Sandhippugal

"Sandhippugal" a vu le jour! La collecte Kisskiss est terminée. Pour acheter le livre, contactez-nous par mail ou via le lien ci-dessous.

Visuel du projet Sandhippugal
Réussi
58
Contributions
30/08/2022
Date de fin
4 167 €
Sur 3 700 €
113 %

Nos engagements

Les publications

Bon ben voilà ! Merci ! Grace à vous on lance l'impression du livre demain 🤞! ... Et pour continuer dans la tradition instaurée depuis les 50% voici une nouvelle anecdote: En chemin pour aller voir le lever du soleil sur les marais salants, on traverse un village où on voit une troupe de théatre en train de jouer en plein air, je prends quelques photos et on décide de revenir plus tard pour parler avec les acteurs... En revenant deux heures plus tard, j'apprends alors que les spectacles de therukoothu se déroulent du coucher au lever du soleil et que donc, dans la journée, toute la troupe... dort! Tout le monde dort.... sauf un! Et il a une bonne raison pour ne pas dormir: il a transpercé un coussin (où était malencontreusement rangé son portable) avec son poignard de théatre en bois... et il attends le réparateur... Et on discute... N'ayez pas peur, celui-ci n'est pas dans le livre! Rendez-vous quand on sera à 125% pour une nouvelle histoire, mais là, va falloir se mobiliser: il ne reste que 14 jours ! Alors, s'il vous plaît, faites suivre le lien de la collecte !
Merci ! Grâce à vos contributions nous venons de dépasser les trois quarts de l'objectif! Mais Sandhippugal a besoin d'un dernier avant-dernier effort, alors : On ne reporte plus à demain si on a l'intention de contribuer ! Même s'il fait chaud et qu'on est au bord du lac d'Annecy ou en train de siroter une mauresque en Dordogne... J'ai des noms... On fait suivre le lien du projet à son réseau en affichant un enthousiasme sans bornes : 😍👍❤️🤩👏🥁🎨 ... merci, merci, merci... Et pour vous encourager, voici un nouvel épisode de nos aventures pondichériennes : Après une approche assez longue: il n'imaginait absolument pas qu'on puisse s'intéresser à lui, SARANGABANI (celui qui a une belle moustache sur la couverture de "Sandhippugal") s'est lancé dans une grande discussion avec Abel... Sa fille s'appelle AJITHKUMARI. Elle a un frère jumeau qui s'appelle AJITHKUMAR, comme le célèbre acteur de cinéma et coureur automobile tamoul, Ajith Kumar. Au bout d'un moment, je demande à AJITHKUMARI si je peux la prendre en photo... Elle me dit oui, et une fois les appareils déballés et la photo prise, elle me dit : "À moi de te prendre en photo, prête-moi ton appareil". Elle me photographie, moi, puis Abel, et la voilà partie pour photographier toute sa famille, ils sont installés là, allongés sur le trottoir. Vous pouvez voir un court extrait de ce moment sur la vidéo de présentation du livre. ...Et voici peut-être ma photo préférée de ce voyage, prise par AJITHKUMARI : son frère et sa mère épatés par son culot... Sympa, non?
Merci ! Grâce à vos contributions nous venons de dépasser la moitié de l'objectif! Pour fêter ça, voici une petite annecdote arrivée pendant la réalisation d'un des portraits, celui de Sankar le forgeron... Sankar travaille assis par terre et il a tout à portée de main: son enclume, son marteau, son feu pour chauffer le métal et l'interrupteur du ventilateur qui remplace le soufflet de forge, seule chose qui a évolué depuis plusieurs siècles... Quand nous nous sommes installés dans son échoppe, assis comme lui, il n'avait vraiment pas l'air commode, et pas photogénique du tout... Sa femme était là, beaucoup plus avenante et nous nous disions que nous pourrions peut-être faire son portrait. Sankar en plus ne travaillait pas, il avait juste la main dans le baquet d'eau qui lui sert à tremper l'acier... Quand il nous a avoué qu'il venait de se blesser au doigt, on a compris la raison de son humeur... Et il nous a fallu encore une bonne heure, avec le talent combiné de son épouse qui lui appliquait périodiquement une poudre blanche sur le doigt entre deux séries de coups de marteau et celui d'Abel qui "tchatchait" avec lui, pour réussir le portrait qui figure dans le livre... ... et vous verrez que ça valait le coup de persévérer!