CHANSONS D'AMOUR!
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La chanson me poursuit ! Après avoir enregistré au trombone un album de jazz,<i> L'homme des sables, </i>publié en 2012 et bien accueilli par <a href="http://next.liberation.fr/culture/2013/03/13/benjamin-de-roubaix-la-fibre-paternelle_888417" target="_blank">la presse</a>, je me décide enfin à concrétiser un de mes voeux les plus chers : publier un album de chansons. Mais revenons encore en arrière...</p>
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Tout à commencé vers 14 ans, alors que je jouais de la basse dans un groupe de rap niçois et que mon frère Fabrice Toledano, parolier de profession, me faisait écouter la musique de James Brown et de Sly and the Family Stone, les as de la chanson soul et funk. Puis c'est un de mes cousins et amis, Alexandre Josso, qui m'envoya une enveloppe au format A4 pleine de poésies pour que je les mette en musique. Enfin, mes origines péruviennes me guidèrent vers toutes ces musiques populaires sud-américaines riches en rythmes, en rimes et en frimes : salsa, son cubain, valses et comparses. Musiques où l'amour est chanté sans cesse, comme s'il était l'essence de l'humanité, sans pour autant qu'on puisse jamais le définir.</p>
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C'est aussi vers la musique de film que je me suis dirigé et ce sont encore des chansons qui m'y ont escorté, comme "J'ai des visions<i>", </i>pour le film<i> </i><em>Visions</em> d'Aurélia Dausse,<i> </i>ou encore le rap du "Clan des sans destins" sur <em>Shangai Belleville</em>, de Show Chun Lee<em>.</em></p>
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Cet album est donc pour moi le fruit de nombreuses années de réflexions en tant qu'artiste qui cherche, trouve, perd et recherche continuellement sa voie. Mais il est aussi le fruit d'une amitié avec des musiciens : tout d'abord avec Javier Hermosín, batteur, percussionniste, choriste et pilier de ce projet ; avec Jim Funnell, excellent pianiste de jazz rencontré au Berklee College of Music ; et avec Zacharie Abraham, jeune contrebassiste de talent.</p>
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Et que seraient les musiciens sans les producteurs et les ingénieurs du son ? Olivier Bloch-Lainé m'a ouvert les portes des studios de La Frette ; l'ingénieur du son Nicolas Quéré et son assistant Jonathan Ratovoarisoa ont fait un travail remarquable d'enregistrement et de mixage.</p>
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Parallement à cet enregistrement, effectué grâce à ma petite entreprise De Roubaix Productions, j'ai réalisé un autre de mes voeux les plus chers, celui de monter un label phonographique avec ma soeur Patricia de Roubaix : Pucci Records. C'est certainement sous ce label et grâce à vous que sortira le disque.</p>
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Tout d'abord, la collecte servira à financer le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Mastering" target="_blank">mastering</a>, étape qui consiste à équilibrer, dans un studio spécialisé, les fréquences des différents morceaux pour obtenir une unité et une identité au sein d'un album. Le mastering sera sans doute réalisé en Allemagne par du personnel de Deutsche Grammophon.</p>
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Prix du mastering : 1000 € pour 13 titres.</p>
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Puis le pressage de 1000 CD en digipack : 1500 €.</p>
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Puis le pressage de 300 vinyles : 1500 €.</p>
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Enfin, la promotion du disque par une attachée de presse : 1500 €.</p>
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