LA PEAU D'ÉLISA à La Manufacture des Abbesses

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Visuel du projet LA PEAU D'ÉLISA à La Manufacture des Abbesses
Réussi
82
Contributions
20/12/2017
Date de fin
7 921 €
Sur 7 500 €
105 %

LA PEAU D'ÉLISA à La Manufacture des Abbesses

<p><strong>C’est un texte qui parle d’amour et de vie</strong>, qui évoque les souvenirs. Un texte qui donne le sourire, qui donne de l’énergie, envie d’aimer , d’aimer toujours, de dire aux gens qu’on aime qu’on les aime, c’est un texte qui mettra du soleil dans le cœur de votre hiver.</p><p> </p><p> </p><p><img alt="La_peau-kisskiss-re_sume_-1508320595" width="378" height="102" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/459167/LA_PEAU-KISSKISS-re_sume_-1508320595.png">   </p><p>Une femme seule, assise devant nous. Avec délicatesse, elle raconte des histoires d’amour. Elle insiste avec minutie sur tous les détails intimes : les mains moites, le souffle court, la peau qui frémit sous les doigts. Elle parle avec fébrilité, comme si elle était en danger, comme si son cœur, sa vie, sa peau en dépendaient. Peu à peu, elle révèle ce qui la pousse à raconter et livre le secret insensé qu’un jeune homme lui a confié, un jour, dans un café.</p><p><img alt="Img_8146-1509562378" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/462932/IMG_8146-1509562378.jpg"></p><p> </p><p> </p><p><img alt="La_peau-kisskiss-extrait-1508320686" width="379" height="82" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/459168/LA_PEAU-KISSKISS-extrait-1508320686.png"></p><p> </p><p><em>« Je suis la jupe qui colle à la peau, je suis la peau sous la jupe, je suis la bretelle qui glisse sur l’épaule, je suis l’épaule soyeuse sous le coton, je suis les cheveux fous sur la nuque, je suis la nuque sous les doigts d’un homme</em> <em>»</em>.</p><p> </p><p> </p><p> </p><p><strong>CAROLE FRÉCHETTE </strong>est née à Montréal au milieu du XXe siècle. Elle rêve d’abord d’être actrice et se forme à l’école nationale de théâtre du Canada. Dès sa sortie d‘école, elle s’intéresse au théâtre politique et à la création collective. Elle fait du théâtre « engagé » sur la condition des femmes avec la troupe du Théâtre des cuisines jusqu’au tournant des années 80. Elle devient mère. Elle entreprend alors une maîtrise en art dramatique et se met à écrire. Depuis qu’elle consacre son temps à l’écriture, ses pièces sont traduites dans quinze langues et jouées un peu partout à travers le monde. Ses œuvres ont été saluées par de nombreuses récompenses au Canada et à l’étranger. En 2002, la SACD lui décerne, à Avignon, le Prix de la Francophonie pour souligner son rayonnement dans l’espace francophone. Elle reçoit la même année, le prix SIMI- NOVITCH, la plus importante récompense au théâtre au Canada.</p><p> </p><p> </p><p><img alt="La_peau-pourquoi-comment-1508321309" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/459169/LA_PEAU-pourquoi-comment-1508321309.png"></p><p> </p><p><strong>Un matin, je me suis réveillée et j’avais quarante-cinq ans.</strong> J’avais quarante-cinq ans et je me sentais invisible. Un après-midi, peut-être celui de mes 45 ans, j’ai lu ce texte qui m’a littéralement assaillie. Il posait le doigt là où la vie me réclamait un arrêt pour réfléchir à cette sensation d’invisibilité, de solitude... En fait de la peur de mourir. Car c’est toujours de cela qu’il s’agit, n’est-ce pas, de la peur de mourir ? Or, la vie c’est le désir, non pas la peur. Conserver le désir. Il y a celui que l’on sent courir sur la peau, qui répand cette sensation de chaleur et fait couler les larmes, tant l’émotion est forte. Et ce texte parlait de ça. Justement.</p><p>Là, il ne s’agit pas de petites choses tendres mais d’évoquer, grâce aux souvenirs, le cœur qui bat si fort que l’on ne s’entend plus parler, les ventres troués...</p><p> </p><p>Elisa raconte des histoires d’amour, des histoires vraies, des récits enchevêtrés comme autant de fragments qui seraient inscrits en creux dans son corps; comme si sa vie, sa peau en dépendaient. Alors, m’est apparue la nécessité de jouer ce texte, d’aller à la rencontre des gens, car la force que propose Carole Fréchette est d’imposer une relation immédiate avec les spectateurs, sans quatrième mur. Et je voulais les questionner sur le désir et partager avec eux cette interrogation universelle : comment continuer à nourrir cette force vitale ?</p><p> </p><p>Le projet s’est dessiné de manière simple et évidente. Un texte, deux acteurs, un dispositif léger qui permettent le lien avec le public. Mon envie d’actrice et mon regard de femme, pour révéler cette histoire, ne me semblaient pas suffisant pour trouver la justesse nécessaire, il me fallait un autre regard. Mais je voulais préserver intacte l’émotion de ma lecture initiale plutôt que de laisser un metteur en scène m’emmener sur son chemin et m’imposer sa vision du texte. J’allais assumer la mise en scène et l’enrichir d’une collaboration artistique à plusieurs. Avec l’impression que plus les regards extérieurs seraient d’univers artistiques différents, plus la parole deviendrait forte. Comme autant de regards différents que d’histoires empruntées aux autres par Elisa, qu’elle finit par faire siennes après les avoir magnifiées. J’ai alors proposé à un acteur et trois metteurs en scène dont j’aime le travail et pour qui le texte reste la matière première d’un spectacle, de venir rompre la solitude que je m’étais imposée.</p><p> </p><p>Brice s’est joint à moi avec toute sa générosité d’acteur. Félicie, Dag et Gilbert ont été curieux de se prêter à l’idée de construire à plusieurs. Alors, chacun avec sa sensibilité m’a accompagnée pour me révéler des aspects du texte et des personnages. Avec Félicie nous avons affiné la légèreté, elle m’a offert son regard poétique et sa lumière. Avec Dag, nous avons creusé la parole dramatique, il m’a imposé sa force réelle et son sens du silence. Avec Gilbert, nous avons parcouru la sensualité et l’étrangeté du personnage, il me les a fait se déployer avec son énergie débordante et joyeuse. Et puis se sont ajoutés les talents de Cécile, Thomas, Serge et Mia à qui j’ai demandé de m’accompagner pour définir une esthétique à la fois discrète, pour que le texte ne soit pas écrasé par trop de théâtre, mais pour créer un univers qui rende compte de la dimension symbolique de la pièce.</p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><strong>HISTORIQUE DE LA CRÉATION </strong>:                                                                   </p><p>·       Décembre 2013 : Résidence de création au CDN de Montpellier</p><p>·       Janvier 2014 : Création à LA BAIGNOIRE à Montpellier</p><p>·       Printemps 2014 : diffusion avec les ATP d’Alès</p><p>·       Eté 2014 : représentation au festival des Nuits de la Terrasse Et Del Catet</p><p>·       Automne 2014 : diffusion dans les médiathèques de l’Hérault en partenariat avec SORTIE OUEST</p><p>·       Juillet 2015 : représentations au Théâtre des Halles dans le cadre du Off d’Avignon     </p><p>·       Septembre 2015 : représentations au Théâtre d’O dans le cadre du Magdalena Project</p><p>·       Mars 2017 : représentations aux Théâtres municipaux de Saint-Chély d’Apcher et du Blanc-Mesnil</p><p> </p><p> </p><p> </p><p><strong>QUELQUES PHOTOS ET DES PAROLES DE JOURNALISTES </strong>:</p><p><img alt="La_peau_d_elisa_photos_marie_clauzade-1508321598" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/459171/La_peau_d_Elisa_photos_Marie_Clauzade-1508321598.jpg"></p><p>photos: Marie Clauzade</p><p> </p><p> </p><p><em>Spectacle méditatif et sensuel, un conte moderne pour une vie où le sens occuperait une place capitale. </em></p><p>LES ECHOS. Hadrien VOLLE. Juillet 15</p><p> </p><p><em>Une Shéhérazade qui parle pour sauver sa vie mais aussi donner du plaisir à qui l’écoute (..) Pour dire qu’en se rencontrant, deux tristesses peuvent devenir lucioles. </em></p><p>JEU revue de théâtre. ANAÏS HELUIN. 23 juillet 15</p><p> </p><p><em>La mise en scène et le jeu sensible et sensuel inquiètent et font participer le public qui s’en trouve bluffé et ravi... </em></p><p>AVI City Local News. Christian Fuentes. Juillet 15</p><p> </p><p><em>Un très beau moment de théâtre plein de sensibilité. A VOIR ABSOLUMENT. </em></p><p>CEZAM Juillet 15</p><p> </p><p><em>Cette femme au visage un peu lunaire nous touche et nous émeut. Cette représentation de La peau d’Elisa est un moment de grâce. </em></p><p>MONDES FRANCOPHONES. Selim LANDER. 13 Juillet 15</p><p> </p><p><em>C’est une histoire d’histoires que Mama Prassinos déploie dans la plus grande délicatesse. </em></p><p>THEATRORAMA 28 juillet 2015</p><p> </p><p><em>La peau d’Elisa ou l’éloge de la vie, Mama Prassinos sert avec grâce ce très beau texte</em>.</p><p>MIDI LIBRE janvier 14. Mireille Picard</p><p> </p><p><em>Les souvenirs s’égrènent avec parfois des émotions oubliées, des images qui reviennent. Un texte et une voix superbes (..) </em></p><p>MIDI LIBRE juin 14</p><p> </p><p> </p><p> </p><p><img alt="La_peau-kisskiss-l_e_quipe-1508321917" width="442" height="123" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/459173/LA_PEAU-KISSKISS-l_e_quipe-1508321917.png"></p><p><strong> </strong></p><p><strong>MAMA PRASSINOS</strong> Née à Paris, je me forme chez Claude Mathieu au Studio 34. En 1989, débute une longue aventure avec Marcel Maréchal au Théâtre National de Marseille puis au Théâtre du Rond-Point à Paris en 1995. Tout en tournant pour la télé, je joue aussi sous la direction de Marion Bierry et d’Annick Blancheteau. En 2007 je pars vivre sous le soleil de Montpellier avec mes filles. Parallèlement à mon métier de comédienne au théâtre et au cinéma, je deviens, de 2011 à 2013, collaboratrice artistique de Gilbert Désveaux, alors directeur adjoint et metteur en scène associé du CDN de Montpellier. Je mets en scène LA PEAU D’ÉLISA de C.Fréchette et UNE SÉPARATION de V.Olmi. Cette année, au cinéma, on a pu me voir dans « Nos années folles » de André Téchiné et, à partir du 15 Novembre, dans « Le semeur » de Marine Francen, prix du meilleur premier film à San Sebastian.</p><p> </p><p><strong>JULIEN LECANNELIER </strong>qui reprend le rôle à Paris, fait ses premiers pas au théâtre à Toulouse dont il est originaire. Puis il monte à Paris où il intègre l’École du Studio d’Asnières dirigée par J.L Martin Barbaz. Il joue avec plusieurs compagnies (Grand théâtre, Soirées Plaisantes, Acidu…) Il est membre du collectif Bim (performances In-situ en France et à l’étranger). À l’image, il travaille avec Yann Delattre, Zabou Breitman, Guillaume Legrand.</p><p> </p><p><strong>FÉLICIE ARTAUD</strong><strong> </strong>est metteure en scène, dramaturge et comédienne. Après une formation en France, elle rejoint Bruxelles pour finir ses études. En Belgique, elle travaille avec Le théâtre de Galafronie puis avec diverses compagnies : Théâtre de l’alliance, La compagnie Le Luxe, La Cie Riccochets, La maison Ephémère, Le Théâtre Pépite, Violala et La Cie Karyatides. Ensuite, elle forme un duo autrice / metteure en scène avec Aurélie Namur. Au sein des compagnies Les Nuits Claires (Montpellier) et Agnello (Bruxelles), elles créent les spectacles ET BLANCHE AUSSI, MON GÉANT, LE VOYAGE ÉGARÉ, ON SE SUIVRA DE PRÈS, LA FEMME VAUTOUR, DRIBBLE! ISABELLE 100 VISAGES et SOULIERS ROUGES.</p><p> </p><p><strong>GILBERT DÉSVEAUX</strong><strong> </strong>suit une formation d’art dramatique, à Paris, avant de créer sa structure de production dédiée à la création contemporaine. D’abord comme producteur et comédien puis comme metteur en scène, il a présenté depuis 1993 une vingtaine de pièces nouvelles, ou traduites pour la première fois en français. Des œuvres de Jean-Marie Besset, avec qui il s’associe pour créer le festival NAVA à Limoux, mais aussi d’auteurs anglophones. De 2010 à 2014, il est directeur adjoint et metteur en scène associé du Théâtre des 13 vents, CDN Languedoc-Roussillon, à Montpellier. Depuis 2014, il dirige LA SOCIETE DU SPECTACLE, bureau de création et de production avec lequel il accompagne des projets artistiques et culturels. Depuis 2016, il dirige le théâtre et le cinéma du BLANC-MESNIL.</p><p> </p><p><strong>DAG JEANNERET</strong><strong> </strong>est comédien et metteur en scène. Il a joué dans une trentaine de spectacles notamment avec B. Bonvoisin, P. Clévenot, P. Delaigue, O. Maurin, P. Haggiag, C. Esnay, C. Rist, A. Béhar, J-M Bourg... Il a mis en scène une quinzaine de spectacles (Molière, Claudel, Melquiot, Picq, Danis, Valletti, Darley, Esinencu, Siméon....). Ses derniers spectacles OCCIDENT - De Vos, RADIO CLANDESTINE - Celestini, TAMBOURS DANS LA NUIT – Brecht. POISON de Lot Vekemans. Il est conseiller artistique du Printemps des Comédiens depuis 2011.</p><p> </p><p><strong>CÉCILE MARC</strong><strong> </strong>est scénographe et collaboratrice artistique. Elle a travaillé pour le théâtre et l’opéra notamment avec D.Jeanneret, D.Lanoy, J.Allaire, C.Vasseur, T.Cafiero, A. Behar, S.Marc...</p><p> </p><p><strong>THOMAS CLÉMENT DE GIVRY </strong>est formé à Montpellier comme régisseur lumière. Métier qu’il pratique fréquemment pour le CDN de Montpellier. Il entreprend en parallèle une activité de création lumière pour plusieurs compagnies de théâtre (Cie Up to you!, Cie Machine Théâtre, Cie l’Atalante, Cie Amarante...) et des groupes de musique (Oust Louba, Hey! B, FLX...). Nourrit de son expérience, il s’emploie à concevoir une construction plastique et dramaturgique de la lumière en théâtre et en concert.</p><p> </p><p><strong>MIA MANDINEAU</strong><strong> </strong>est née à Paris.  Après avoir fait parti de l’Ensemble Vocal Michel Piquemal elle a intégré l’académie du chœur de l’orchestre de Paris. Elle est maintenant, étudiante en chant lyrique au conservatoire d’Amsterdam. Parallèlement à ses études classiques, par amour du jazz, elle reprend des standards à capella. Elle produit également des vidéos qui résument les opéras. Voir sur youtube : l’opéra et ses zouz.</p><p> </p><p><strong>SERGE MONSÉGU</strong><strong> </strong>est né dans les Pyrénées . En qualité de régisseur audio-vidéo, il travaille d’abord au Centre Georges-Pompidou, à l’auditorium du musée du Louvre, pour les compagnies, Black blanc beur, La camionetta, et Loïc Touzé. Il occupe ce poste à titre permanent au CDN de Montpellier à partir de 1994. Il y crée les bandes sons et les images pour A.Garcia-Valdès, G.Monnet, J-C.Fall, G. Désveaux, J-M. Besset, J-M. Bourg, J.Allaire, J.Lassalle, R.Garcia, R.Borgna, H.Soulié, R. Martrin-Donos, S.Laudier, F.Dekkiche, C.Touret, L.Sabot, F.Rudelle, C.Auxire-Mar- mouget, J.Chambon, M.Heydorff, M.Touraille...</p><p><strong> </strong></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p>

À quoi servira la collecte

<p>Cette aventure a vu le jour, petit à petit, grâce à de nombreux soutiens,  comme le CDN de Montpellier et LA BAIGNOIRE, lieu d’écriture contemporaine, où il a été joué pour la première fois.  Il y fut acheté et diffusé par Sortie Ouest et les ATP, ce qui a permis de le créer en partenariat avec le Théâtre des Halles pour le Off d’Avignon. Soutenu à cette occasion par Réseau en scène Languedoc Roussillon. Et même si Avignon n’est pas réputée pour sa rentabilité, nous sommes repartis de ce festival, heureux. Les émotions et les échanges avec le public avaient été si forts. Il fallait que l’aventure continue !</p><p> </p><p>Après une petite tournée dans des théâtres municipaux, La Manufacture des Abbesses nous a offert la possibilité de toucher le large public parisien, ses amateurs de théâtre mais aussi les programmateurs. Nous nous y installerons pendant sept semaines. Pour que cette série à Paris rencontre son public, nous avons besoin d’un budget à la hauteur de l’ambition que j’ai pour ce spectacle. J’ai besoin d’un coup de pouce ! Par conséquent, je sollicite votre aide pour faire de cette série parisienne un vrai succès ! Votre aide sera affectée à la campagne de communication. À la talentueuse graphiste qui crée le visuel pour l’affiche, les tracts…à l’attachée de presse pour qu’elle puisse faire son travail dans de bonnes conditions et avoir une belle campagne de communication dans le métro et sur le web. Plus vous serez nombreux et généreux, plus nous pourrons faire de la communication pour que la salle de 120 places se remplisse chaque soir.</p><p> </p><p>Et si par bonheur on dépassait largement la somme des 7500€ espérés, on pourrait envisager une campagne de communication sur les colonnes Morris.</p><p> </p><p>C’est vous, qui avec nous, allez faire le succès de ce spectacle. Je compte sur vous et votre amour des textes et du théâtre pour partager la confiance que vous avez dans sa réussite.</p><p>Faites du bruit autour  de ce spectacle.</p><p>Financez-le avec nous.</p><p> </p><p>Merci d’être là.</p><p> </p><p>Et on se retrouve à la première le mercredi 3 janvier à 19h à La Manufacture des Abbesses.</p><p> </p><p><strong>LES CONTREPARTIES SERONT À RETIRER AU THÉÂTRE LES SOIRS DE REPRÉSENTATION DE LA PEAU D’ÉLISA .</strong></p><p>Du 3 janvier au 24 février 2018. Mercredi, jeudi, vendredi et samedi à 19h. 7 rue Véron. 75018 Paris. Métro Abbesses  ou Blanche.</p><p><strong> </strong></p><p>Pour ceux qui soutiennent le projet et ne sont pas parisiens, c’est l’occasion de venir un week end à Paris !</p><p>Ou bien d’offrir votre contrepartie à des amis ou de la famille qui s’y trouvent.</p><p> </p><p>Si vous ne voulez pas de contreparties, signalez-le.</p><p> </p><p><strong>Je percevrai l'intégralité de la collecte.</strong></p><p> </p><p> </p><p> </p><p><img alt="La_peau-kisskiss-budget-1508322186" width="442" height="94" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/459175/LA_PEAU-KISSKISS-budget-1508322186.png"></p><p> </p><p> Le budget est de 27724€.</p><p> </p><p>Dont voici les principaux postes :</p><p>- Communication (graphiste, attachée de presse, espaces de communication, imprimerie), 7500€</p><p>- droits artistiques, minimum garanti pour le théâtre, 8960€</p><p>- salaires et frais de structures, 11264€</p><p> </p><p><strong> Ce spectacle est le fruit de 4 ans de travail. </strong></p><p> </p><p><strong> </strong></p><p><strong>DE L’ARGENT AU DELÀ DE L’OBJECTIF ?</strong></p><p><strong> </strong></p><p>- Une belle campagne de communication sur les colonnes Morris.</p><p>- Des petites mains pour afficher, tracter.</p><p>- Pas de dettes :-)</p><p> </p><p><img alt="Colonne_morris-lapeau-1508322326" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/459176/Colonne_Morris-LaPeau-1508322326.png"></p><p><strong> </strong></p>

Contreparties

5 €

  • 4 contributions
un grand MERCI!

15 €

  • 7 contributions
Le texte de la pièce, éditions actes sud. / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

30 €

  • 13 contributions
texte de la pièce + 1 affiche / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

50 €

  • 12 contributions
texte de la pièce + 1 affiche + 1 invitation à votre nom ou à celui de votre choix, pour une représentation du 3 au 13 janvier 2018. / les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

75 €

  • 17 contributions
texte de la pièce + 1 affiche + 2 invitations à votre nom ou à celui de votre choix, pour une représentation du 3 au 13 janvier 2018. / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

150 €

  • 5 contributions
texte de la pièce + 1 affiche dédicacée par les acteurs + 3 invitations à votre nom ou à celui de votre choix, pour une représentation du 3 au 13 janvier 2018. / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

300 €

  • 2 contributions
4 invitations à votre nom ou à celui de votre choix + 1 verre avec les artistes à l'issue de la représentation. / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

500 €

  • 3 contributions
Pour les 20 premiers kissbankers, un exemplaire numéroté sur pur fil Johannot de l'Histoire Tragique de Romeo Montecchio et Giuletta Capelleta De Matteo Bandello. Livre édité par Pierre Vorms en 1947. 137 pages illustrées de 12 gravures sur cuivre et d'ornements gravés sur bois par MARIO PRASSINOS. L'ouvrage est présenté dans un étui cartonné. / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

1 000 €

    Pour les 2 premiers kissbankers, un exemplaire numéroté du livre cité ci-dessus mais celui-ci sur pur fil Malacca avec une suite des gravures et des ornements. / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

    1 500 €

    Une représentation chez vous, dans votre salon, votre jardin, votre maison de campagne…ou chez vos amis (Le texte et les acteurs. Version sans décor. Les déplacements sont à votre charge). / Les contreparties seront à retirer au théâtre les soirs de représentation de " La Peau d'Élisa".

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