AMMA / film documentaire
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524143/En-qq_mots_AMMA-1528380605.png" width="100%" /></p>
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<p><strong>Le projet AMMA est né il y a dix ans sur les terres oubliées de l’Inde</strong> où, alors âgée de 17 ans, je rencontre la <strong>Congrégation des Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul.</strong></p>
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<p>Réparties dans différentes <strong>maisons et centres de soins</strong>, les Sœurs consacrent leur vie aux <strong>exclus de la société indienne. </strong>Elles recueillent et vivent en communauté avec des enfants des rues, femmes abusées, handicapés physiques ou mentaux, personnes atteintes du VIH et de la lèpre. </p>
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<p>En réalisant mon premier film AMMA, je souhaite proposer, à travers ce documentaire, une <strong>immersion </strong>dans ces lieux tenus par les Sœurs afin de découvrir leur <strong>mission</strong>, leurs <strong>tâches quotidiennes,</strong> ainsi que la <strong>vie des oubliés</strong> dont elles s’occupent.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524145/ma-rencontre_AMMA-1528380629.png" width="100%" /></p>
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<p>Ce fut le hasard qui mit sur mon chemin la Congrégation des <strong>Sœurs de la Charité</strong>. J’ai 17 ans et je rencontre <strong>Sœur Mary</strong>, tout juste arrivée d’Inde en France. Le dialogue s’établit spontanément et rapidement me vient l’envie de partir découvrir leur quotidien sur place, les <strong>voir à l’œuvre</strong> pour mieux les comprendre.</p>
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<p>Au lieu de passer mon bac, <strong>je suis partie à Eluru</strong>, dans l’Andhra Pradesh, au sud-est de l’Inde, au sein d’une maison tenue par la Congrégation. Je ne savais que très peu de choses sur l’Inde et encore moins sur ce lieu, seule certitude j’allais y retrouver Sœur Mary. En quelques heures, je découvre effarée <strong>l’Inde, tumultueuse, chaotique, assourdissante</strong> et la maison d’Eluru pour enfants handicapés. Ce fut le choc, le sentiment de surnager dans une confuse irréalité.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/523743/Pauline_Madathil-1528299005.JPG" width="100%" /></p>
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<p>J’y suis restée six mois, vivant au rythme de la maison et des Sœurs, dormant sur place et partageant tous leurs repas, je ne sortais que quelques heures par semaine pour aller au marché. <strong>L’attention, le soin et l’amour</strong> avec lequel les Sœurs enveloppaient chaque enfant semblaient sans limite. Toutes leurs actions n’étaient mues que par leur volonté <strong>d’offrir un refuge à ces enfants </strong>pour les autoriser à vivre, à grandir, à s’épanouir. Elles leur proposent un <strong>monde supportable</strong>, un monde où le progrès et la joie redeviennent possibles. </p>
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<p>À mon retour en France, je n’ai jamais cessé de dialoguer avec les Sœurs d’Eluru. Nous avions un espace très libre de discussions, nous étions respectivement <strong>curieuses et respectueuses de nos modes de vie, pourtant très éloignés.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524368/stitres_ajd_AMMA-1528448500.png" width="100%" /></p>
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<p><strong>Ce n’est que sept ans après</strong> ce premier temps d’immersion, que je suis retournée sur place. J’y ai retrouvé des Sœurs, j’y ai retrouvé des enfants. J’ai aussi réalisé que j’avais construit sans en prendre conscience une <strong>relation unique</strong> avec cette communauté. <strong>Les Sœurs me font confiance</strong>, se confient, parlent sans détour de leur vocation, des personnes qu’elles accueillent mais aussi de toutes les problématiques auxquelles elles sont confrontées,<strong> les violences intrinsèques à la société indienne, la place des femmes, le rôle de la religion. </strong>J’échange presque quotidiennement avec elles via les réseaux sociaux, Facebook et WhatsApp…</p>
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<p><em><strong>J’ai alors pris conscience de mon envie, mais surtout de la nécessité de témoigner de la vie de ces femmes, de leurs actions, de leur vocation et de leur modernité. </strong></em></p>
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<p><em><strong> Le projet d’AMMA était né.</strong></em></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/523742/Pauline-Gange-1528298969.JPG" width="100%" /></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524147/Pq-ce-film_AMMA-1528380646.png" width="100%" /></p>
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<p>Avec ce film documentaire, je souhaite <strong>mettre en lumière</strong> ces femmes, ces <strong>combattantes</strong>, pour qui l’amour et l’acceptation de l’autre transcendent tout. <em><strong>Il n’y sera pas ou peu question de religion, le sujet est ailleurs.</strong></em> Par leur engagement, <strong>les Sœurs incarnent un humanisme</strong>, sincère, entier, qui se nourrit d’une immense <strong>ouverture d’esprit</strong> et d’une profonde <strong>abnégation</strong>.</p>
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<p>Face aux enjeux auxquels elles sont confrontées, leur ultime détermination n'est pas d'apporter une éducation religieuse mais d<strong>'aider ces oublié à vivre</strong> et non juste survivre.</p>
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<p>Si AMMA est le fruit d’un <strong>engagement personnel</strong>, il n’a pas pour autant vocation à imposer un discours. Au contraire, je souhaite avec ce film <strong>ouvrir au dialogue</strong> et permettre une meilleure compréhension de l'autre.</p>
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<p><em><strong>AMMA ambitionne de filmer sans filtre pour bousculer notre regard aseptisé face à cette Inde inconnue.</strong></em></p>
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<p><img alt="" height="430" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/523745/Affiche_AMMA-1528299333.jpg" width="305" /></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524151/lieux-persos_AMMA-1528380713.png" width="100%" /></p>
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<p><iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="281" scrolling="no" src="https://cdn.embedly.com/widgets/media.html?src=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fembed%2F0Hx00bNe93w%3Ffeature%3Doembed&url=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3D0Hx00bNe93w&image=https%3A%2F%2Fi.ytimg.com%2Fvi%2F0Hx00bNe93w%2Fhqdefault.jpg&key=8b7d8dd6504d41af9a77662672aabc2a&type=text%2Fhtml&schema=youtube" width="500"></iframe></p>
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<p><strong>AMMA explorera quatre maisons. Dans chacune d’elles, nous suivrons une Sœur et un pensionnaire. Le film entrelacera les récits qui se dérouleront au sein de chaque maison.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524365/1-maison-bangalore_AMMA-1528448096.png" width="100%" /></p>
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<p>La maison principale, <strong>à la tête de la Congrégation</strong>, accueille les <strong>enfants des rues </strong>(slums) mais dispense aussi une<strong> formation aux religieuses</strong> avant de les envoyer vers d’autres sites.</p>
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<p><strong>Sœur Saleena,</strong> c’est AMMA, elle est à l’origine même du projet. Fille d’un businessman, propriétaire d'une grande chaine de magasins, c’est après avoir étudié le marketing et la sociologie, qu’elle a décidé de devenir religieuse. C’est un choix courageux qui se heurte à l’incompréhension de sa famille.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524366/2-maison-eluru_AMMA-1528448121.png" width="100%" /></p>
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<p>La maison d’Eluru constitue un <strong>refuge et un centre de soins pour les petites filles en situation de handicap.</strong></p>
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<p><strong>Sœur Mary</strong> est débordante de vie, elle aime rire à gorge déployée, se perdre dans d’interminables digressions avant de s’offrir une courte escapade pour aller pêcher. Hyperactive, l’esprit preste et le corps agile, elle met toute son énergie dans la défense et la protection des plus faibles au détriment parfois de sa propre sécurité.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524367/3-maison-Madathil_AMMA-1528448143.png" width="100%" /></p>
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<p>La maison accueille des <strong>femmes victimes de violences</strong> (physiques, morales). Certaines femmes intègrent la maison pour quelques mois, d’autres ne la quitteront jamais (il est trop dangereux pour elle de quitter ce lieu). Elles peuvent y apprendre un métier, suivre des études ou se consacrer à des activités manuelles et artistiques.</p>
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<p><strong>Sœur Jessie </strong>est diplômée en Inde et en Angleterre, elle a pendant un temps occupé les postes les plus haut placés de la Congrégation. Depuis six ans, elle est à la tête de cette maison. Franche et ambitieuse, la jeune sœur tient un discours peu commun.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524363/4-maison-Trombay_AMMA2-1528447138.png" width="100%" /></p>
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<p>Liée au Manmad Hospital, cette maison prend soin des <strong>personnes atteintes de la lèpre, porteuses du VIH, ainsi que des femmes victimes de violence.</strong></p>
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<p><strong>Sœur Sonia</strong> est une jeune trentenaire, elle étudie le journalisme. Tout en étant dévouée à sa tâche, elle a du mal à se plier aux exigences de la hiérarchie et aux règles de vie imposées par la vie en communauté.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/525661/en-savoir-plus_AMMA-1528813874.png" width="100%" /></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524471/stitres_Cr_ation_AMMA-1528453573.png" width="100%" /></p>
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<p>La <strong>Congrégation des Filles de la Charité</strong>, aussi connues sous le nom des <strong>Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul</strong>, a été fondée en <strong>1634</strong>.</p>
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<p>Saint-Vincent-de-Paul est reconnu comme l’un des <strong>pères de l’action sociale</strong>. Le règlement qu’il a conçu, étonnamment moderne, prône une solidarité de proximité et des équipes au maximum composées d’une vingtaine de membres. Leur mission est à la fois concrète et spirituelle.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/523760/picture_of_the_poster_-1528300240.png" width="100%" /></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524472/stitres_soeurs-monde_AMMA-1528453589.png" width="100%" /></p>
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<p>Les équipes Saint-Vincent comportent <strong>165 000 « équipières » à travers le monde</strong> qui font toutes un travail de terrain auprès des sans-abris, des immigrés (notamment les femmes et les enfants) des personnes âgées, des malades et des prisonniers.</p>
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<p>En référence au Christ pauvre et aux conditions de vie des frères et sœurs qu’elles servent, les Sœurs de la Charité optent pour <strong>un style de vie simple</strong>. Elles vivent en <strong>communauté</strong> et s’entraident pour se rendre dans les zones de grandes souffrances et pour travailler avec les plus pauvres. Porteuses de joie et d’espérance, elles vont au service de <strong>ceux dont la dignité n’est pas respectée.</strong></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524473/stitres_soeurs-inde_AMMA-1528453602.png" width="100%" /></p>
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<p>Conscientes des <strong>besoins urgents que connaît l’Inde</strong>, les Sœurs de la Charité de Saint Vincent de Paul débutèrent leur première mission sur les terres indiennes le 1er janvier 1976. En 2013, la congrégation indienne comptait <strong>238 membres</strong> pour <strong>24 maisons </strong>construites principalement dans les zones rurales et sous-développées du Kerala, de l’Andhra Pradesh, du Karnataka et du nord-est de l’Inde.</p>
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<p>Les Sœurs se battent en permanence pour obtenir de nouveaux financements qui leur permettraient de soigner au mieux les résidents. Modernes, elles furent parmi les premières en Inde à adopter un <strong>système de financement</strong> basé sur les plateformes de <strong>crowdfunding</strong> !</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524154/equipe_AMMA-1528380745.png" width="100%" /></p>
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<p><strong>Fruit de rencontres en France et en Inde, l’équipe du film est en cours de constitution avec la volonté de mêler des professionnels du cinéma français et indien.</strong></p>
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<p><strong>L’équipe de tournage </strong>sera constituée : d’un.e assistant.e réalisatrice, d’un.e directeur/trice de la photographie, d’un.e opérateur/trice spécialisé.e steadycam, d’un.e chef opérateur/trice son et d’un.e régisseur/se.</p>
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<p><strong>L’équipe de post-production</strong> sera constituée : d’un.e monteur/se image, d’un.e assistant.e montage, d’un.e monteur/se son, d’un.e mixeur/se, d’un.e étalonneur/se, d’un.e responsable laboratoire.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524474/stitres_PLeprince_AMMA-1528453637.png" width="100%" /></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/525991/photo_pau_AMMA-1528897275.jpg" width="100%" /></p>
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<p>Née en 1991, <strong>Pauline Leprince</strong> navigue entre le cinéma, la photographie et le théâtre.</p>
<p>En 2008 elle découvre l’Inde en vivant plusieurs mois dans un orphelinat de la congrégation. Cette rencontre constituera une véritable source d’inspiration et donnera lieu à une exposition photos en soutien à la congrégation des Sœurs de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul, ainsi qu’au film documentaire AMMA pour lequel elle commence les recherches en 2016.</p>
<p>Comédienne de formation, elle joue dans différents films et pièces de théâtre. Elle met également en scène ses propres spectacles et performances.</p>
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<img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524479/stitres_RAgid-BDavoli_AMMA-1528454178.png" width="100%" /></p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/524508/photos_compo_AMMA-1528461214.png" width="100%" /></p>
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<p><strong>Roméo Agid </strong>est compositeur et Docteur en Arts & Théorie du musical. Musicien de formation, il réalise sous le pseudonyme de Roméo A ou rA des chansons électro-pop. Il collabore à différents projets musicaux notamment pour le spectacle vivant aussi bien en tant que compositeur qu’en tant que chorégraphe. Il a composé la musique du teaser.</p>
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<p><strong>Brice Davoli </strong>étudie la composition, l'analyse et l'orchestration au conservatoire et à la Sorbonne. Brice Davoli compose les musiques de très nombreuses publicités en France et à l'international, des musiques de films et téléfilms. Il signe également les arrangements de corde d'albums de variétés.</p>
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<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/525658/stitres_tous-ceux_AMMA-1528813842.png" width="100%" /></p>
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<p>Image teaser : Caroline Duprat, Pauline Leprince, Thomas Levy</p>
<p>Montage teaser et séquences : Nathalie Masson-Cartier, Margaux Serre et Valentin Bruhière</p>
<p>Portrait Pauline : Nikolaz Lecoq</p>
<p>Graphisme et réalisation de l’affiche : Laure Thonier et Alain Fleury, Studio les Jumelles</p>
<p>Communication : Faustine Noguès, Justine Riou, Adélaïde Crestani, Clémence Jockey, Mélissa Phulphin </p>
<p>Aide à la rédaction : Ophélie Rocque</p>
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