Il était une fois un gland

Dans ce court-métrage purement bruxellois, nous vous plongeons dans le monde d'un gland, un glandu. Son quotidien mou et ryhtmé par son inertie, se voit être chamboulé par une joueuse FIFA particulièrement affutée. Tout s'effondre alors pour notre pauvre gland et le monde entier commence à lui en vouloir. Les prises de vue mélangent scènes filmées au ralenti et scènes filmées en photos (comme le clip "Bloqué" des casseurs flotteurs). Par ailleurs, le gros sous-texte de cette oeuvre est l'absence de charge mentale chez les mecs blancs cis. Pour ma part, je m'appelle Elie Maizel, et je suis le réalisateur de ce court-métrage. Grand passionné de cinéma depuis mes 12 ans, je veux faire des films depuis tout aussi longtemps. Ma référence ultime est Quentin Tarrantino, c'est avec lui que je suis tombé amoureux du 7ème art, à la vision de "Pulp fiction" quand j'avais justement 12 ans. Mais au fil des ans, à mesure que ma cinéphilie s'élargissait à des réalisteurs bien différents de "QT", ce sont ses références à lui qui devinrent aussi les miennes ; Sergio Leone, Martin Scorsese, Jean-Pierre Melville, Sam Peckinpah. De là, mon style s'est retrouvé influencé par ces metteurs en scène, dont le côté "réalisme du cool" et humour cynique dicteront le ton de mon court-métrage.