Le Paradoxe amoureux d'après Pascal Bruckner sur scène à Avignon et Paris

<p> <strong>"Le Paradoxe Amoureux" de Pascal Bruckner</strong></p> <p> <strong>met à nu nos sentiment amoureux et … le couple.</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Il brise avec humour les à priori et les théories bien pensantes.</strong></p> <p> <strong>Un moment de pure jubilation et de réflexion ! </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Vous accompagnerez dans le secret du cabinet du psychanalyste les séances de tous les personnages.</p> <p>  </p> <p> <strong>Forcément c’est beaucoup de vous que vous découvrirez ou retrouverez !</strong></p> <p>  </p> <p> Vous aussi, venez vivre intensément <strong>"Le Paradoxe Amoureux"</strong> et décortiquer la relation amoureuse !</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Comme dans l’adaptation de <strong>"L’Euphorie Perpétuelle"</strong> de Pascal Bruckner, jouée près de 600 représentations, on retrouvera ici le miroir incisif, la plume corrosive et l’humour décapant de l’auteur ! </p> <p>  </p> <p> Quelques extraits de presse autour de <strong>"L’Euphorie Perpétuelle"</strong> :</p> <p>  </p> <p> « <em>Une petite pierre précieuse, fine, légère et drôle qui donne de l’intelligence au rire</em> » <strong><i>France Inter</i></strong></p> <p>  </p> <p> <i>« …Un texte époustouflant qui, en une heure quinze, nous mène à travers les chemins du rire vers ceux de la sagesse. Extraordinaire performance de Pascal Thoreau. » </i><strong><i> </i><i>Arte Info</i></strong></p> <p>  </p> <p> <i>« …Pascal Bruckner corrige avec humour les certitudes hâtives. Spectacle indéniablement goûteux… »</i><i> </i><strong><i>Télérama</i></strong></p> <p>  </p> <p> <i>« …Une soirée inattendue, drôle et pleine de malice, légère et grave à la fois. </i><i>Un pur moment</i></p> <p> <i>de bonheur. » </i><strong><i>Le Parisien</i></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>La compagnie sera présente au festival d’Avignon 2017 à 12h25 au théâtre du Petit Chien, puis à Paris dès la rentrée.</strong></p> <p> <strong>Pour que ce projet que nous portons depuis un long moment puisse vivre et éclater, nous avons besoin de vous et de votre soutien maximum !</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>La Compagnie</strong></p> <p> Créée en 1994 à Paris, à l’initiative de Philippe Person, la Compagnie Philippe Person a présenté à ce jour 19 spectacles : créations, adaptations et textes classiques. Présentées à Paris ou au Festival d’Avignon, les pièces ont rayonné dans la France entière, en Europe et dans les DOM.</p> <p> Au fur et à mesure des spectacles, la Compagnie a fidélisé en son sein : comédiens, éclairagiste, scénographe, auteurs et adaptateur.</p> <p>  </p> <p> L’étroite collaboration entre Philippe Honoré, auteur – adaptateur et Philippe Person, metteur en scène s’est intensifiée et a donné récemment naissance à plusieurs spectacles qui rencontrent encore aujourd’hui un peu partout un vif succès : </p> <p> <i>Délivrez Proust</i>, d’après l’œuvre de Marcel de Proust, <em>L’Euphorie Perpétuelle</em>d’après l’essai de Pascal Bruckner, <i>Beaucoup de bruit pour rien</i> de Shakespeare, <i>Misérables</i> d’après Victor Hugo, <i>L’Importance d’être Wilde</i>d’après l’œuvre et la vie d’Oscar Wilde, <i>Les Enfants du Paradis</i> d’après Jacques Prévert et récemment <i>Le Journal d’une femme de chambre </i>d’après Octave Mirbeau, <i>Maison de poupée </i>d’Ibsen. </p> <p>  </p> <p> En Avignon, c’est au Théâtre du Balcon, au Petit Chien et au Chien qui fume que la Compagnie a pris l’habitude de présenter ses créations. A Paris, c’est au Lucernaire, théâtre qu’a dirigé Philippe Person pendant six années, que la Compagnie présente ses spectacles.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pascal Bruckner, auteur</strong></p> <p> Romancier et philosophe. Professeur invité aux Etats Unis. Enseignant à Sciences Po Paris.</p> <p> A, entre autres, publié <em>Lunes de Fie</em>l (1981) adapté au cinéma par Roman Polanski (1992), <em>Les voleurs de beauté</em> (Prix Renaudot 1997), <em>Le Sanglot de l’homme blanc</em> (1983), <em>La Tentation de l’innocence</em> (Prix Médicis I995), <em>Un bon fils 2014 </em>(Prix Marcel Pagnol). Il est traduit dans plus de trente langues.</p> <p>  <img alt="Fullsizerender-1489494170" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/402687/FullSizeRender-1489494170.jpeg"></p> <p>  </p> <p> <strong><i>« … l’amour est fait d’Or et de boue, enchantement ambigu … ! »</i></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Pascal Thoreau, comédien</strong></p> <p> Il a joué de nombreux spectacles avec la compagnie Philippe Person : Shakespeare, Proust, Wilde, Maupassant … mais aussi Jules Renard, … à l’Opéra : une adaptation du <em>livret du roi Arthur</em> de Purcell, de nombreux spectacles musicaux à Genève, et pendant plusieurs saisons l’adaptation de</p> <p> <em>L’Euphorie Perpétuelle</em> de Pascal Bruckner.  Il a enregistré de très nombreuses dramatiques sur France Culture et une émission quotidienne sur France Inter.</p> <p> <img alt="Img_0017-1489494253" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/402688/IMG_0017-1489494253.jpeg"></p> <p>  </p> <p> <strong>« <i>… j’étais un collectionneur de commencement mais depuis j’ai rencontré … »</i></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Philippe Honoré, adaptateur</strong></p> <p> Metteur en scène, directeur de théâtre, comédien, il se consacre désormais à l’adaptation et à l’écriture de romans. Il a adapté une vingtaine de projets pour le théâtre de Proust à Fassbinder en passant par</p> <p> Pascal Bruckner et Marguerite Duras. Depuis, de <i>l’Euphorie Perpétuelle </i>au<i>Journal d’une femme de chambre,</i> il a adapté touts les spectacles de la Compagnie. A ce jour, il a publié deux romans : <i>La mère prodigue </i>et<i>L’obligation du sentiment</i></p> <p> <img alt="Image001-1489494304" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/402689/image001-1489494304.jpeg"></p> <p>  </p> <p> <strong><i>« … pour moi le conte de fée était tout proche du compte bancaire ... »</i></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Philippe Person, metteur en scène et comédien</strong></p> <p> Metteur en scène, comédien, directeur de théâtre, il a mis en scène tous les spectacles de la Compagnie, aussi bien ses propres créations que Racine, Hugo, Musset et Shakespeare. Ses dernières mises en scène : <i>Les Enfants du Paradis, Le Journal d’une femme de chambre</i>, sont en tournée, après leur série à Paris et à Avignon. Il a dirigé pendant six ans le Théâtre du Lucernaire à Paris. Il a, en 2016, créé l’École professionnelle d’art dramatique dans ce même théâtre.</p> <p> <img alt="Le_lucernaire_-_-__anastasia_bosio_-_168_2-1489494335" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/402690/Le_Lucernaire_-_-__Anastasia_Bosio_-_168_2-1489494335.jpeg">   </p> <p>  </p> <p> <strong><i>« … la sexualité, un animal fabuleux à libérer … »</i></strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Christophe Martin Scénographe</strong></p> <p> Diplômé de l’École d’Architecture de Toulouse, Christophe Martin s’intéresse très tôt à l’architecture éphémère ainsi qu’à la scénographie dont il fait sa spécialité. En 1996, il rencontre Robert Wilson.</p> <p> Dès lors, une étroite collaboration s’établit au fil de nombreuses réalisations telles qu’installations et expositions, décors d’opéra et de théâtre : le <em>Ring</em> de Wagner, le spectacle <em>An evening at the Koi</em> pour l’exposition universelle de Nagoya au Japon, <em>Les Trois Sœurs</em> de Tchekhov, <em>Les Fables de la Fontaine</em>,</p> <p> <em>La Passion</em> selon Saint-Jean de Bach au Châtelet … Depuis 2005 il a également mené une quinzaine de projets pour Yves Saint-Laurent et pour la fondation Bergé. Le Musée Berbère dans l’atelier bleu du Jardin Majorelle à Marrakech est l’une de ses plus récentes et remarquables réalisations. En attendant la naissance du Paradoxe Amoureux …</p> <p> <img alt="Img_6483-1489494371" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/402691/IMG_6483-1489494371.PNG"></p> <p>  </p> <p> <strong><i>« … </i><i>en fait, vous souhaiteriez qu’on le quitte à votre place … »</i></strong></p>