Publication de mon premier roman

<p> <img alt="Portrait_barbe-1453727395" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/270694/portrait_barbe-1453727395.JPG"><strong>Pourquoi kisskissbankbank.com ?</strong></p> <p>  </p> <p> J’avais 16 ans lorsque j’ai eu l’idée d’écrire ce roman. Je me souviens très bien du moment précis : je répétais un cours de théâtre, à Lisbonne. Le professeur me sermonnait devant tout le monde car</p> <p> « je ne respectais pas son texte et j'avais l’esprit ailleurs ». Il avait raison, je venais de comprendre que je n'étais pas doué pour le métier et je pensais déjà à mon livre.</p> <p> A l'époque je faisais partie des privilégiés qui disposaient d'une machine à écrire individuelle au bureau, une Olivetti à rubans d'encre que je pouvais utiliser pour des besoins personnels, mais je souffrais probablement de procrastination et les lendemains se sont succédé inexorablement, sans que le syndrome de la page blanche puisse avoir l'occasion de se manifester.</p> <p> Aujourd'hui, 44 ans plus tard, « l’œuvre » est enfin achevée. Je vous entends rire en vous disant : à ce rythme, le prochain...</p> <p> Vous êtes pardonnés ! J'ai commencé la première partie en 2002, profitant de quelques mois de disponibilité professionnelle, puis entamé et fini la deuxième durant l'année 2015.</p> <p> Bien évidemment, si l'intrigue initiale du roman reste fidèle à des faits réels et des réflexions d'un adolescent du début des années 70, l'ensemble ne peut que subir l'évolution de l'auteur, notamment grâce ou à cause de l'expérience acquise, de ses multiples périples autour du monde et aux personnages qui lui ont servi de modèle ou qui l'ont inspiré.</p> <p> Si vous vous donnez la peine de lire mon parcours professionnel, vous constaterez que j'ai l'obligation de connaître raisonnablement le monde de l'édition. C'est effectivement le cas. Aujourd'hui, que ce soit en France ou à l'étranger, les principaux éditeurs ne publient les ouvrages que d'auteurs expérimentés et réputés ou de ceux qui se sont fait un nom à la télévision. La place réservée aux débutants est infime, voire inexistante, à moins qu'un membre du « comité de lecture » ne décèle un talent littéraire hors du commun parmi les dizaines de manuscrits qu'ils reçoivent quotidiennement.</p> <p> Mon idée est donc d'auto-éditer mon roman « Soif de Liberté » et éventuellement de créer une petite maison d'édition destinée à éditer des biographies à petits prix, pour des personnes qui souhaitent partager leur parcours de vie avec leur famille et/ou leur entourage.</p> <p> Malgré la diversité et la richesse de mon parcours professionnel, je n'ai pas les moyens financiers d'atteindre ces objectifs. Si comme moi, vous y croyez et souhaitez m'aider à les réaliser, je vous en serai éternellement reconnaissant.</p> <p>  </p> <p> <strong>Synopsis</strong></p> <p>  </p> <p> Jacques Whitehead, agent britannique du M16, en fin de carrière, habite à Los Angeles depuis 30 ans.</p> <p> Il vient d'écrire un roman consacré à son ami Adrien Mesquita, ex-journaliste et romancier célèbre.</p> <p> Il a connu les principaux personnages, d'abord en Algérie, à la fin de l’année 1978, l’une de ses premières missions à l’étranger, lors du décès du président Houari Boumediene, puis en Europe, où il rencontre les autres, tous ceux qui avaient eu un rôle important dans cette histoire.</p> <p> En cet après-midi du 21 octobre 2007, il attend impatiemment son éditeur. Celui-ci doit lui apporter une centaine d’exemplaires du livre et il compte les offrir ce soir à son ami, qui vient de partir en voiture pour rejoindre son épouse, à Ensenada, au Mexique.</p> <p> C’est alors que Jacques apprend la terrible nouvelle : Adrien a traversé la frontière à Tijuana à 17H00 et plus personne ne l’a revu depuis.</p> <p> Seul enfant d’une famille aisée vivant à Lisbonne, Adrien intègre un mouvement contestataire à la dictature alors que son père profite de celle-ci pour s’enrichir en travaillant pour le gouvernement et en faisant des affaires en Angola.</p> <p> Après l’anniversaire de ses 18 ans, il décide de partir en France rejoindre les mouvements antifascistes portugais.  </p>