Le Petit Prince à Avignon

Saint-Exupéry comme vous ne l'avez jamais vu: un Petit Prince noir, une plasticienne de sable, de la vidéo et la force du texte original

Project visual Le Petit Prince à Avignon
Successful
11
Contributions
08/01/2013
End date
€2,050
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103 %

Le Petit Prince à Avignon

<p> La Compagnie<strong> Théâtre des Turbulences</strong> présente <strong><em>Le Petit Prince</em></strong>, spectacle qu'elle jouera tous les jours au<strong> festival off d'Avignon</strong> du 8 Au 31 juillet 2013.</p> <p> <iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="304" src="http://player.vimeo.com/video/67217780" width="540"></iframe></p> <p> <strong>Le Petit Prince</strong> Création le 7 décembre 2012</p> <p>  </p> <p> D’après l’œuvre d’Antoine de Saint-Exupéry I spectacle pour grandes personnes et enfants I adaptation Marc Wyseur et Stella Serfaty I mise en scène Stella Serfaty I assistante Isabelle Quirin avec François Frapier, Nelson-Rafaell Madel et une plasticienne de sable Lucie Joliot I vidéaste Stéphane Broc I scénographie Lucie Joliot et Stella Serfaty I lumières Lucie Joliot I création sonore Marc PieraI musicien Stéphane Gallet</p> <p> Coproduction : Création en 2012, Théâtre des Turbulences, L’Espace 1789 / Saint-Ouen… Soutenu par : l'Heure Bleue / Saint-Martin-d'Hères, Le Forum / Boissy-Saint-Leger, La Merise / Trappes, La Nacelle / Aubergenville, Théâtre Berthelot / Montreuil, Théâtre Aghja, scène conventionnée / Ajaccio, Théâtre Jean-Vilar / Vitry-sur-Seine... Action financée par la Région Ile-de-France dans le cadre du projet citoyen</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_2477" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/26546/DSC_2477.jpg"></p> <p> <strong><em>Le Petit Prince,</em></strong><strong> spectacle pour petites et grandes personnes </strong></p> <p>  </p> <p> La Cie aime collaborer avec des plasticiens, des sculpteurs, des vidéastes.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Le Petit Prince </em></strong>est emblématique de notre démarche autant par son contenu que par sa forme. Trois disciplines, théâtre, dessin de sable et vidéo, se mêlent, se parlent et se répondent. L'une ne peut exister sans l'autre. Elles sont les modes opératoires de cette nouvelle création.</p> <p>  </p> <p> <strong><em>Le Petit Prince </em></strong>nous interroge sur le fonctionnement de notre civilisation.</p> <p>  </p> <p> <em>        On ne peut vivre de frigidaires, de politique, de bilans et de mots croisés, voyez-vous ! On ne peut plus. On ne peut plus vivre sans poésie, couleur ni amour.</em></p> <p>         <strong>St Exupéry</strong></p> <p>  </p> <p> <em>L’homme que l’on alimente en culture de confection, en culture standard comme on alimente les bœufs en foin. C’est cela, l’homme d’aujourd’hui.</em><strong> St Exupéry</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Dans cette période de trouble et de perte de sens, n’avons-nous pas le sentiment de subir ? Ne serions-nous pas complices de l’état du monde?</p> <p>  </p> <p> <strong>Note de mise en scène </strong></p> <p>  </p> <p> <em>Le Petit Prince,</em> conte initiatique et humaniste est connu dans le monde entier comme un joli conte pour enfant. Or il est aussi porteur d’une critique forte et engagée de l’homme contemporain et du monde qui l’entoure. Il réaffirme la nécessité de solidarité, d’amour, d’ouverture à l’autre, et de poésie pour être.</p> <p>  </p> <p> <em>La politique de civilisation nécessite une pleine conscience des besoins poétiques de l’être humain. Elle doit s’efforcer d’atténuer les contraintes, servitudes et solitudes. Elle viserait à restaurer les solidarités. Elle renverserait l’hégémonie du quantitatif au profit du qualitatif, elle prônerait le mieux plutôt que le plus.</em> Edgar Morin (La Voie)</p> <p>  </p> <p> C’est aussi une invitation de l’auteur à retrouver l’enfant en soi.</p> <p>  </p> <p> <em>Je demande pardon aux enfants d’avoir dédié ce livre à une grande personne. J’ai une excuse sérieuse : cette grande personne est le meilleur ami que j’ai au monde. J’ai une autre excuse : cette grande personne peut tout comprendre, même les livres pour enfants. J’ai une troisième excuse : cette grande personne habite la France où elle a faim et froid. Elle a besoin d’être consolée. Si toutes ces excuses ne suffisent pas, je veux bien dédier ce livre à l’enfant qu’a été autrefois cette grande personne. Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants. Mais peu d’entre elles s’en souviennent.</em>   Dédicace du Petit Prince                                                                                        </p> <p>  </p> <p> <strong>La symbolique du texte</strong></p> <p> Dans la mise en scène que je propose,<em> Le Petit Prince </em>est l’histoire d’un homme (l’aviateur), en état de crise, symbolisée par la panne dans le désert.</p> <p> Le désert : lieu d’isolement, où la plupart des acquis sont inutiles.</p> <p> Le désert : lieu de passage, de recherche de l’essentiel, où l’on redécouvre son intériorité.</p> <p> Son désert intérieur va conduire “cette grande personne“ à rencontrer son être profond : le petit prince. Le petit prince va lui faire visiter les planètes, qui ne sont autres que les facettes obscures de “cette grande personne“. Et guidé par le serpent et le renard, il accompagne l’aviateur dans sa transformation. Il redécouvre la nécessité du <strong>lien à l’autre</strong>. Il redécouvre son amour pour la Rose et il décide de la rejoindre. L’aviateur s’est transformé. Il a retrouvé sa source. Il peut reprendre son vol…</p> <p> Le petit prince, c’est l’auteur, l’aviateur, nous-mêmes… Notre part invisible.</p> <p>  </p> <p> Le petit prince :<em> Les enfants seuls savent ce qu’ils cherchent. Ils perdent du temps pour une poupée de chiffons, et elle devient très importante, et si on la leur enlève, ils pleurent... </em></p> <p>  </p> <p> <strong>Les personnages</strong></p> <p> J’ai choisi pour interpréter <strong>le petit prince, un acteur noir. </strong>Le personnage du petit prince fortement identifié aux dessins d'Antoine de Saint-Exupéry est blanc et blond pour les gens du monde entier. Dans notre société occidentale, un enfant blanc et blond est souvent porteur du symbole de pureté.</p> <p> Un petit prince noir pour bousculer nos aprioris sur l’œuvre. Un petit prince noir pour redonner une neutralité à la couleur de la personne. Pourquoi t’es noir ? Pourquoi t’es blanc ? L’aviateur blanc et le petit prince noir cohabitent et au delà des apparences sont la même personne.</p> <p> <strong>Blanc, noir ou jaune</strong>, l’être intérieur n’a pas de couleur.</p> <p> <strong>Dépasser le racisme ordinaire.</strong> Induire une représentation positive pour les enfants issus de l’immigration.</p> <p>  </p> <p> Le petit prince :<em> Je ne peux pas emporter ce corps-là. C’est trop lourd. Mais ce sera comme une vieille écorce abandonnée.</em></p> <p>  </p> <p> Les planètes : le roi, le vaniteux, le buveur, le businessman, l’allumeur de réverbère, le géographe, seront interprétés par <strong>l’aviateur</strong>. Ils représentent ses différents travers : l’égocentrisme, le despotisme, la vanité, l’aveuglement, la possession, l’orgueil, la soumission, le matérialisme…</p> <p> Le serpent, l’écho, le renard, seront interprétés aussi par l’aviateur. Ils représentent ses guides, ses facettes invisibles.</p> <p> <strong>La Rose</strong> est interprétée par la plasticienne.</p> <p>  </p> <p> <img alt="Pp_1__07_" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/26543/pp_1__07_.jpg"></p> <p> <strong>L’espace, le dessin, les images, …</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>Un espace symbolique et non réaliste.</strong></p> <p> Au centre du plateau, un tas de sable, un écran ovale support de la projection des images de sable.</p> <p> L’écran ovale deviendra aussi la grosse tête de l’aviateur roi et des autres facettes. Chaque tête sera modifiée, transformée, transfigurée par des traitements vidéo.</p> <p> L’aviateur étant narrateur, il est aussi le créateur de l’espace scénique. Au fil de l’histoire, l’aviateur transforme le tas de sable en une spirale, puis en un disque…</p> <p> Un espace éphémère. Un espace à construire. Un homme à reconstruire. La spirale, symbole de l’infini, relie le monde intérieur au monde extérieur, le visible à l’invisible.</p> <p>  </p> <p> <strong>Le dessin</strong></p> <p> L’aviateur a abandonné sa “magnifique“ carrière de peintre à l’âge de six ans. Les grandes personnes n’ont pas saisi son premier dessin. Le dessin est la source de la crise. C’est l’origine même du <em>Petit Prince</em>.</p> <p> Le petit prince : <em>Dessine-moi un mouton !</em></p> <p> <strong>Le dessin de sable</strong><strong>.</strong></p> <p> Antoine de Saint-Exupéry a lié son texte et ses dessins. Je reste fidèle à son désir pictural non pas pour reproduire, mais pour créer une forme nouvelle.</p> <p>  </p> <p>               Le dessin de sable en direct est une technique originale et spectaculaire, il se fait sur un établi de verre : une table lumineuse et une caméra placée au-dessus du plasticien qui filme l'évolution des dessins. On dépose du sable fin sur l'établi, que l'on peut ensuite déplacer en dessinant avec ses doigts. La matière fluide et capricieuse semble susciter elle-même les transformations qu’on lui applique. De l'abstraction naît la figuration, les dessins se suivent et se fondent, c'est l’animation de poudre : l'art de l'éphémère (création/destruction simultanée de l'œuvre) et de la suggestion.</p> <p>  </p> <p>               Ses pères fondateurs dans les années 60 sont les cinéastes Gisèle et Nag Ansorge en Suisse et aussi la plasticienne Caroline Leaf en Amérique du Nord.</p> <p>  </p> <p> L'animation de poudres convie le spectateur à une dépaysante plongée dans un environnement minéral. Un retour à un monde originel (dessins de sable de l'archipel des Vanuatu, peintures de sable rituelles pour la guérison des Navajo...) qui aurait assimilé toute l'histoire de l'humanité. Le sable est une matière qui nous ramène à l’essence de l’être.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Les dessins de sable pour créer un monde imaginaire.</strong></p> <p> Un monde sensible et poétique.</p> <p>               Un monde où le temps de faire un dessin compte autant que le dessin lui-même. Un dessin se fabrique, se transforme, se métamorphose, s’efface…</p> <p> La plasticienne de sable interviendra en direct. Elle deviendra aussi actrice, machiniste, cameraman … Elle accompagnera le récit : elle est <strong>le lien à l’autre</strong>.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>La création sonore</strong> est faite de sons réels; pollution sonore qui peu à peu s’effacera pour donner place à la musique du petit prince.</p> <p> Un micro est utilisé par l’aviateur pour le serpent, l’écho et le renard.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Les costumes :</strong> l’aviateur en costume cravate, se dépouille peu à peu et se retrouve avec la même enveloppe que le petit prince</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Dans notre période de crise, ce texte nous ramène aux fondamentaux de l’homme et de son salut.                                                         </strong></p> <p> Stella Serfaty</p> <p>  <strong>L’équipe</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Stella_5" height="251" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/26540/Stella_5.jpg" width="180"></p> <p>  </p> <p> <strong>Stella Serfaty</strong><strong>. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . </strong>la metteure en scène</p> <p>  </p> <p> Elle fonde la compagnie Le Théâtre des Turbulences en 1997.</p> <p>  </p> <p> Elle met en scène à partir de 2001 pour le Théâtre des Turbulences <em>La poussière qui marche ...</em> d’après La supplication de Svetlana Alexievitch, <em>Des bêtises de rien du tout ...</em> d’après La misère du monde de Pierre Bourdieu, <em>Le professeur de musique</em> d’après le roman de Yaël Hassan, <em>Marine, j’ai trop trimé,</em> parole d’une femme, spectacle de proximité, <em>J’ai trop trimé,</em> paroles de femmes, d’après des témoignages recueillis par Nadine Jasmin.</p> <p> Elle met en scène pour d’autres compagnies <em>Un homme ordinaire pour quatre femmes particulières </em>de Slimane Benaïssa, <em>L’emmerdeur du 12 bis</em> de Céline Monssarat. Elle met aussi en scène le musicien Mico Nissim, spectacle alliant peinture, musique et texte ainsi que des "dialogues, vidéo, théâtre"…</p> <p> Comédienne elle joue au théâtre, elle tourne également au cinéma, à la télévision et enregistre pour France Culture de nombreuses œuvres dramatiques.</p> <p> Elle anime aussi des stages AFDAS pour les professionnels et divers ateliers de pratique artistique.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="27-09-2007_11-32-48_0300" height="268" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/26538/27-09-2007_11-32-48_0300.jpg" width="180"></p> <p>  </p> <p> <strong>François Frapier</strong><strong>. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .</strong>l’aviateur</p> <p>  </p> <p> Après des études à l’école Jacques Lecoq, il fonde Le Théâtre de la Jacquerie avec Alain Mollot. A partir de 1994, entre à l’Illustre Théâtre de Jean Marie Villégier. Depuis 2000, collabore au GRRR avec Susana Lastreto.</p> <p> Au théâtre il joue sous la direction de Philippe Adrien, Stuart Seide, Philippe Van Kessel, Bernard Djaoui, Michel Dubois, Olivier Coyette, Emmanuelle Danesi, Agathe Alexis, Philippe Berling, Philippe Awat, Dany Martinez, Gloria Paris, Claude Dujardin, Thierry Atlan, Julian Negulesco, Laurence Février, Alita Baldi, Sabine Stépanoff, Ghislaine Dumont, Alain A Barsac, Jean-Yves Lissonnet, Jean Louis Heckel, Clotilde Moynot…</p> <p> Au cinéma ou à la télévision avec: Bruno Gantillon, Jean François Gallotte, Elisabeth Rapeneau, Artus de Pengher, Philippe Venault, Marie-Christine Questerbert, Simon Astier…</p> <p> Il enseigne au QG des formations à Paris, au CNAC, ADATEC en région Centre, au Rond Point des formations…</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Nelson4" height="269" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/26537/Nelson4.jpg" width="180"></p> <p>  </p> <p> <strong>Nelson-Rafaell Madel</strong><strong>.</strong><strong> . . . . . . . . . . . . . . . . .  </strong>le petit prince</p> <p> Formé à la Scène nationale de Martinique par Yoshvani Médina et à l’Université Paris 8 par Claude Buchvald.</p> <p>  </p> <p> Au théâtre il joue sous la direction de Yoshvani Médina dans <em>Roméo et Juliette </em>de Shakespeare, <em>Chacun sa vérité </em>de Pirandello, de Claude Buchvald dans <em>Falstafe </em>de Valère Novarina, <em>Erotokritos </em>de Vitzensos Cornaros, de Pierre Guillois dans <em>Le ravissement d’Adèle </em>de Rémi De Vos, de Marie Ballet dans <em>Liliom </em>de Ferenc Molnar, de Naidra Ayadi dans <em>Horace </em>de Corneille, Evelyne Torroglosa dans <em>Nous étions assis sur le Rivage du Monde</em> de José Pliya, de Sandrine Brunner dans <em>La Résistante, </em>de Néry dans <em>Oreste aime Hermione qui aime Pyrrhus qui aime Andromaque qui aime Hector qui est mort </em>d’après Racine, <em>Le dragon </em>d’Evguéni Schwartz, de Paul Nguyen dans <em>Le jeu de l’amour et du hasard </em>de Marivaux, Metteur en scène : <em>Minoé</em>, d’Isabelle Richard Taillant, <em>P’tite Souillure </em>de Koffi Kwahulé (Martinique, Avignon, 2013)</p> <p>  </p> <p> <strong>Lucie Joliot</strong><strong>. . . . . . . . . . . . . . .</strong>la plasticienne de sable, scénographe, éclairagiste</p> <p> A 18 ans, elle participe à la création de Baptiste et compagnie, parallèlement elle étudie à l'Ecole Nationale des Arts Appliqués Duperré à Paris.</p> <p>  </p> <p> Elle travaille comme régisseur lumière et noue des contacts avec les éclairagistes et les scénographes qu'elle rencontre : Lise-Marie Brochen (scénographe), Philippe Marioge (scénographe), Christian Pinaud (éclairagiste) et Marie-Hélène Pinon (éclairagiste) qu'elle assistera sur de nombreuses créations. Elle reprend des études et apprend la menuiserie, la sculpture, la marqueterie, la dorure. Elle travaille pendant 3 ans à Granville en Normandie et restaure du mobilier, des sculptures et des peintures.</p> <p> Aujourd'hui, à 34 ans, nourrie de ce riche parcours, elle est à la fois scénographe et éclairagiste.</p> <p>  </p> <p> Elle travaille avec les metteurs en scène Stella Serfaty, Damien Bricoteaux pour <em>Il était une fois </em>d'après Pierre Gripari ; <em>Pas sages </em>de Yves Prunier ; <em>Les Coguls</em> farces grivoises de la renaissance ; <em>Je suis un rêve</em> d'après Pierre Gripari, Claude Bokhobza du Théâtre du mouvement pour <em>Ay! Fantaisie pour une carpe farcie </em>de Anita Glodek, Olivier Comte  pour<em> Bonzom en concert,</em> Valérie Alane  pour <em>La mémoire de l'ange</em> de Valérie Alane, Ramzy Bédia pour <em>Biyouna!</em> de Biyouna et Cyril Cohen et avec le chanteur Théophile Minuit.</p> <p>  </p> <p> Au sein du Théâtre des Turbulences, elle fut régisseur sur <em>C’était vers la fin de l’automne, </em>régisseur général sur <em>La poussière qui marche…</em>, scénographe et éclairagiste sur<em> J’ai trop trimé.</em></p> <p>  </p> <p> <em><strong>Stephane Broc.</strong>......................................................................................vidéaste</em></p> <p> Il collabore avec des chorégraphes, scénographes, plasticiens et musiciens dans une recherche commune sur le langage du geste.</p> <p>  </p> <p> Il collabore avec la Cie Louise Vanneste / chorégraphie pour <em>Sie Kommen </em>et <em>Persona</em>, avec la metteure en scène Laura Scozzi pour <em>La flûte enchantée</em> / Opéra de Nuremberg &amp; Opéra Bordeaux, <em>Il viaggio a Reims</em> / Opéra de Nuremberg<em>,</em> <em>À propos de l’homme singe</em>, <em>Orphée aux enfers </em> / Opéra de Bernes, <em>Les Indes galantes</em> au Capitole de Toulouse, avec la Cie Maryse Delente / chorégraphie pour <em>La cloche de verre chorégraphie</em> et avec la Cie Art Mouv’ pour <em>Rêves</em>, <em>L’effet papillon,</em> <em>Paysages#2 et Paysages#4. </em>Il collabore régulièrement avec la Chorégraphe Cécile Loyer à travers des films. </p> <p>  </p> <p> Il travaille depuis 6 ans en tant que vidéaste, musicien et interprète au sien du collectif Woosh’ing Mach’ine/Mauro Paccagnella à Bruxelles. Il réalise plusieurs courts métrages dont <em>The Magnificent 4/ </em>Diffusion : Canal+, France 3, <em>Emerge</em> / Premier prix au 7ème festival du film de Lille et au Lausanne Underground film festival. Il collabore depuis 4 ans avec le plasticien sonore Vincent Epplay sur plusieurs projets. Cofondateur avec le plasticien Jean-Louis Chapuis du projet  <em>+/- l’épicerie</em>.</p> <p>  </p> <p> Lauréat en 2000 du programme des Pépinières Européennes pour jeunes artistes. Il participe à de nombreuses résidences au Québec et en Europe : Forum de la jeune création, Park in progress, Bzzz jeune vidéo Européenne.</p> <p>  </p> <p> Site internet : http://www.stephanebroc.com</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc_2608_anoumon" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/26551/DSC_2608_Anoumon.jpg"></p> <p>  </p> <p> <strong>Extraits de la revue de presse des spectacles</strong></p> <p>  </p> <p> <em><strong>Le petit prince Telerama-TT</strong></em></p> <p> <em>« On ne voit bien qu'avec le cœur »,</em> dit le renard au Petit Prince. Comment ne pas saisir dans la fable de Saint-Exupéry la dimension d'un voyage intérieur, d'un retour à soi et à l'essentiel ? C'est le parti pris de la mise en scène de Stella Serfaty. L'aviateur tombé en panne dans le désert et le Petit Prince cherchant à comprendre son amour pour sa rose se confondent, sont l'écho d'une même voix. L'enfant est la part invisible de la grande personne. Les deux comédiens, accompagnés d'une plasticienne qui crée des dessins de sable éphémères, projetés en direct sur un écran rond, sont tour à tour narrateur ou personnages principaux et secondaires (renard, allumeur de réverbère...). De belles idées de mise en scène et de scénographie qui révèlent avec poésie toute la profondeur du texte. Françoise Sabatier-Morel</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

Allocation of funds

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