Beaview, le magazine du handicap, indépendant et engagé
<h4><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/698477/f796d731-c983-463a-a874-b9bb3b907623.jpg" width="100%" /></h4>
<p>La mise en marge des personnes handicapées (handicap au sens large : sensoriels, mentaux, moteurs, cognitifs, psychiques, polyhandicaps, maladies invalidantes, personnes âgées dépendantes, etc.) est un <strong>enjeu social majeur</strong>, et ce doit d’être reconnu comme tel. Cette exclusion est principalement due à une forme spécifique de discrimination appelée le « validisme » : nous vivons dans <strong>un monde conçu pour les valides, dans lequel toute différence est exclue.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/691424/3e8e5f1c-c552-4294-be08-fd321396169e.gif" width="100%" />© Photos : Pierre-Olivier Chaput / Beaview</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/698494/b5189cfb-4a3b-4afe-9e6b-e3c30130b85c.jpg" width="100%" /></p>
<p>À travers un nouveau magazine audiovisuel de presse en ligne à portée nationale, <em>Beaview</em> souhaite <strong>promouvoir la citoyenneté et la dignité des personnes handicapées.</strong> Nous avons pour ambition de proposer une nouvelle façon de traiter des sujets liés au handicap, en toute indépendance et sans publicité.</p>
<p>La ligne éditoriale du magazine <em>Beaview.fr</em> se veut une réponse face à la vision validiste, souvent stéréotypée et mécanique, de l’actualité autour du handicap.</p>
<p><strong>Une actualité incluant toute la société, sans distinction, </strong>et privilégiant le point de vue des personnes handicapées.</p>
<p><strong>Pas de sensationnalisme</strong>, pas de misérabilisme, pas d’héroïsation, pas de clichés. Rien que <strong>du réel et des faits !</strong></p>
<p>Nous voulons <strong>choisir de manière autonome nos sujets</strong>, loin des agendas préétablis, comme « la journée du handicap », « la semaine pour l’emploi des personnes handicapées », « le DuoDay », « le Téléthon », etc. qui contribuent à favoriser l’indifférence médiatique le reste de l’année et à inférioriser les personnes handicapées.</p>
<p><em>Beaview</em> souhaite <strong>dénoncer les discriminations, mettre en lumière des initiatives positives</strong> et élargir la connaissance ainsi que la réflexion du grand public.</p>
<p>Nous travaillons avec conviction et détermination, depuis plus de deux ans, afin de proposer <strong>un média qui met sur un pied d'égalité les personnes handicapées et les personnes valides.</strong></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/691425/f8a486ba-45ba-44ab-a4f3-da30859e67f7.gif" width="100%" />© Photos : Pierre-Olivier Chaput / Beaview</p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/698478/81f4a314-2761-4fca-9328-a973c9837599.jpg" width="100%" /></p>
<p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/708108/e7c098f6-3f35-46d9-8c68-dbc09d0d0032.jpg" width="100%" /></p>
<h3><strong>L’équipe Beaview :</strong></h3>
<p><strong>Bob Gomis, fondateur, CEO et directeur de la publication :</strong> UX designer et graphiste, Bob est passionné de musique et de sport. Après avoir été bénévole, pendant plusieurs années, dans une grande association liée au handicap, il ressent le besoin d’amener son engagement à un autre niveau.</p>
<p><strong>Talía Olvera, rédactrice en chef et chargée de développement :</strong> politologue, linguiste et littéraire, apprentie chercheur en Sciences de l’Information et de la Communication, elle enseigne le journalisme et la communication à Sorbonne Université et au CELSA.</p>
<p><strong>Laure Delacloche, journaliste :</strong> est convaincue que faire évoluer les représentations autour du handicap passe, d'abord, par donner la parole aux personnes concernées. Elle s'intéresse, entre autres, aux sujets de société, au féminisme.</p>
<p><strong>Pierre-Olivier Chaput, journaliste et photographe : </strong>ses reportages s'intéressent à la réalité concrète du terrain, aux personnes qui y vivent et y agissent.</p>
<p><strong>Maxime Kgozien, journaliste reporter d’images :</strong> « curieux de nature, l'échange et le fait d'être sur le terrain sont deux composantes du métier très importantes à mes yeux. Je suis toujours à la recherche de nouvelles aventures qui me feront grandir, tant professionnellement qu'humainement. »</p>
<p><strong>Vincent Lenoir, journaliste :</strong> « Le matin, je me lève pour deux choses : le bon journalisme et le sport. Et ça tombe bien, chez <em>Beaview</em>, je mixe les deux. Footeux, ascendant cycliste. »</p>
<p><strong>Clara Hesse, journaliste :</strong> a notamment travaillé pour les revues <em>XXI</em> et <em>6mois</em>. Elle écrit sur la justice, le handicap et la société française pour des médias comme : <em>Marianne</em>, <em>Socialter</em> et <em>Beaview</em>.</p>
<p><strong>Salammbô Marie, journaliste :</strong> « diplômée de l’IUT de journalisme de Lannion et d’un master d’études anglophones, je travaille pour <em>Ouest‑France</em>, <em>Le Temps</em> et désormais, <em>Beaview</em>. J’écris principalement sur des sujets culturels et de société, comme les séries TV, le féminisme, le cinéma, les jeux vidéo, etc. »</p>
<p><strong>Mathilde Sire, journaliste : </strong>« passée par <em>Ouest-France</em>, je collabore notamment avec le <em>Journal des enfants</em>, <em>Reporterre</em> et <em>Beaview</em>. Je travaille en général sur des sujets de société, l'actualité des médias et l'actualité locale rennaise. »</p>
a À ce jour, nous avons obtenu un seul et unique financement partiel venant du fonds de soutien à l’émergence et à l’innovation dans la presse. Beaview est une entreprise qui a des statuts juridiques relevant de l’économie sociale et solidaire (ESS) mais nous n’avons pas accès aux concours de “cette économie” dans l'optique de gagner des financements ceci sont trop largement réservé aux associations. Et de l'autre côté, nous sommes un média qui ne veut pas de publicité, qui ne fait pas de data, pas d'algorithme, pas d'intelligence artificielle, nous ne sommes donc pas éligibles aux concours classiques. Nous voulons produire de l’info, rien que de l’info. Les organismes financiers et les investisseurs ne prêtent pas pour les projets de presse de ce type. Les réponses que nous entendons : « Vous n’aurez pas d’abonnés car les personnes handicapées et leurs aidants constituent une population fragile avec peu de ressources. » « Vous n’aurez pas d’abonnés car les personnes valides ne seront pas intéressées par votre média n’étant pas concernées par le handicap. » « Vous n’aurez pas d’abonnés. Pourquoi ne proposez-vous pas un annuaire de bonnes adresses pour les handicapés ?. » « Vous devriez plutôt aller gratter des subventions à droite à gauche, il y en a beaucoup, c’est certain, le handicap ça fait pleurer dans les chaumières. » Ton soutien dans cette campagne de financement participatif est donc crucial ! a © Photos : Pierre-Olivier Chaput et Vincent Lenoir / Beaview