Valarcci, de l'humanitaire étudiant en Inde
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Nous sommes trois étudiants qui, dans le cadre de notre cursus à l'Ecole des Mines de Paris, devons monter un projet d'entrepreneuriat. L'idée nous est alors venue de collaborer avec l'université indienne Amrita Vishwa Vidyapeetham sur un projet caritatif. </p>
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Plus précisément, nous avons fondé une association au sein de PSL( Paris Sciences et Lettres), organisation d'universités et d'écoles du quartier Latin et pôle de recherche (qui regroupe, outre l'Ecole des Mines, l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm, le Collège de France, l'Université Pierre et Marie Curie, l'ESPCI etc.), afin d'envoyer des étudiants de ce pôle faire le programme "Live-in-Labs", programme fondé par Amma dont le but est d'envoyer des étudiants en mission humanitaire dans les villages les plus pauvres d'Inde. Des forums auxquels nous avons participé nous ont appris que beaucoup d'étudiants étaient intéressés par ce projet.</p>
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<strong>Les besoins là-bas sont énormes</strong> : la pauvreté est partout présente, beaucoup de villages n'ont même <strong>pas d'accès direct à l'eau potable</strong>. Les actions à mener sont nécessaires ; plus le nombre d'étudiants pouvant aider est important, plus les actions seront <strong>efficaces et étendues</strong>. Une fois arrivé en Inde, chaque étudiant partira en milieu rural pour participer au programme de développement proposé par l'université : en amont, il réfléchira, avec d'autres étudiants et des chercheurs, à quelles aides fournir, et comment le faire. Puis, il ira mettre en pratique, sur le terrain, ce sur quoi il a réfléchi. Ainsi, des panneaux solaires ont déjà été installés dans certains villages pour leur fournir de l'électricité de manière écologique ; dans un autre village, des programmes d'éducation aux nouvelles technologies ont été mis en place pour apprendre aux enfants à rester en phase avec les évolutions sociétales et ainsi leur permettre d'être plus optimiste quant à leur avenir.</p>
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Mais pour le moment, notre budget est insuffisant. Nous souhaiterions, pour commencer, envoyer au moins 5 étudiants en 2017. Les frais qui doivent être engagés sur place pour remplir notre objectif (c'est à dire acheter tout ce qui est nécessaire pour les villages, même si nous sommes aidés par l'université), auxquels s'ajoutent les frais de transport, nous sont pour l'instant impossibles à payer.</p>
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La collecte permettra d'une part, que les cinq étudiants aient des frais de transport abordables : sans aucun apport financier, les frais seraient trop élevés pour faire partir quiconque. Mais surtout, elle servira à aider l'université à payer pour toutes les installations à mettre en place : il sera possible d'en installer de plus nombreuses, et d'étendre l'impact de l'action humanitaire.</p>