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<u><strong>HET PROJECT</strong></u></p>
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De bedoeling van een documentaire is,in zekere zin, het tonen van een realiteit. Ons filmproject viseert om de verandering in beeld te brengen. Het is onbetwistbaar dat het omvangrijke project, opgesteld door de politiek verantwoordelijken, om een grote voetgangerszone aan te leggen die het De Brouckèreplein verbindt met het Fontainasplein, het aanzicht van het centrum van Brussel, zoals we het vandaag kennen, zal veranderen.</p>
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We willen proberen te antwoorden op de vele vragen die de burgers zich zouden kunnen stellen : waarom deze beslissing ? Hoe zal dit allemaal verlopen? Wat zullen de gevolgen zijn? Maar het is voornamelijk de bedoeling om een constellatie van portretten uit te werken van de personen die direct betrokken zijn bij het project en van personen die door het project geimpacteerd werden, zowel in positieve als in negatieve zin. Beleidsmakers, projectverantwoordelijken, arbeidersploegen, weggebruikers, bewoners ; allen hebben een parcours dat wij wensen te volgen en tonen aan het grote publiek.</p>
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Tenslotte zal deze film eveneens dienen als een visuele ode aan Brussel, nog te dikwijls genegeerd in de cinema, met zicht op een internationaal parcours voor de film dankzij het circuit van filmfestivals zodat onze hoofdstad en haar bewoners naar waarde kunnen geschat worden.</p>
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Duur van de film : tussen 1u30 et 2u00.</p>
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<a href="https://www.facebook.com/La-Chrysalide-Projet-de-documentaire-sur-le-pi%C3%A9tonnier-de-Bruxelles-173981389622772/" target="_blank">Facebookpagina van het project</a></p>
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Contact :
[email protected]</p>
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<u><strong>INSPIRATIE</strong></u></p>
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<em>Berlin, symphonie d'une grande ville</em> (Walter Ruttmann, 1927)</p>
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<em>Berlin Babylon</em> (Hubertus Siegert, 2001)</p>
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<em>Boyhood</em> (Richard Linklater, 2014)</p>
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<em>De brug</em> (Joris Ivens, 1928)</p>
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<em>Heat</em> (Michael Mann, 1995)</p>
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<em>Lost in Translation</em> (Sofia Coppola, 2003)</p>
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<em>Manhattan</em> (Woody Allen, 1979)</p>
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<em>The New World</em> (Jaan Tootsen, 2011)</p>
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<u><strong>NOTE D'INTENTION DU RÉALISATEUR</strong></u></p>
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Demandez la couleur de Bruxelles à quelqu’un dans la rue, il vous répondra gris. Gris parce qu’il pleut, gris à cause des immeubles, de la pierre ou, si la personne est particulièrement mesquine, gris d’ambiance.</p>
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Pour moi, Bruxelles n’a jamais été grise. Je suis né ici. J’y ai vécu toute ma vie. Pas un seul quartier ne recèle quelque beauté à un coin de rue, pas un seul lieu n’est dépourvu de choses étonnantes. Certes ce n’est pas la plus belle ville du monde : Bruxelles est ternie par la saleté, les travaux permanents et le peu d’égards de certains citoyens. Mais elle conserve le charme des petites amies imparfaites qu’on en vient à aimer pour leurs défauts.</p>
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J’ai toujours rêvé de créer quelque chose pour ou dans Bruxelles. Quand je pense écrire un poème ou même un roman, je veux le situer ici. Ma passion principale étant le cinéma, je continue de chercher dans tel ou tel film des petits bouts de ma ville quand j’apprends que le tournage a eu lieu chez nous. Et quand je reconnais des bribes, des bâtiments ou le métro, une double réflexion me vient systématiquement : d’abord, si on filme à Bruxelles, personne ne filme Bruxelles ; ensuite, je ne reconnais pas le feeling de ma ville à l’écran. Tout est gris, lourd, pesant. Bruxelles est beaucoup plus vivante et colorée, beaucoup plus chaotique, pleine de contradictions.</p>
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Quand s’est présentée l’opportunité de réaliser un documentaire sur le piétonnier, j’ai saisi l’occasion immédiatement. Mon but premier dans ce projet est de créer une ode à la capitale de notre pays. Mais mon approche ne s’arrête pas au visuel pur. En effet, la raison principale du manque de cachet strictement <i>made in Brussel</i> qui fait défaut au cinéma, c’est l’absence des Bruxellois eux-mêmes. Cosmopolite, diversifiée, étrange, amusante, naïve, névrosée de manière bien belge, la population de notre ville n’existe pas aux yeux du grand public. Pourtant, il existe une identité bruxelloise, sociale, économique, culturelle. Je veux la montrer, je veux montrer comment les gens vivent ici. Dépeindre comment l’esprit bruxellois continue d’exister malgré tous les changements politiques et démographiques. Quel meilleur symbole que ce changement radical dans la mobilité ?</p>
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Cela me permet d’embrayer sur le second volet de mon approche de ce projet : la transformation urbanistique. Il existe beaucoup de documentaires ou même de reportages qui explorent de manière rétrospective de grands travaux, en détaillent les plans et l’exécution. Ce que je veux faire c’est filmer à chaud cette progression au cœur du changement. Voir la transformation en temps réel, le vécu de l’intérieur des travaux aussi bien pour ceux qui les préparent, les pensent, qu’à travers les yeux des ouvriers, des habitants, des usagers. Une métamorphose pratique et humaine. Pour ce faire je veux que notre équipe réalise un film en dehors des sentiers battus pour donner vie à notre documentaire et aux informations qu’il traitera comme s’il s’agissait d’un film de fiction, avec des enjeux, des personnages forts, de l’émotion, du viscéral, sans jamais trahir la vérité des événements.</p>
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Le but est d’offrir un produit si pas innovant au moins intéressant d’un point de vue esthétique, avec un travail sur l’image et sur le son pour offrir une véritable expérience cinématographique au public. Ne jamais oublier l’artistique au détriment du pratique ou de l’économique. Enfin, j’espère pouvoir utiliser le film comme une vitrine pour Bruxelles à travers le monde via un parcours dans un maximum de festivals, partager à plus de monde mon enthousiasme pour notre ville, pour le cinéma belge. Un film est toujours fait pour être vu et procurer du plaisir aux gens. Des idées, de la liberté, des sensations, c’est tout ce que je souhaite et je compte le procurer au public par tous les moyens nécessaires.</p>
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<u><strong>L'ÉQUIPE</strong></u></p>
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<em>LE RÉALISATEUR</em></p>
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<strong>Thomas Van Deursen</strong> tombe amoureux du cinéma avant même d’en comprendre les mécanismes esthétiques. Il s’en passionne dès l’enfance avec obsession et une curiosité dévorante. Pendant son parcours scolaire il essaie tant bien que mal de jongler entre son amour du cinéma et ses performances académiques. Après une brève tentative en médecine et un voyage en Californie, il entame des études d’information et de communication à l'ULB en 2010 avec une mineure en histoire de l’art. Après l’obtention de son bachelier, sa grande cinéphilie le pousse, contre toute précaution quant à son avenir professionnel, à poursuivre son parcours en s’inscrivant au Master en Arts du spectacle dans la finalité analyse filmique et écriture scénaristique, toujours à l’ULB. C’est là qu’il commence à ruminer plusieurs projets et en 2015, une fois diplômé et sur la route d’un doctorat en cinéma, il se lance, avec plusieurs de ses collègues universitaires, dans la mise en place d’une réalisation audacieuse sur les travaux du piétonnier bruxellois parmi d’autres chantiers d’écriture.</p>
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<em>LA SCÉNARISTE</em></p>
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Après un Bachelier en Communication, <strong>Julie Dreucci</strong>, passionnée de cinéma depuis l’adolescence, nourrit son éclectisme cinématographique avec un Master en Écriture et analyse cinématographiques à l’Université Libre de Bruxelles (ULB). Bercée par les musiques de film, rêveuse et créative, Julie endosse le rôle de scénariste pour le projet de la Chrysalide, une aventure de cinéphiles qu’elle a hâte de débuter.</p>
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<em>LE GESTIONNAIRE DU PROJET</em></p>
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Après avoir terminé sa formation de Bachelier en Langues et littératures françaises et romanes, <strong>Laurent Louis-De Wandeleer</strong> poursuit ses études au sein du Master en Arts du spectacle de l'Université Libre de Bruxelles, dans la finalité Écriture et analyse cinématographiques. C'est là qu'il fait la connaissance de l'équipe du projet <em>La Chrysalide</em>. Afin de peaufiner sa formation académique, Laurent suit actuellement les cours du Master en année unique de Gestion culturelle, toujours à l'ULB.</p>
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Élu délégué de filière deux années de suite par ses collègues étudiants, Laurent a toujours eu à coeur de représenter ces derniers de la manière la plus efficace et transparente qui soit. Fortement intéressé par le milieu de la production audiovisuelle, il a tout naturellement endossé le rôle de gestionnaire du projet <em>La Chrysalide</em>.</p>
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<em>CHARGÉS DE COMMUNICATION / DIFFUSION</em></p>
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Cinéphile insatiable depuis l'adolescence, <strong>Katia Peignois</strong>, 25 ans, a commencé son parcours universitaire à l'Université Catholique de Louvain-la-Neuve (UCL) avec un Master en langues et littératures françaises et romanes avant de vivre pleinement son amour pour le septième art. En octobre 2015, elle a obtenu un diplôme de Master en Écriture et analyse cinématographiques à l'Université Libre de Bruxelles (ULB). Biberonnée au cinéma de Woody Allen, David Lynch, Terrence Malick, Brian De Palma, Paul Verhoeven, Martin Scorsese, Sidney Lumet ou David Cronenberg, Katia aspire depuis des années à découvrir toutes les cinéphilies et à expérimenter le plus d'aspects possibles du médium cinématographique.</p>
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Si le 7ème Art est un univers sans fin, <strong>Ayrton Touwaide</strong> a tenté de découvrir ses moindres recoins. Il entame son Bachelier en Information et Communication à l’ULB avant de poursuivre avec un Master en Écriture et Analyse cinématographiques. Cette passion ne le quitte jamais, qu’il s’agisse d’analyse pointue ou de discussion à bâtons rompus à la sortie des salles obscures. Suivant assidument les projets cinématographiques et toujours à l’écoute de l’actualité, il se penche aussi régulièrement sur des productions plus anciennes, toujours avec la même exigence et la même soif de découverte.</p>