financer mon projet de Licence d'Arts Plastiques en VAE à Paris PanthéonSorbonne
<p>Bonjour, moi c'est Patrick. J'ai un projet qui me tient très à cœur, depuis longtemps, et qui est presque sur le point d'être concrétisé, mais qui à besoin de votre coup de pouce pour être finalisé.</p>
<h4><strong>Qui je suis ?</strong></h4>
<p>Et bien je suis ce que l’on appelle communément un artiste-auteur.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/534487/matete1-540-72-1533304245.jpg" width="100%" /></p>
<p>J’ai commencé mon apprentissage des arts visuels à 13 ans, puis j’ai fait des études aux Beaux-Arts de Toulouse.</p>
<p>Pour en savoir plus : <a href="https://www.lefevrebousquet.net/biographie" target="_blank">https://www.lefevrebousquet.net/biographie</a></p>
<p><strong>A</strong> la fin de mes études, je suis resté dans cette belle ville. J'ai également poursuivi mon chemin dans la création en me consacrant pleinement à une production plastique personnelle. Un temps de recherche, d’expérimentations, de propositions et les premiers rendez-vous avec un public que je ne connaissais pas encore : première exposition en 1997, d’autres suivront.</p>
<p><strong>A</strong> partir des années 2000, je fais les premières « mises en scène » de mon travail en intégrant pleinement l’espace (lieu d’exposition), comme élément constituant de la composition. Les lieux possèdent une dimension émotionnelle qui leur est propre et qui interfère sur le travail présenté. Il est donc possible de tisser un lien entre espaces et contenus exposés.<br />
Ce binôme particulier prend vite une place prépondérante dans mon univers créatif et introduit rapidement un troisième élément clé : le public spectateur.<br />
Aujourd'hui, cette réflexion tripartite est le socle de mon approche de la scénographie d’exposition, activité que je développe en parallèle de mon travail personnel.</p>
<p><strong>A</strong>u cours de ces années, je m'engage également dans plusieurs projets de diffusion culturelle, bigarrés, éclectiques, riches d'enseignements.</p>
<p><strong>E</strong>n 2013, je quitte la région toulousaine, où j’ai de plus en plus de mal à avancer de manière satisfaisante. Je reviens me poser, pour un temps provisoire, sur la terre de mon enfance, en Corrèze. C’est de là que je vous écris d’ailleurs.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/534490/atelier-540-72-1533305590.jpg" width="100%" /></p>
<h2>C’est un monde qui bouge, se réforme, se cherche.</h2>
<p><strong>U</strong>n grand chamboulement porteur d’une belle identité, celle très prometteuse de la « <strong><em>Nouvelle-Aquitaine</em></strong> ».</p>
<h2>OK, mais mon projet de licence, c’est quoi dans tout ça ?</h2>
<p>Et bien, à ma sortie des Beaux-Arts, je n’ai pas été diplômé :(</p>
<p><strong>P</strong>as très important pour faire de l’art, me direz-vous, et vous avez bien raison de penser cela !</p>
<p>La <strong>création</strong> ne peut être enfermée dans la restriction formelle d’un diplôme !</p>
<p><strong>T</strong>outefois, j’ai un goût persistant en bouche de «<em> rendez-vous manqué</em> ». Et le pragmatique qui sommeille en moi, a plusieurs fois remarqué déjà, que cette validation semblait manquer à mon pédigré pour me conférer le profil avantageux du candidat idéal sur les postes et fonctions qui me conviendraient à merveille.</p>
<p><strong>O</strong>r, un <strong>diplôme de la Sorbonne</strong> pour remédier à la chose m’apparait le plus heureux des hasards !</p>
<h2>Voilà donc toute l’affaire !</h2>
<p><em>Pour tout dire, ce n’est pas mon premier coup d’essai, j’ai à mon actif plusieurs tentatives demeurées infructueuses. Pas facile, dans le tumulte de notre quotidien, de mettre en œuvre ce genre de démarches.<br />
Avoir les disponibilités, ne pas rater les dates d’inscriptions, remplir tous les prérequis, supporter financièrement l'épreuve, sont autant d’éléments cruciaux pour la réussite de tels projets.</em></p>
<h3><strong>Nous sommes début 2017.</strong></h3>
<p><strong>C</strong>e coup-ci, j’envisage de reprendre une année d’étude par correspondance pour passer une licence en Arts Plastiques. Je compte sur mes années de Beaux-Arts pour m'éviter de refaire l'intégralité du cursus.</p>
<p><strong>L</strong>e CNED me redirige vers les services de la faculté de Paris 1 dont il dépend pour cette discipline, concernant les admissions.<strong> </strong>Renseignements pris, il me faut refaire trois ans d'études pour accéder à la licence.</p>
<p><strong>T</strong>outefois, j’ai la possibilité de me rapprocher du service des procédures de validation des acquis de l’expérience qui lui est en mesure de me positionner différemment sur le diplôme, après étude de mon profil. Je les contacte, explique mon cas, entreprends deux mois plus tard les démarches de préinscription, monte un premier dossier, le soumets… En septembre 2017, mon dossier est validé administrativement. Il est validé pédagogiquement en octobre avec un avis favorable pour présenter directement la licence.</p>
<p style="text-align:center"><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/534493/iconik2-mda-1533309897.jpg" width="100%" /><br />
Iconik-l'installation : pour cette exposition de 2008, le lieu a inspiré toute l'installation.</p>
<h2> </h2>
<h2><strong>Déjà un long parcours et pourtant si fragile !</strong></h2>
<p><em>La procédure d’accompagnement démarre fin 2017 et j'entreprends la rédaction du mémoire qui sera présenter au jury pour passer le diplôme. Toutefois un nuage plane sur ma tête, et au cours des mois qui passent, il est devenu de plus en plus menaçant...</em></p>
<p>Courant 2017, il était question que je suive une formation dans un autre domaine d'activité, rémunérée. Confiant et crédule, je comptais financer ma VAE, si elle se faisait, avec ce petit pécule. Mauvaise pioche car un terrible embouteillage sur la liste d'attente de ladite formation m'en a bloqué l'accès ainsi que la suivante.</p>
<p>Mon référant Pôle-Emploi me propose alors de prendre en charge le coût de la VAE par un financement régional. Je rencontre alors la référente régionale du territoire, qui valide sans hésitation le projet, reste plus qu'à Pôle Emploi de monter le dossier de financement.</p>
<h2>Et là le ciel a commencé à me tomber sur la tête !</h2>
<p>Les rouages administratifs se sont enrayés, grippés, bloqués.</p>
<p>Des difficultés insoupçonnables se sont révélées au grand jour. Différences de fonctionnement, de codifications, de référencements, de procédures... rien ne va plus, le torchon brule entre la capitale et l’ancienne province limousine. Le pôle emploi Corrèze ne sait travailler qu'avec l’académie de Limoges et Paris 1 Panthéon-Sorbonne à l'habitude de travailler avec le pôle emploi d’Ile de France. La communication est difficile, presque impossible entre les différents organismes.</p>
<p>«<em> Ici, c’est la Corrèze</em> », et quand on est en Corrèze, on ne fricote pas avec les jupons de la Sorbonne. Même si n'y a pas d'autres établissements qui proposent la certification visée.</p>
<h3><strong>De ce fait, je n’ai pu me présenter à la session de juin dernier.</strong></h3>
<p>Et Pôle-Emploi a fini par invalider la demande de financement qu'ils m'avaient eux-mêmes proposée.</p>
<h2>Un rayon de soleil pour décembre.</h2>
<p>J’ai besoin de<strong> vous</strong>, de votre générosité, de <strong>votre enthousiasme bienveillant</strong>.</p>
<p>J’aimerais présenter ma licence à la session de décembre prochain. Je ne veux pas que tout le travail déjà effectué reste vain ; je ne veux pas rester échoué dans cette situation grotesque, dont je suis en rien responsable, mais qui renvoie à une réalité plus politique et étatique de notre société et de notre temps.</p>
<p>Je veux, demain, pouvoir ouvrir la porte de mon avenir et l'appréhender pleinement. Me consacrer sans heurts, en toute disponibilité, au projet qui me tient à cœur : celui d'une structure de diffusion des arts visuels, innovante, qui change les codes et les principes conventionnels et qui fonctionne pour et par le public. Tous les publics, dont vous faite partie, parce que vous aimez l’art ou parce que vous êtes persuadé que cela n’est pas fait pour vous.</p>
<p>J’ai besoin de 1400 €</p>
<p>afin de finaliser mon inscription à Paris 1 Panthéon-Sorbonne.</p>
<ul>
<li>Si vous me les donnez, je vous en serais extrêmement reconnaissant. <strong>Et ce diplôme ne sera pas comme les autres, car il sera autant le vôtre que le mien.</strong></li>
<li>Si votre générosité va plus loin et <strong>dépasse</strong> les 1400 €, je pourrai couvrir les frais de fonctionnement de ce projet de financement (frais de fonctionnement, frais d'envoie...) ainsi que les frais de déplacements et d'hébergements sur Paris liés au projet.</li>
<li>Si vous êtes encore plus généreux, cette cagnotte servira à l'avancement mon projet de structure innovante, car là aussi, il va falloir des fonds.</li>
</ul>
<p>A la rentrée, en septembre prochain, je dois faire un point avec mon accompagnatrice VAE.</p>
<p>Je serais très fier de pouvoir lui dire que l'aventure continue. Et que ma situation va pouvoir être régularisée grâce à un financement participatif, grâce à la générosité de plein de gens qui ont eu l'envie de croire en ce projet.</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/534503/bubbles-d_tail-540-72-1533317114.jpg" width="100%" /></p>
<p>Je vous remercie toutes et tous pour votre attention, pour avoir lu mon histoire en entier, et pour la suite que vous lui accorderez.</p>
<p>Un grand merci.</p>