CONSCIENCE
<p>Chère amie, cher ami, chère connaissance et chère non connaissance</p><p> </p><p>je vous remercie de vous être arrêté sur mon projet, qui je l'espère vous plaira et vous donnera envie de m'aider...</p><p> </p><p>je m'appelle Jérôme Conscience, je suis artiste plasticien, je vis et travaille à Besançon et j'ai bientôt 41 ans. Je vis avec ma compagne Mathilde et j'ai deux enfants Arthur 8 ans et Judith 2 ans.</p><p> </p><p>Conscience n'est pas un pseudonyme, même si l'on pourrait légitimement le penser, c'est mon vrai nom et il est fort possible qu'il ait influencé mon travail d'artiste.</p><p> </p><p>Le titre du livre est "Conscience" décliné en six langues : français, hébreu, latin, espagnol, arabe et anglais.</p><p>Vous pouvez voir la couverture du livre ci-dessous:</p><p> </p><p><img alt="0030-1493734842" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419318/0030-1493734842.jpg"></p><p> </p><p>Je suis rentré à l’école des beaux-arts de Besançon en 1995 et j'y ai notamment suivi les enseignements de Didier Marcel, Michel Giroud et Gérard Collin-Thiébaut avec qui je suis resté très ami.</p><p> </p><p>En 2001 je sors diplômé des Beaux-arts et trouve très vite un atelier situé au cœur du centre-ville de Besançon où je vais y vivre une dizaine d’années au milieu de mes peintures.</p><p> </p><p>J'ai réalisé de nombreuses sérigraphies et participé pendant plusieurs années au salon Art Paris avec mon ami Paul Bourquin, dont le décès prématuré en 2014 m'a beaucoup affecté.</p><p> </p><p>J'ai fait la connaissance de François Barnoud lors d’un vernissage du Consortium à Dijon en 2004. François m'a proposé l’année suivante d’exposer dans sa galerie dijonnaise.</p><p> </p><p>Aujourd’hui, je suis toujours suivi et soutenu par sa femme Laurence Cyrot-Barnoud, François Barnoud étant décédé.</p><p> </p><p>En avril 2016, le galeriste Pierre-Alain Challier, que je rencontre régulièrement depuis plusieurs années, me propose une première exposition parisienne dans sa galerie rue Debelleyme...</p><p> </p><p> </p><p> </p><p>Pour avoir un aperçu de mon travail artistique vous pouvez vous rendre sur mon site:</p><p> </p><p>www.jeromeconscience.com</p><p> </p><p>ou sur ma page face book:</p><p> </p><p>www.facebook.com/Jerome-conscience-290143841031304/</p><p> </p><p> </p><p>Assez parlé de moi... parlons un peu du projet si vous voulez bien</p><p> </p><p>Ce projet de livre est né suite à mon exposition <em>ET SI ON S’ARRETAIT DE MOURIR</em> à Entrepôt 9, galerie Barnoud début 2014. </p><p> </p><p>Avec mon ami et galeriste François Barnoud et sa femme Laurence nous avons eu l’idée et l’envie de réaliser une publication sur mes dix dernières années de créations et d’expositions. </p><p> </p><p>J’ai pensé et élaboré cet ouvrage pendant presque trois années, dans une totale liberté me donnant parfois l’impression d’être un peu seul… </p><p> </p><p>J’ai eu la chance dans cette entreprise d’être suivi et aidé par Laurence et Siloé (galerie Barnoud) sous l’œil bienveillant de François qui nous a quittés beaucoup trop tôt… </p><p> </p><p>Ce livre / catalogue de 148 pages, format : 210 x 275 sera édité par la galerie Barnoud, imprimé par Simongraphic à Ornans et diffusé par les Presses du Réel</p><p> </p><p>Ce livre sera édité à 1500 ou 2000 exemplaires (en fonction du budget) </p><p>Le prix public sera de 27 euros</p><p> </p><p> </p><p>J'ai pensé cet ouvrage comme un livre retraçant ces dix dernières années au cours de huit chapitres correspondant à huit expositions monographiques</p><p> </p><p><strong>Au programme : </strong></p><p> </p><p>Huit chapitres, trois textes critiques, dont une interview, une courte bio et quelques annexes</p><p> </p><p>les visuels ci-dessous représentent des doubles pages du livre</p><p> </p><p>photo de l'entrée de l'atelier et le sommaire:</p><p><img alt="00025-1493735581" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419324/00025-1493735581.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- MAKE ME LOVE</em></p><p> </p><p><img alt="0001-1493646016" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419002/0001-1493646016.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- ALFA ROMEO ET JULIETTE</em></p><p> </p><p><img alt="0003-1493646038" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419003/0003-1493646038.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- BONA MENS</em></p><p> </p><p><img alt="0005-1493646088" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419005/0005-1493646088.jpg"></p><p> </p><p> </p><p><img alt="0007-1493646059" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419004/0007-1493646059.jpg"></p><p> </p><p> </p><p><img alt="0009-1493646114" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419006/0009-1493646114.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- ABYSSUS ABYSSUM INVOCAT</em></p><p> </p><p><img alt="00011-1493646203" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419007/00011-1493646203.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- ELLE DIT, ELLE DIT, ELLE DIT...</em></p><p> </p><p><img alt="00013-1493646218" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419008/00013-1493646218.jpg"></p><p> </p><p> </p><p><img alt="00015-1493646237" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419009/00015-1493646237.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- ET SI ON S'ARRETAIT DE MOURIR</em></p><p> </p><p><img alt="00017-1493646254" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419010/00017-1493646254.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- I AM SO SORRY</em></p><p> </p><p><img alt="00019-1493646275" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419012/00019-1493646275.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><em>- HOPE, HOPE, HOPE...</em></p><p> </p><p><img alt="00021-1493646294" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/419013/00021-1493646294.jpg"></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><strong>les trois textes critiques :</strong></p><p> </p><p>- <em>D'abyssus à Pontos </em>de Romain Cardus</p><p>- <em>Des paysages en quelque sorte</em> de Louis Ucciani</p><p>- <em>Une simple conversation</em> (interview) de Guy Bloch-Champfort</p><p> </p><p>je vous livre en avant première l'interview de Guy Bloch-Champfort:</p><p> </p><p><strong>Une simple conversation</strong></p><p> </p><p>Première exposition parisienne. C’est une inévitable sensation de quiétude et de paix qui vous submerge lorsque vous poussez la porte de la galerie, aux murs entièrement recouverts de pièces de Jérôme Conscience. Tout semble calme et silencieux, serein et propice au repos et à la méditation. Aucune couleur forte, mais un ensemble de pièces blanches, avec parfois quelques touches de bleu ou de rouge, et une seule œuvre totalement noire, clin d’œil à Soulages. Et puis on s’approche et on est surpris de découvrir, peintes sur les toiles, des phrases inattendues, thèmes personnels, politiques, religieux, de société. Sur deux murs, des petits formats presque ton sur ton, dont la plupart révèlent jeux de mots franchement salaces et sexuels. La première impression se transforme en étonnement, en sourire, puis en questionnement… </p><p> </p><p>Guy Bloch-Champfort : Pourquoi la majeure partie de ton travail est-elle consacrée aux phrases ? </p><p> </p><p>Jérôme Conscience : Cela est arrivé un peu par hasard. Lorsque j’étais étudiant à l’Ecole des Beaux-Arts, je me suis vite intéressé au travail de Marcel Duchamp, Robert Filliou, John Giorno, Jean Dupuy, également à celui de Charles Fourier, le phalanstérien né à Besançon. J’aime beaucoup Philippe Léotard et son recueil de poésie « Pas un jour sans une ligne », que j’ai lu et relu. Je séchais les Beaux-Arts le mercredi après-midi pour suivre des cours de philo à la fac, et me suis mis à noircir des carnets de notes avec toutes sortes de phrases imaginées ou trouvées au détour d’une conversation, sans forcément savoir ce que j’en ferais… je me sentais proche de l’esthétique conceptuelle minimale à la Lawrence Weiner, Joseph Kosuth, Carl André, Dan Graham. Le déclic s’est produit quand François Morellet a exposé à l’Isba. Lorsqu’il nous a été proposé de répondre à son œuvre, j’ai réalisé une composition écrite en lettres adhésives sur le mur, en dessous de son œuvre. J’avais trouvé ma forme plastique. Des lettres adhésives au mur je suis passé aux lettres adhésives sur toile, puis à la peinture sur toile. Le travail sur le texte constitue la colonne vertébrale de mon travail, même si j’utilise aussi la photo, la vidéo et les volumes. J’aime jouer avec les mots et me jouer des mots, mettre en évidence l’inconscient, les lapsus et les connotations érotiques des phrases et des mots les plus anodins. </p><p> </p><p>GBC : Qu’est-ce qu’une bonne phrase ? </p><p> </p><p>JC : Il faut qu’elle sonne juste. Il est important pour moi de la lire à haute voix. C’est une forme de poésie visuelle, avec une dimension sonore, comme une petite musique. </p><p> </p><p>GBC : Les sujets abordés sont très divers, politiques, religieux, sexuels, parmi bien d’autres, et souvent drôles… </p><p> </p><p>JC : Oui, j’aime la plaisanterie, surtout quand elle cache une certaine gravité. Il y a souvent une réelle désespérance derrière un rire forcé. Ce qui m’inspire, c’est ce que je lis, je vois, je vis. N’étant pas très bavard, mes phrases me permettent de m’exprimer et parler avec légèreté de choses graves, souvent puisées dans la culture populaire dont je suis issu. Et puis j’aime laisser la possibilité au spectateur de s’approprier la phrase, de se raconter sa propre histoire. </p><p> </p><p>GBC : Tu écris dans différentes langues… </p><p> </p><p>JC : Le français est tout naturellement la langue que j’utilise le plus, mais il y a aussi l’anglais et l’espagnol, les langues occidentales les plus parlées au monde. Je travaille également avec l’hébreu, le latin et l’arabe, les trois langues des trois religions monothéistes, peut-être pour associer l’universel et le religieux...</p><p> </p><p>GBC : Tu ne parles pas ces langues… </p><p> </p><p>JC : Je comprends un peu l’anglais et l’espagnol, mais je me fais aider pour les traductions, il s’agit d’être précis! Concernant le latin, tout a démarré avec une phrase soufflée par un ami avec qui j’étais surveillant de lycée, latiniste devenu prêtre depuis : coito ergo sum que l’on pourrait traduire par « je baise donc je suis ». De là est née l’envie de faire une série en m’inspirant des locutions latines des pages roses du Larousse. Mon amour pour le judaïsme m’a conduit à étudier l’hébreu, je le lis un peu, surtout dans le livre de prière le samedi matin. Mais je me fais conseiller et corriger par des personnes qui maîtrisent la langue. Plus récemment pour les traductions en arabe, langue dont je ne connais ni l’alphabet ni la prononciation, je sous-traite entièrement la traduction. </p><p> </p><p>GBC : En lisant les différents textes écrits sur ton travail, j’ai été frappé par le fait qu’il y était peu fait allusion à la création plastique de tes créations. </p><p> </p><p>JC : Elle a pourtant une grande importance. Afin d’être certain d’un résultat parfait, je tends moi-même la toile sur le châssis, j’y applique une dizaine de couches d’acrylique d’un blanc froid pour donner à la fois profondeur et vibrations. Mais même ici les mots ont leur importance : j’aime choisir la couleur en fonction de son appellation : rouge diable, blanc divin, violet république … </p><p> </p><p>GBC : Pratiquement, comment réalises-tu tes œuvres ? </p><p> </p><p>JC : J’évacue le geste dans la peinture des textes. Les pochoirs sont réalisés de manière industrielle et la peinture faite à la bombe. Le plus souvent je peins sur toile même si parfois j’utilise d’autres supports plus techniques. Le support sert de base à ce que je veux signifier : par exemple, pour la série en latin j’aime l’idée d’une langue morte sur une base très contemporaine, le reynobond (deux plaques d’aluminium qui englobent une couche de résine.) </p><p> </p><p>GBC : Peux-tu expliquer comment tu utilises les couleurs ? </p><p> </p><p>JC : Pour les fonds, j’utilise principalement le blanc, un blanc bleuté, froid, afin de confronter un support austère à un texte souvent loufoque. C’est avec les lettres que parfois la couleur apparaît. Il y a également certaines séries avec des lettres noires sur fond noir, ou blanches sur fond blanc, pour lesquelles j’utilise des tons différents. </p><p> </p><p>GBC : Il serait impossible de les lire autrement ! Et même avec des tons différents, ces œuvres vues de loin semblent totalement monochromes. Il est nécessaire de faire un effort pour les déchiffrer. </p><p> </p><p>JC : Ce sont des monochromes qui parlent, avec cette idée de caché, de dépossession de soi, comme un idéal d’effacement. </p><p> </p><p>GBC : Beaucoup d’artistes utilisent les phrases aujourd’hui, sous de multiples formes. Ton travail deviendrait-il à la mode ? </p><p> </p><p>JC : Si c’était le cas, ce serait bien malgré moi ! Je m’intéresse peu à ce que font les autres artistes plasticiens, je préfère regarder du côté d’autres formes d’arts plus littéraires, cinématographique ou musicales… La mode dans l’art, je m’en moque ! </p><p> </p><p>Guy Bloch-Champfort, auteur et critique d’art, 2016 </p><p> </p><p> </p><p>Quelques information sur mon parcours artistique:</p><p> </p><p><strong>Principales expositions personnelles:</strong></p><p> </p><p><u>2016<em> </em></u></p><p><em>HOPE, HOPE, HOPE...</em> galerie Pierre-Alain Challier, Paris</p><p><em>I’M SO SORRY </em> galerie Omnibus, Besançon</p><p> </p><p><u>2014</u></p><p><em>ET SI ON S’ARRETAIT DE MOURIR</em> galerie Barnoud - Entrepôt 9, Quetigny</p><p> </p><p><u>2010</u><em> </em></p><p><em>ELLE DIT, ELLE DIT, ELLE DIT...</em> FRAC Franche-Comté, ISBA, Besançon </p><p><em>BONA MENS</em> Le Pavé Dans La Mare, Besançon</p><p> </p><p><u>2008</u></p><p><em>MAKE ME LOVE </em>Chapelle du Carmel, Chalon-sur-Saône</p><p> </p><p><u>2007</u></p><p><em>ABYSSUS ABYSSUM INVOCAT</em> galerie Barnoud, Dijon</p><p> </p><p><u>2005</u></p><p><em>MARIONNETTE </em>galerie Barnoud, Dijon</p><p> </p><p><u>2003</u></p><p><em>NENUPHARE</em> Faux Mouvement Dehors, Metz</p><p> </p><p><u>2002 </u></p><p><em>MARIVAUDAGE</em> Chapelle du Carmel, Chalon-sur-Saône</p><p> </p><p> </p><p><strong>Résidences:</strong></p><p> </p><p><u>2006 </u></p><p><em>Des clics et des classes</em> résidence musée Niépce, collège Doisneau. Chalon-sur-Saône</p><p><em>Art et espace au collège</em> résidence Le Pavé Dans La Mare, 5 collèges du Doubs</p><p> </p><p> </p><p><strong>Principales expositions collectives:</strong></p><p> </p><p><u>2015</u></p><p><em>DU LUXE</em> L’Aspirateur, Narbonne</p><p> </p><p><u>2013</u></p><p><em>Parcours Fourier</em> Le Centre D’Art Mobile, Cléron</p><p> </p><p><u>2012 </u></p><p><em>Habitus</em> galerie Barnoud - Entrepôt 9, Quetigny</p><p> </p><p><u>2011</u></p><p><em>Dans les champs de l’observation, le hasard ne favorise que les esprits préparés</em> IUFM, Besançon</p><p><em>St’art</em> (Galerie Jean Greset), Strasbourg</p><p><em>Seconds souffles, des pavés dans la mare</em> ISBA Besançon</p><p> </p><p><u>2010 </u></p><p><em>ROCK IT</em> galerie Barnoud, Dijon</p><p><em>CHIC ART FAIR</em> (galerie Barnoud), Cité de la mode et du design, Paris</p><p> </p><p><u>2009</u></p><p><em>SLICK 09</em> (galerie Barnoud), 104, Paris</p><p><em>yes i can</em> galerie Jean Greset, Besançon</p><p><em>waiting for ypudu</em> galerie Barnoud, Dijon</p><p> </p><p><u>2008 </u></p><p><em>St’art </em>(Galerie Kahn), Strasbourg</p><p><em>SLICK 08</em> (galerie Barnoud), 104, Paris</p><p><em>La dégelée Rabelais</em> FRAC Languedoc-Roussillon, Château d’O, Montpellier</p><p> </p><p><u>2007</u></p><p><em>Emotion GHP </em>Toulouse</p><p> </p><p><u>2006 </u></p><p><em>Les pas perdus de Raymond Hains</em> centre culturel de la gare de Gaël, Gaël</p><p><em>Les Rencontres D’Arles</em> Arles</p><p><em>Le Doubs célèbre Ledoux</em> Saline Royale d’Arc et Senans</p><p><em>L’axe Bartholdi / l’esprit de liberté 2 et 3</em> (Centre D’Art Mobile), Galerie d’Art Contemporain, Besançon</p><p><em>Art Paris 06</em> Grand Palais, éditions Paul Bourquin, Paris</p><p> </p><p><u>2005</u><em> </em></p><p><em>L’axe Bartholdi/l’esprit de liberté</em> Le Centre D’Art Mobile, le Cylindre, Larnod</p><p><em>Affinités</em> Le Pavé Dans La Mare, Saline Royale d’Arc et Senans</p><p><em>L’appel de la Mariée</em> galerie Interface, Dijon</p><p><em>Art Paris 05 </em> Carrousel du Louvre, éditions Paul Bourquin, Paris</p><p> </p><p><u>2004 </u></p><p>galerie du Dourven, Dourven</p><p><em>Art Paris 04 </em>Carrousel du Louvre, éditions Paul Bourquin, Paris</p><p><em>Art et Utopies 02</em> Eglises Ledoux en Haute-Saône (Centre D’Art Mobile)</p><p> </p><p><u>2003</u></p><p><em>Art Paris 03</em> Carrousel du Louvre, éditions Paul Bourquin, Paris</p><p><em>Art et Utopies</em> Eglises Ledoux en Haute-Saône (Centre D’Art Mobile)</p><p> </p><p><u>2002 </u></p><p><em>Art Paris 02</em> Carrousel du Louvre, éditions Paul Bourquin, Paris</p><p><em>Mulhouse 002</em> Les écoles d’art en France, Mulhouse</p><p> </p><p><u>2001 </u></p><p><em>Sept</em> FRAC Franche-comté, Dole</p><p> </p><p><u>1999 </u></p><p><em>Plus ou moins</em> en réponse à Interférence de tirets 0°-90° de François Morellet, ISBA Besançon</p><p> </p><p><u>1998 </u></p><p>Tables servies Musée des Beaux-Arts, Besançon</p><p> </p><p> </p><p><strong>Monographie :</strong></p><p> </p><p><em>MARIVAUDAGE </em>Préface de Gérard Collin-Thiébaut, éditions Bourquin 2003</p><p> </p><p><strong>Catalogues collectifs :</strong></p><p> </p><p><em>Interface 1995-2015</em>, galerie Interface, 2015 <em>Triptyque</em> ville d’Angers, 2010</p><p><em>L’écart absolu, Charles Fourier </em>musée des Beaux-Arts de Besançon, Les presses du réel 2010</p><p>Les <em>Anciens de… </em>ISBA Besançon 2009</p><p>Appartement galerie interface- Dijon 2002-2007 galerie Interface, 2007</p><p><em>Affinités</em> Le Pavé Dans La Mare, 2005 Art et Utopie le centre d’art mobile</p><p>2003 <em>SEPT </em>FRAC Franche-Comté, 2001</p><p> </p>