L'Avalanche

<p>                                                      </p> <p> LE PROJET:</p> <p>  </p> <p> <strong>Un moyen métrage de fiction classique ou la narration ne suit pas un schéma classique, ceci le rapprocherait de la video d’art par la liberté du montage et certaines propositions plastiques: </strong></p> <p> <strong>Le but est de faire ressentir les tensions amoureuses et sexuelles ainsi que l’agressivité des</strong></p> <p> <strong>personnages… sans qu’il n’y ait jamais de réel contact physique entre eux.</strong></p> <p> <strong>C'est aussi une réflexion sur le rapport ambigu, étrange et dangereux vécu par deux personnes qui créent ensemble. Une interrogation sur la création comme prétexte pour vivre des aventures « bizarre et merveilleuse».</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>L'histoire se déroule dans la réalité, pourtant «l’inquiétante étrangeté » de Freud serait une manière de résumer le climat du film. </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L'AVALANCHE est une production du Fresnoy, Studio National des Arts Contemporain,</strong></p> <p> <strong>écrite et réalisé par l'artiste Régina Demina.</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong><u>SYNOPSIS</u></strong></p> <p>  </p> <p> Lou, une jeune chanteuse citadine désargentée, vit un « amour imaginaire » avec Avril la femme qui l’héberge : « Ce qui me nourrie me détruit ». Ce rapport l’inspire et la gangrène tandis que sa logeuse entretient cette tendresse par inclination et narcissisme. La fascination rentre trop en jeu entre elles et rend petit à petit la communication impossible. Lou s’arrache de l’appartement à grand-peine.</p> <p> Un peu perdue, un peu vénale, elle part poser pour Léo, un plasticien ténébreux et reconnu, dans sa propriété isolée des Alpes. Un lien étrange, tout en pudeur, entre cristallisation et fétichisme, se noue entre eux, illustrant le rapport complexe qui lie l’artiste et sa muse. </p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_0656-1418597241" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/146538/IMG_0656-1418597241.JPG"></p> <p> <strong><u> </u></strong><img alt="Img_0660-1418597639" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/146540/IMG_0660-1418597639.JPG"></p> <p> <img alt="10849917_927756943902862_4054975097736400987_n-1418601878" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/146568/10849917_927756943902862_4054975097736400987_n-1418601878.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>NOTE D'INTTENTION</strong></u></p> <p>  </p> <p> <u>La représentation. </u></p> <p> J’ai à l’esprit quelque chose d’à la fois narratif et radical, très plastique </p> <p> Les flous, les mises au point et les plans-séquence seront utilisés comme valorisation de la sensation afin mettre en lumière la dimension onirique, imaginaire, qui transparaît notamment sur les visages et dans le paysage</p> <p>  </p> <p> <u>Un huis-clos en appartement et décor naturel:</u></p> <p> Je souhaiterais que l’étouffement véhiculé par le huis-clos dans l’appartement perdure à la montagne et filmer ce décor minéral et ombrageux comme un « protagoniste ambiant »:On y est a la fois dehors et dedans, ravis et oppressés, dans cette prison la plus inquiétante qui soit parce que naturelle, ou l’on est libre et prisonnier.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Avalanche_on_everest-1418597544" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/146539/Avalanche_on_Everest-1418597544.JPG"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img></p> <p> <u>Le son.</u></p> <p>  </p> <p> Il sera très présent et organique et plongerait presque de manière subliminale dans une atmosphère ouatée et inquiétante. </p> <p> En contrepoint il y 4 séquences avec chansons : Animal de Mansfield Tya, deux reprises de Chrisler Rose  de  Dashiell Hedayat par Perez  ,et une autre,de Jean-Philippe Verdin , qui composera deux chansons inédites. Ces chansons sont intégrées à la narration du film et dans le jeu des personnages, à la manière des comédies musicales traditionnelles, sauf qu’il s’agit de musique électronique Lo-Fi, ou de parlé-chanté a capella!</p> <p>  </p> <p> <img alt="Img_0659-1418597774" src="https://djxmmoom3injc.cloudfront.net/uploads/project_image/image/146541/IMG_0659-1418597774.JPG"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u><strong>CASTING:</strong></u></p> <p>  </p> <p> LEO : Aymeric Bergada du Cadet (de la troupe House of Drama:<a href="http://" target="_blank">http://houseofdrama.tumblr.com</a>)</p> <p> AVRIL : Anna Katarina Schneidegger </p> <p> LOU : Régina Demina</p> <p> Guest: Marlon Magnée dans le second rôle masculin (chanteur du groupe La Femme,victoire de la musique 2014)</p> <p>  </p> <p> <u><strong>EQUIPE TECHNIQUE:</strong></u></p> <p>  </p> <p> Réalisatrice: Régina Demina</p> <p> Assistant réalisateur : Benjamin Blanc</p> <p> Chef Opérateur : Yvan Schrek</p> <p> Ingénieur son: Robert Kopec'</p> <p> Monteur: Bruno Herlin</p> <p> Compositeur : Jean Philippe Verdin (<a href="http://" target="_blank">http://jeanphilippeverdin.virb.com/productions--collaborations</a>)</p> <p>  </p> <p> <u><strong>APERCU DE MES FILMS PRECEDENTS (2011-2014)</strong></u></p> <p>  </p> <p> <a href="https://www.youtube.com/watch?v=c9zUDAgbb9I&amp;feature=youtu.be" target="_blank">https://www.youtube.com/watch?v=c9zUDAgbb9I&amp;feature=youtu.be</a></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>