Kaléidoscope
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<strong>« Kaleidoscope »</strong> suit l’enquête policière d’une jeune fille nommée Farah qui a été retrouvée morte dans le canal Saint-Martin à Paris. Cette dernière était employée en tant que stagiaire au sein d’une maison de couture et cherchait à se faire un nom dans ce milieu où coup bas et trahisons sont de mise.</p>
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Le premier épisode retrace les semaines qui précèdent sa mort jusqu’au soir du gala de fin de collection, le lieu du crime. Il est raconté du point de vue de Farah et est entrecoupé des interrogatoires des suspects. Dans le quotidien de la victime, on découvrira les relations tendues qu’elle entretenait avec sa famille, amis et collègues. </p>
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La série adoptera pour chaque épisode un point de vue différent, un pour chaque suspect qui mettront en lumière d'autres éléments de l'histoire. Les épisodes permettront aux spectateurs d’en savoir plus sur les liaisons et mobiles de tous les suspects jusqu’au crime. </p>
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<strong>Note d'intention</strong></p>
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On pourrait qualifier cette série de <strong>drame psychologique</strong>, comme une sorte de grand cluedo ludique dans lequel chaque personnage peut être suspect. L'originalité de la série réside dans sa construction et la multiplication des points de vue.</p>
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Chaque épisode, un peu à la manière de Skins, se concentrera autour d'un personnage, faisant petit à petit découvrir au public des éléments de l'enquête. Au lieu de produire un policier, où toute l'action est concentrée autour d'un commissariat, nous avons choisit de situer l'action dans le milieu bourgeois de la mode, car c'est un monde méconnu et féroce que nous souhaitons présenté aux spectateurs.</p>
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Il s'agira ici de montrer également les relations frictionnelles d'un milieu riche où l'apparence a un rôle crucial et où chaque homme est soumis à un jugement, où chacun des personnages est tenu captif par son image comme à travers <em>un kaléïdoscope social</em>. A l'intérieur de ce microcosme se jouent constamment des jeux de pouvoir.</p>
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<strong>Intention de Réalisation</strong></p>
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Le ton de la série sera cru et les dialogues sous tension constante. Le spectateur sera dans une atmosphère tendue et étouffante comme chacun des personnages de la série.</p>
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L'esthétique devra être à son image : épurée et crue. Il y aura un contraste entre la lumière des bureaux très blanche et la lumière sombre des interrogatoires. La signature visuelle sera aussi forte que l'identité sonore : il faut que le son retranscrive l'atmosphère claustrophobe de la série.</p>
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En effet, nous nous sommes inspirés de plusieurs séries qui utilisent le même procédé comme <strong><em>Hannibal</em> </strong>pour les scènes d'interrogatoire, où l'ambiance y est lourde et inquiétante.</p>
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Pour l'ambiance des bureaux, nous souhaitons nous rapprocher de l'image surexposée du film <strong><em>Antiviral </em></strong>:</p>
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Nos sources d'inspirations ont été nombreuses et diverses. Nous nous sommes inspiré de la série <strong><em>Broadchurch</em> </strong>dans le style de l'enquête et de l'atmosphère de la série <strong><em>Les revenants</em></strong>. Pour la multiplication des points de vue, des séries comme <em><strong>The Affair</strong>, <strong>Skins</strong></em><strong> </strong>ou <strong><em>Glue</em> </strong>nous ont également influencé.</p>
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Pour que ce projet soit réalisé, nous avons besoin de votre aide !</p>
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<strong>Solal Page, réalisateur</strong></p>
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Originaire de Strasbourg, je monte sur Paris pour finir le Lycée. Parachuté dans la vie Parisienne je me fais vite des amis avec qui je partage les mêmes centres d’intérêts : ciné, musique, sports, jeux vidéos... Le bac arrivait à grands pas et je ne savais pas du tout quoi faire, du coup je me suis demandé qu’est-ce que j’aime faire à longueur de journée ? Le choix était vite fait : regarder des films et écouter de la musique. Puis pour départager entre les deux je me suis poser la question suivante : Lequel de ces deux arts à été le premier à me procurer des émotions ? Et là tous mes souvenirs se sont associés avec le cinéma. De ce fait j’ai passé les concours pour l’Esra et là je coréalise le dernier projet au sein de l’école.</p>
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<strong>Chloé Ortolé, réalisatrice </strong></p>
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Après une license de Lettres et de Théâtre, ce qui m'a d'abord plu dans le cinéma est la question de comment raconter une histoire avec un autre matériau, celui de l'image. La série est une forme très intéressante de narration, elle permet de construire de vrais personnages sur une longue durée. Elle est le parfait compromis entre littérature et cinéma. Des séries cinématographiques comme Fargo, The Affair ou Rectify constituent mes influences premières. La collaboration avec un autre réalisateur me permet de mettre en commun nos compétences: Solal possède une approche plus technique, tandis que je me penche plus particulièrement sur l'écriture et la direction d'acteurs. Nous souhaitons, à travers ce pilote, rafraîchir la série française en réalisant un pilote novateur, rythmé et complexe qui adopte de réels partis pris de réalisation. </p>
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Le reste de l'équipe : </p>
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Paul Montbarbon : 1er Assistant Réalisateur</p>
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Rue Clément : 2ème Ass MES / Déco / Casting</p>
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Martin Revol : Directeur de Production</p>
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Simon Llech-Lallouet : Assistant de Production</p>
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Florent Zadri : Régisseur Général</p>
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Romain Bassat : Régisseur </p>
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Aymeric Tchoungui : Chef Opérateur</p>
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Jordan Borg : Cadreur 1</p>
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Venceslas Gouyer : Cadreur 2</p>
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Benjamin Ferrier : Assistant Opérateur 1</p>
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Claire Guichon : Assistant Opérateur 2</p>
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Jules Rozan : Electro / Machino</p>
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Anaëlle Alizay : Electro Majorel</p>
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Jason : Chef Décorateur</p>
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Dan Sasportas : Monteur 1 </p>
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Nos chères amis du son : </p>
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Antoine Chantereau </p>
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Théo Josephovitch </p>
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Vladimir Leser</p>
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Benjamin Louvet</p>
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Pierre Madec</p>
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La collecte servirait à financer : </p>
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<strong> - <u>Une partie de la location des lieux de tournage, et la décoration</u>, 400€</strong></p>
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<strong> </strong><em>Nous avons plusieurs lieux de tournage (salle d'interrogatoire type commissariat, une salle de gala, un bar..). La décoration sera très importante et coûteuse, la contribution nous permettrait des décors respectant la vision des réalisateurs, leur laissant le choix total de leur esthétique, de leur atmosphère.</em></p>
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<strong> - <u>Le steadycamer et son matériel,</u> 300€</strong></p>
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<strong> - <u>L'accueil des figurants</u> (jusqu'à 30 pour la scène du gala), 300€</strong></p>
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<em> Nous tournons sur une durée de 6 jours, et beaucoup de figurants seront présent sur le tournage. Nous assurons bien évidemment nous-même notre régie, mais la contribution nous permettrait de ne pas diminuer le nombre de figurants et donc respecter la logique narrative de l'épisode.</em></p>
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Si la somme venait à dépasser le montant initial, nous pourrions faire un générique de qualité, car une bonne série se doit d'avoir un bon générique !</p>