de points lumineux, se détachait. Bien qu'elle n'ait pas de corps, Serge sentit en lui, avec une certitude immédiate, de qui il s’agissait. — Célyana ! C’est bien toi ? demanda-t-il d’une voix presque ti-mide. — Bien sûr, je t’attendais. Tu en as mis du temps, répondit-elle en riant doucement. — J’attends ma petite-fille, enfin notre petite-fille. — Oui, je sais. Mais elle ne peut pas venir pour le moment. Je peux te la montrer. Tu me suis ? — Non, regarde, je suis encore relié par ce fil étrange, brillant, ar-ticula-t-il doucement pour justifier son hésitation. — Tu as encore le choix. Tu crois que tu veux vraiment y retourner ? Regarde ton corps. Tu étais bien plus beau quand nous étions ensemble. Serge sourit aux souvenirs que ces paroles évoquèrent. En un batte-ment de cœur, il fut transporté en mai 1944, se revoyant comme un jeune soldat blessé, secouru par Célyana et sa mère. Elles l’avaient installé dans leur chalet des Hautes-Alpes. L’odeur apaisante des plantes et des fleurs qu’elles avaient utilisées pour le soigner remonta à sa mémoire, comme un doux parfum d’un autre temps. Il fut surpris de se retrouver là et aussitôt, son âme réintégra l’hôpital, auprès de Célyana. Des souvenirs doux et intimes lui revinrent alors à l’esprit, le troublant. — C’était à une autre époque, tu n’as pas oublié ? demanda-t-il. — Bien sûr que non. Jamais nous ne le pourrons. Nous sommes des âmes sœurs, ces moments intenses auxquels tu penses cimentent nos vies successives. Il ressentait son amour plus qu’il ne voyait son sourire, mais il le devinait. Une douce mélancolie étreignit son cœur, il était encore amou-reux, même de l’autre côté, ou presque. Célyana poursuivit d’une voix calme : — Alors ? Il est temps que tu prennes une décision. Le fil scintillait faiblement, mince et fragile, comme une dernière trace de sa vie terrestre. En le regardant, il se sentit à la fois attaché et distant, tiraillé entre son désir de rester et la promesse d’un ailleurs in-connu. D’un côté, il y avait son corps, sa vie, son amie Yvonne et de l’autre, un abîme inexploré, un silence feutré, des voyages instantanés dans le passé ou dans d’autres lieux. Mais surtout, elle était là, cette amoureuse étrange. Un long frisson parcourut son être, et il laissa échapper ses peurs : — Je crains intensément ce passage vers… comment dire… ce monde particulier. Célyana répondit doucement pour l’apaiser : — C’est tout à fait normal, mais tu sais, tu ne risques plus grand-chose. Tu es presque mort, sinon, tu ne pourrais ni me ressentir, ni me parler. Allez, viens, ici, il n’y a plus de douleur corporelle, plus de besoin primaire. Et, surtout, le monde apparaît sous un jour différent. On peut voyager, explorer tous les endroits du globe, revivre le passé, et enfin, tu pourras connaitre ta petite fille. — Mais elle ne pourra pas me voir ! — Et pourquoi pas ? Te rappelles-tu mes dons que tu qualifiais d’étranges ? — Elle les possède aussi ? — Elle est à l’aube de les réveiller. J’attendais ta venue pour que nous puissions assister à ce moment ensemble. La décision t’appartient, mais n’attends pas trop longtemps ! — D’accord. Je vais rester avec toi, ici. Mais comment dois-je pro-céder pour couper ce fil ? — Prends un sabre à la main. — Un vrai sabre ? s’étonna-t-il. — Un… vrai... sabre... imaginaire ! répondit-elle en riant et en dé-tachant chaque mot. Ils partagèrent un rire complice, puis, redevenant sérieux, il se con-centra, hésita encore un peu et demanda : — Cela sera-t-il douloureux ? — Idiot, tu seras mort ! À suivre dans le roman....
Eh oui, celle que vous voyez ne sera pas la couverture définitive. Aussi, pendant que les relectrices vérifient tout, je me penche sur la question. J'ai tenté quelques idées aux pastels, mais cela ne convient pas. A suivre...
Oh là là, quelle prise de tête... les numéros de pages, les chapitres pages impaires, les ponctuations isolées... On en retrouve toujours... Mais bon, cela avance bien quand même. J'ai renvoyé à mes correctrice, la dernière version... Je vous tiens au courant de l'avancée. promis.