Oiseau(X) scratch ! un double album inclassable et fabuleusement pop !

Crooner "pop baroque", musicien de scène et de studio (on l'a entendu, entre autres, aux côtés du chanteur Bertrand Betsch (Pias) et du groupe pop Da Capo (Lithium Records EMI), Luc Spencer vient de finaliser un double album audacieux, "Oiseau(X) scratch" déjà salué par la critique, cinq ans après un premier album « Church on a Hill » co-produit par Gilles Martin (Dominique A, Tuxedomoon …) et divers projets parallèles comme « La grande épopée de la pop baroque » avec le compositeur Boris Lamérand. (les enfants d'Icare).

Grâce à vous !, ce bel Oiseau(X) s'envolera à la conquête du monde, sous la forme d'un beau disque vinyle (noir profond) ! porté par une promotion digne de ce nom !

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"Oiseau(X) scratch", ce que la presse en dit ...

Pas encore sorti du nid, pas encore distribué, et déjà les retours sont enthousiastes !

"Un voyage musical « inclassable et fabuleusement pop » de 3900 secondes toujours surprenant, jamais consensuel. 18 chansons incroyables, dont l’invraisemblable classicisme – l’homme connaît son Robert Wyatt et son Brian Wilson par cœur – est invariablement dévoyé par la folie d’un compositeur dont la culture insensée semble avoir fait exploser toutes les cloisons mentales". (Indiepoprock.fr)

« Aujourd’hui je ne vois que la brèche enflammée de Notre-Dame de Paris pour accueillir dignement ce chant du chaos se terminant en cérémonie tribale et duquel trou noir, croasse un corbeau qui ne cesse d’ailleurs de hanter ce disque »
(Renaud COJO - "Ouvre le chien")

« Osons le dire, « Oiseau(X) Scratch » est le double album que Neil Hannon aurait dû sortir depuis longtemps. » (...)

"Luc Spencer se permet tout, et opère des rapprochements fulgurants. Grâce à la rigueur extrême de ses compositions, ce qui ailleurs pourrait facilement dérailler, demeure chez Luc Spencer d’une cohérence totale, et surtout d’une étrange beauté. (...)

Avec ce nouvel et double album le musicien atteint une sorte d’acmé, d’où l’on écoute, admiratif, sa pop barrée. Une musique traversant des décennies de créativité – des expérimentations de David Bowie, celui de la trilogie berlinoise, aux tire-larmes de Divine Comedy, en passant par l’énergie de Pulp." (Ian Kouton)

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I HAVE A DREAM !

Oiseau(X) est aussi en écoute "Yabai" (Coup de coeur )sur la radio éclectique "I HAVE A DREAM" de Moustik (un titre par jour pendant deux mois !). radio-ihaveadream.com

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« Oiseau(X) scratch » c'est l’aboutissement de deux années de persévérance joyeuse, et d'expérimentations joueuses avec des musiciens de haut vol.

Coup d'oeil sur la fine équipe :

Marion Sarrazin (Système D, Mikrokosmos ...) : chœurs
Elodie Ruillier (LOD) : chœurs
Skid Vyk (Nina et les fils de ... Phantom ...), guitares électrifiées
Arnaud Hédin (Bobby Briggs), guitares sèches, chœurs brisés et textes sur "The fall of a bird" et "We come in tunes"
Gaël La Loom (Sixty Eight ...) : chœurs, bass, mandoline
Boris Lamérand (Les Enfants d'Icare, Eleanor ...) , violon
Luc Spencer : voix, claviers, percussions, programmation
Loïc Carron (Cyann et Ben, Chérie +++ ...), arrangements sur "The man from your Heart"
Gilles Martin (Studio Farside) : Mixage, mastering
Linda Roux : Artwork

Aujourd'hui enregistré, mixé et masterisé, cet Objet Volant Non Identifié n'attend plus qu'une chose : se matérialiser entre vos doigts et vos oreilles sous la forme d'un beau vinyle et d'un brillant disque laser (so vintage !).

Survolez l'Oiseau(X) !
(Essayez-le avant d'investir ...)

Et voici des extraits des 18 titres pour vous faire une idée du voyage qui vous attend ! (Cliquez sur la double flèche pour passer au morceau suivant)

A quoi s'attendre avec l'Oiseau(X) scratch ?

Renaud COJO, auteur, metteur en scène et Ian KOUTON, écrivain, journaliste, vous guident dans l'écoute de cet album hors-formats.

Crédit photo : Sylvain Gripoix

Luc SPENCER et son OISEAU(X) SCRATCH
par Renaud COJO, metteur en scène

(...) et voici que tombent un jour sur ma machine une offrande des Dieux : les plumes incandescentes de son « Oiseau(x) Scratch ». Je troquais illico-presto mes vieux duvets d’adolescent pour l’ajustement de ce Spencer que je trouvais parfaitement taillé pour moi.
Emplumé tel Papageno à la recherche de mon harmonie intérieure, ce son-là venait mettre fin à la réécoute poussiéreuse de mes standards. Ma géographie intime maintes fois ressassée je pouvais enfin l’échanger contre du neuf. Vol stationnaire évitant le scratch des évidentes références contre lesquelles Luc ne se colle aucune aile de contrebande après s’être frotté cependant à celles de Bertrand Betsch ou de Da Capo. Mais c’était autrefois.

Aujourd’hui c’est par un chant envoutant et jamais approximatif que notre oiseau rare excelle à brouiller justement les pistes d’un vol programmé à l’avance. Ce dernier nous perd volontairement par ses azimuts inversés venant chercher des horizons magnétiques surpassant souvent les chemins que nous connaissons (de Robert Wyatt à David Byrne entre autres)… D’images pornographiques volées à des fantômes par son probable double maléfique du Doppelgänger (figure schizoïde de toute la mythologie rock), l’oiseau Spencer voudrait se poser en Freedonia, utopique rêve adolescent de la jeunesse américaine. Dans sa bouche, cette micro nation chimérique pourrait bien ressembler à la Red Room d’un autre oiseau… Mais Spencer n’habite pas cette liberté là, il l’invente en dessinant un nouveau territoire, d’autres contours, conservant cependant un axe magique grâce à ses mélodies acérées par des griffes empoisonnées du venin des divins (cf les impeccables "Memories" ou "On a Wing"). L’enfance de l’art c’est de rendre à sa jeunesse le goût de la comptine afin de prolonger les rêves. Spencer excelle ici à rester un oiseau-enfant. L’entêtant gimmick british "Jangl Jack' en est un bon exemple.

C’est sur un peuplier bien français que l’hypnotique et énigmatique vol se pose pourtant. L’arbre du peuple sous lequel se prennent toutes les décisions. Celles de Spencer sont radicales. La rupture est une douce litanie des chants retrouvés et ouverts à d’autres possibles. Le sublime Peter Hammil cité en référence en est peut-être un compagnon du devoir, mais l’hommage ici rendu est une messe à écouter dans les trous noirs de nos aspirations. Aujourd’hui je ne vois que la brèche enflammée de Notre-Dame de Paris pour accueillir dignement ce chant du chaos se terminant en cérémonie tribale et duquel "trou noir", croasse un corbeau qui ne cesse d’ailleurs de hanter ce disque (le fameux double évoqué ici plus haut) ? Victor Hugo ou es tu ?

Et si l’homme a besoin d’explosions et de ruines, celles de "Manderley" de Daphnée du Maurier, rongées par le feu (décidemment), sont toujours des vues aériennes que l’oiseau prend par instantanés photographiques ou cinématographiques développés sur de longs temps de pause afin de mieux en brûler encore l’image grâce à un timbre qui excelle quand il s’acoquine de nos plus grands crooners pop. Surexpositions, superpositions, telle sont les directions possibles du « Vol Spencer ». On y rencontre un "Superman" aux volutes pianistiques de l’Aigle-Bowie période Cabaret Dadaïste de Time, pour finalement projeter sa chute dans une dernière volée acoustique qui ne peut rien renier au même aigle période The man who sold the world. L’oiseau est tombé, il vole ailleurs dans le cœur d’un homme, l’étonnant et génial Luc Spencer.

Seul regret pour moi : d’avoir maintenant à voler en bande organisée telles les grues en V lors de leur grande migration. Je sais bien pourtant, les trésors doivent se partager.

Renaud Cojo, juin 19.

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Oiseau(X) scratch", par Ian KOUTON (indiepoprock.fr)

Luc Spencer est un songwriter. Dans ce que le terme a de plus noble et de plus précis. Un auteur de chansons, dans la plus pure tradition anglo-saxonne. Cultivant depuis son premier album, en 2013, co-produit par l’immense Gilles Martin, un univers musical à la fois inclassable et fabuleusement pop, le parisien n’a de cesse de rechercher la mélodie parfaite.

Mélodie qu’il s’empresse de plonger dans un bain acide. Il en ressort des chansons incroyables, dont l’invraisemblable classicisme – l’homme connaît son Robert Wyatt et son Brian Wilson par cœur – est invariablement dévoyé par la folie d’un compositeur dont la culture insensée semble avoir fait exploser toutes les cloisons mentales.

Luc Spencer se permet tout, et opère des rapprochements fulgurants. Grâce à la rigueur extrême de ses compositions, ce qui ailleurs pourrait facilement dérailler, demeure chez Luc Spencer d’une cohérence totale, et surtout d’une étrange beauté.

Avec ce nouvel et double album le musicien atteint une sorte d’acmé, d’où l’on écoute, admiratif, sa pop barrée. Une musique traversant des décennies de créativité – des expérimentations de David Bowie, celui de la trilogie berlinoise, aux tire-larmes de Divine Comedy, en passant par l’énergie de Pulp. Une musique qui, ensuite, se défait de ces figures écrasantes, pour assumer crânement une singularité enthousiasmante.

Elle emprunte alors des chemins de traverse d’une justesse et d’une inventivité rare. La pop rencontre alors le rock, qui se fond lui-même dans un groove irrésistible, le tout totalement secoué par des arrangements, des accidents sonores toujours pertinents.

Osons le dire, « Oiseau(X) Scratch » est le double album que Neil Hannon aurait dû sortir depuis longtemps.

Ian Kouton 15 octobre 2019 - indiepoprock.fr

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Et puis pour vous faire le bec, en cadeaux, deux titres ! (Manderley et Peter Hammill + deux clips et le "teaser" Choc !

Freedonia (Clip réalisé par le studio Wattt - Paris)

"Manderley" (Spencer/Spencer 2019)

"Pornographik videos (for ghosts)" (Spencer/Spencer 2019)
(Images : Stephen Sayadian)

Le Teaser (tourné à Chantillac )

Peter Hammill (Spencer/Spencer)

Luc Spencer - Deuxième album