CHAISE

Aidez nous à financer la nouvelle création de la Compagnie EOLO : "CHAISE" d' Edward Bond

Project visual CHAISE
Failed
7
Contributions
07/25/2017
End date
€195
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9 %

CHAISE

<p><img alt="Chaise-visuel-pour-kisskissbank-2-1496950311" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/432262/Chaise-Visuel-pour-KissKissBank-2-1496950311.jpg"></p><p> </p><p><strong>CHAISE - Création EOLO 2017</strong></p><p> </p><p><strong>Comédiens : </strong>Géraldine Favre, Nicolas Fine et Patricia Thévenet</p><p><strong>Mise en scène : </strong>Mehdi Belhaouane</p><p><strong>Collaboration artistique :  </strong>Martine Meirieu</p><p><strong>Scénographie :  </strong>Aude Vanhoutte</p><p><strong>Son et Vidéo : </strong>Jindra Kratochvil</p><p><strong>Lumière :  </strong>Andrea Abbatangelo</p><p> </p><p><strong>La compagnie EOLO</strong> travaille sur sa nouvelle création <strong><em>CHAISE</em></strong> d'après un texte d'Edward Bond.</p><p>Sa sortie est prévue<strong> </strong><strong>en</strong> <strong>décembre 2017 au Théâtre de l'Atrium </strong>à Tassin-la-demi-lune (69)</p><p> </p><p><img alt="Img_0444-1496848353" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431654/IMG_0444-1496848353.JPG"></p><p><img alt="Img_0364-1496848740" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431658/IMG_0364-1496848740.JPG"></p><p> </p><p><strong><u>Le texte</u></strong></p><p> </p><p>Juillet 2077. Alice Acromby regarde dans la rue par la fenêtre de son petit deux-pièces situé au deuxième étage d’un immeuble. Dans la même pièce Billy fait ses dessins : la jungle ou bien la mer, ce sont de dessins qu’il fait très bien. Billy a vingt-six ans, il n’est jamais sorti des deux pièces. Il a grandi en regardant le monde par la fenêtre, à travers les rideaux, sans jamais se montrer. Depuis des heures, Alice regarde en bas, dans la rue, un soldat et une prisonnière qui attendent à l’arrêt du bus. Billy trouve que la prisonnière ressemble à Alice. Il voudrait qu’elle descende pour en savoir plus. C’est interdit : on n’a pas le droit de parler aux prisonniers, même pas le droit de les regarder. Billy invente un subterfuge. Comme le soldat doit être fatigué d’attendre le bus debout depuis des heures, il suggère à Alice de descendre avec une chaise. Elle pourra lui proposer de s’asseoir dessus, alors elle pourra voir la prisonnière de plus près. Alice descend la chaise. Le soldat s’assoit dessus. Alice peut voir la prisonnière : une vieille femme décharnée qui a été rouée de coups, elle est dans un état pitoyable. Alice fait un mouvement vers elle…</p><p> </p><p><img alt="Img_0451-1496848628" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431656/IMG_0451-1496848628.JPG"></p><p><img alt="Img_0377-1496848812" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431659/IMG_0377-1496848812.JPG"></p><p> </p><p><u><strong>L'auteur</strong></u></p><p> </p><p>Edward Bond est né en 1934 à Holloway, au nord de Londres, dans une famille ouvrière de quatre enfants. Ses parents, d'origine paysanne, s'y sont installés dans les années trente pour trouver du travail. Lorsque la guerre éclate, il est évacué vers le comté de Cornouailles, puis, de nouveau, après le Blitz, sur l'île de Ely, chez ses grands-parents. Après la fin de la guerre, ses professeurs à l'école de Crouch End ne le trouvent pas assez bon pour passer l'examen de passage du primaire au secondaire. Bond quitte alors l'école et occupe plusieurs emplois. Tour à tour, il est peintre, courtier en assurance, contrôleur dans une usine d'avions avant d'être appelé pour son service militaire en 1953. Il est envoyé à Vienne avec l'armée d'occupation alliée. C'est à la fin de ses deux années de service militaire qu'il écrit sa première oeuvre, une nouvelle (aujourd'hui perdue).</p><p>Sa collaboration avec le Royal Court Théâtre débute à la fin des années cinquante, après leur avoir soumis le texte de la pièce Klaxon in Atreus Place.</p><p>Invité à se rendre aux réunions des écrivains de cette institution, il prend part à des stages de jeu pour acteurs. Sa première pièce représentée est The Pope's wedding (Les Noces du pape), en 1962 pour une seule représentation un dimanche soir. En 1964, la création de sa pièce Sauvés soulève un des plus grands scandales de l'histoire du théâtre anglais. Les débats et la polémique autour de sa pièce suivante Au petit matin (Early Morning), en 1968, conduiront à l'abolition de la censure théâtrale en Angleterre.</p><p>Edward Bond a constitué une œuvre riche de plus d'une quarantaine de pièces jouées constamment dans le monde entier. Il a également écrit des pièces pour la radio, des scénarios pour le cinéma ou la télévision, des livrets d'opéra et des canevas de ballets chorégraphiques, des adaptations ou traductions d'œuvres étrangères et de nombreux poèmes.</p><p>Praticien qui a plusieurs fois mis en scène ses pièces et dirige des ateliers d'acteurs ou d'amateurs, il développe en parallèle une vaste réflexion théorique sur l'art théâtral à travers de nombreux articles, notes, préfaces et correspondances. Un de ses derniers ouvrages The Hidden plot (La Trame cachée), est une vaste et ambitieuse réflexion sur l'art dramatique, qui découvre l'origine du théâtre, sa nécessité pour l'être humain, jusque dans les premiers efforts conscients du nouveau-né. Certaines de ses pièces les plus récentes sont écrites pour défendre la pratique du théâtre en milieu scolaire et destinées à être jouées d'abord dans les lycées et collèges devant des publics d'adolescents mais s'adressent aussi à un public d'adultes.</p><p> </p><p> </p><p><img alt="Img_0414-1496848906" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431661/IMG_0414-1496848906.JPG"></p><p> </p><p><strong><u>Note d’intention</u></strong></p><p> </p><p>"Je me souviens en Tunisie, chez ma grand mère, sous l'aire de la dictature Ben Ali, que nous devions fermer les fenêtres dès que nous parlions politique.Je me souviens que la fenêtre se fermait à la moindre allusion.Je me  souviens d'une fenêtre close pour un rire de trop".</p><p> </p><p>Dès la lecture de cette pièce, j'ai ressenti le besoin de partager cette histoire, ce drame, qui fait écho à notre actualité brûlante : une étrange amnésie de ce qu'est le totalitarisme et l'ombre inquiétante de l'extrémisme omniprésent en occident, comme en orient. Ayant eu de la famille qui a vécu et travaillé en Libye, puis, fuit ce pays pour des raisons évidentes, je me sens particulièrement touché par des événements qui peuvent paraître lointain, par tous les systèmes totalitaires qui pourraient s'installer, ici ou ailleurs.</p><p> </p><p>Ce texte est une mise en garde, mais aussi un condensé d'humanité : Alice se débat pour rester humaine quoi qu'il lui en coûte, elle va jusqu'à briser l'ordre social. Elle éprouve encore de l'empathie pour les autres : une prisonnière, un bébé abandonné. J’ai aussi été touché par le personnage de Billy, grand enfant qui s'invente, s'imagine un monde extérieur. Ce qui est magnifique, c'est de voir la fulgurance de son imagination, son désir de liberté, ses rêves, son  envie de grandir...</p><p> </p><p>J'ai eu envie de monter <strong><em>Chaise</em></strong> avec<strong> EOLO</strong> car nous effectuons un <strong>travail sur la problématique de l'exclusion des individus dû à leur milieu social ou leur handicap physique ou mental, que ce soit par le biais de création ou d’ateliers artistiques</strong>.</p><p> </p><p>En <strong>2013</strong> Eolo a créé un spectacle de danse, <strong><em>Me-tisser</em></strong>, autour du thème de la place, perdue ou retrouvée. Sur scène, avec les artistes d’EOLO, a pris place un jeune homme traumatisé crânien, redevenu artiste à part entière après avoir suivi les ateliers d’Eolo pendant les longues années de sa rééducation, puis réinsertion. Puis en <strong>2015</strong>, de la même façon dans <strong><em>Chants de mine</em></strong>, un artiste en fauteuil, traumatisé crânien jouait le rôle du père noël, celui-ci avait un bureau de PDG monté sur roulette qui ne soulignait pas son handicap. Au salut, le spectateur pouvait s’apercevoir de cette réalité.</p><p> </p><p>Dans ce cadre, nous organiserons pour <strong><em>Chaise </em></strong>des ateliers artistiques auprès de personne handicapés mentales, nous intégrerons si elles le souhaitent leurs propositions artistiques (sonore, picturale…) pour souligner la différence entre les mondes.</p><p> </p><p>Sur scène, nous verrons donc la différence entre le monde extérieur réel, inquiétant et le monde extérieur imaginé par Billy. Son monde se lira à travers des vidéos non figuratives sous forme d’ombres, de grésillements et de dessins sur papier.</p><p> </p><p><em>Mehdi Belhaouane (novembre 2016)- metteur en scène</em></p><p> </p><p><img alt="Img_0381-1496849217" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431664/IMG_0381-1496849217.JPG"></p><p><img alt="Img_0451-1496848628" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/431656/IMG_0451-1496848628.JPG"></p><p> </p><p><strong>Les artistes de la création "CHAISE"</strong></p><p> </p><p><u><strong>Mehdi Belhaouane</strong></u></p><p>Formé à la Scène sur Saône puis au Voyageur debout, il suit notamment des travaux avec Serge Tranvouez, Robin Renucci, Anne Levy, Claude Buschwald, Antoine Caubet, Michel Massé... Mène un parcours prolixe de comédien qui oeuvre à la fois sur les champs du théâtre classique et contemporain. Joue notamment La dispute de Marivaux, mise en scène par Lucile Jourdan, L’ile des enfants Perdus de Sounda par Jean Clauvice Ngoubili et Martine Meirieu au CCF de Brazaville (Congo), Je me méfie de l’homme occidental de et par Jérôme Richer au théâtre Saint Gervais (Suisse), Vestiaires par Michel Belettante et Nino D’Introna. Il a joué sous la direction d’Alice Tedde, Philippe Wiart, Jacqueline Boeuf, Jacques Varache, Philippe Guyomard, Claude Vercey, Florent Ottello... Et à l’opéra avec Simon Mc Burney et Laurent Pelly en tant que comédien.</p><p> </p><p><u><strong>Martine Meirieu</strong></u></p><p>Fondatrice d’EOLO, elle a mis en scène l’île des enfants perdus à l’institut français de Brazzaville (Congo), Me-Tisser à l’amphithéâtre de l’opéra de Lyon, Le pays de l’autre au festival Afrikawaa à Paris, l’aube de la terre d’après Le silence des esprits de Wilfrid N’Sonde au festival de jazz à cour et à jardin à Lyon, Senghor et le pays Sérère à Joal (Senégal), à Lyon au théâtre des Asphodèles dans le cadre de la semaine de la francophonie, d’un côté l’autre à l’amphithéâtre de l’opéra de Lyon. Elle a lu les textes de Wilfrid N’Sondé et de Bouallem Sensal en présence des auteurs lors de la tournée en Suisse de La Caravane des dix mots. Elle a écrit et publié : Se reconnaître par le théâtre, outils de travail, Chronique sociale Les pratiques théâtrales en milieu psychiatrique in le théâtre à l’école, Actes sud papiers Se reconnaître par le théâtre : école, éducation spécialisée, formation continue, Chronique sociale Là-haut sur la montagne in Envols d’enfance Gallimard jeunesse L’art à la rencontre de l’autre, rédactrice en chef, Lyon, Chronique sociale.</p><p> </p><p><u><strong>Géraldine Favre</strong></u></p><p>Après une Maîtrise de lettres modernes, un détour dans les métiers du secteur social, elle se consacre entièrement au Théâtre. Elle se forme auprès de La Compagnie Le Voyageur Debout et au Théâtre de la Platte à Lyon. Attirée par un théâtre corporel et burlesque, elle découvre la Commedia dell’Arte avec Carlo Boso et Alberto Nason, le théâtre Nô et Kabuki avec Shiro Daïmon, le théâtre Buto avec Sumako Koséki, le bouffon avec Alain Gautré et Claire Eggen.Elle rejoint la Cie Pare Choc en 2001 qu’elle codirige avec Gilles Barthélémy. En Duo, ils montent leurs propres créations pour la rue : Le Château, Les Corruptibles, Les Nouveaux Antiques (création 2009) et elle met en scène ses propres créations pour le Jeune Public : Sous mon lit (2005), Les Amoureux (création 2009), Fragile (création 2011), elle écrit et met en scène Filles de Mai (spectacle sur les combats des femmes au XXème siècle). Elle est actuellement en recherche pour écrire la suite de Filles de mai sur l’évolution des droits des femmes depuis les années 70. Elle rejoint Eolo en 2013.</p><p> </p><p><u><strong>Nicolas Fine</strong></u></p><p>Nicolas Fine entre à l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques de Théâtre en 1997 pour y suivre, entre autres, les cours de Nada Strancar, Alain Knapp et Paul-André Sagel. Au théâtre, par la suite, il a joué sous la direction de Michel Belletante et Nino d’Introna, Philippe Delaigue, Claudia Stavisky, Marie-Sophie Ferdane, Anne-Laure Liégeois, Emanuel Robin, Aline César, Philippe Faure. Récemment, il a interprété Le monologue d’Adramélech de Valère Novarina, mis en scène par Thomas Poulard. Avec la Cie Les Passeurs, sous la direction de Lucile Jourdan, il interprète Le Garçon dans Les saisons de Rosemarie de Dominique Richard et le rôle de Tom dans Le sable dans les yeux de Bénédicte Couka. Parallèlement, il se passionne pour la caméra. Après un certain nombre de courts-métrages en tant que comédien, il en réalise plusieurs dont Pourquoi pas, Mégalo camion, ou Sortie de route qui obtiendra le prix de la mise en scène au Festival Libre-court à Paris remis par Claude Miller.Actuellement il tourne dans une série télévisée diffusée sur TF1 en 2017.</p><p> </p><p><u><strong>Patricia Thévenet</strong></u></p><p>Formée à la Comédie de St Etienne, elle jouera sous la direction de Patrick Le Mauff dans La Noce chez les petits bourgeois de B. Brecht et Eléments moins performants de Peter Turrini, ou qu’elle retrouvera régulièrement Jacques Bellay qui la fera jouer dans Antigone de Sophocle, Folies Berlinoises (spectacle cabaret d’après des textes et chansons de Kurt Tucholvski), Coeur de chien de Bougliakov ou L’Iliade d’après Alessandro Baricco, spectacle créé au CDN de Nice. Quant aux projets menés avec d’anciens élèves de la Comédie de St Etienne, on peut citer ceux dirigés par Julio Guereirro : Hiatus (d’après l’univers de Beckett), La Loi de Cendrillon de Robert Walser, Coulez mes larmes (création d’après Philippe K. Dick), et Histoire d’hommes de Xavier Durringer. A son tour, elle le mettra en scène dans un duo burlesque, A l’Ouest, comme elle dirigera les comédiens de la Compagnie du petit Tulle dans Une Laborieuse entreprise de Hanock Levin. Elle créé dernièrement Chant de mines de Philippe Gauthier, spectacle pour la jeunesse créé cette année à l’Atrium de Tassin la demi-Lune avec EOLO.</p><p> </p><p><u><strong>Aude Vanhoutte</strong></u></p><p>Diplômée en scénographie à l’ENSATT (École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre) à Lyon. En tant que scénographe, elle conçoit et réalise des espaces de jeu, principalement pour le théâtre de rue, le théâtre et le théâtre jeune public. Elle travaille, en étroite collaboration, avec différentes compagnies et metteurs en scène: Magali Chabroud / blÖffique théâtre, Catherine Perocheau /cie Détours, Lucile Jourdan / cie Les passeurs, Mehdi Belhaouane / cie Eolo, Sophie Durand / la Lily, l’Abbatoir / festival Chalon dans la rue, Denis Déon / cie Sens inverse, Valérie Zipper / cie du chien jaune, Thomas Poulard / cie La silencieuse / compagnie du Bonhomme, collectif Ça marche pas tout seul... Dans l’espace public, comme au théâtre, elle interroge le lieu et ses usages, l’observe, le pratique et cherche à s’y inscrire sans brutalité. Attentive à chaque projet, elle développe des univers faits de grandes et petites surprises, qui contournent le quotidien et le réel pour les réinventer. Elle souhaite mettre au coeur de ses dispositifs scénographiques l’humain, qu’il soit artiste ou spectateur. Elle réalise les dossiers de communications et affiches de plusieurs spectacles. Elle travaille également en tant que technicienne plateau, notamment pour le festival des Nuits de Fourvière.</p><p> </p><p><u><strong>Jindra Kratochvil</strong></u></p><p>Né en 1979 en Tchécoslovaquie, il réside en France depuis 1996. Titulaire d’une Maîtrise Arts du Spectacle et Musique à l’Université Paul Valéry de Montpellier, et initié à la composition de la musique acousmatique à l’École Nationale de Nîmes (classe du compositeur Bruno d’Auzon), il poursuit son exploration de différents domaines de création en développant une approche pluri-média. Il s’appuie autant sur les technologies numériques (graphisme / multimédia / vidéo / son) que sur des arts corporels (dessin / calligraphie japonaise). En tant que graphiste et vidéaste professionnel, il intervient après des collectivités et des associations sur des projets d’éducation, de communication et de sensibilisation à la problématique de la société inclusive.</p><p> </p><p><u><strong>Andréa Abbatangelo</strong></u></p><p>Concepteur lumières depuis 1983, Andrea Abbatangelo a travaillé en tournée dans plus de 500 théâtres dans le monde . Il a réalisé les lumières de nombreux spectacles de Nino D’Introna pour le Teatro dell’Angolo (Robinson Crusoé, Terre Promise..), pour le théâtre Am Stram Gram de Genève (Un ange passe, Les derniers géants), pour Théâtre et Compagnie avec Michel Belletante (Couple en (dé)construction, Tartuffe...), avec Michel Belletante et Nino D’Introna (Don Juan, Molière impromptu, Vestiaires...) Il réalise les lumières de Nino D’Introna pour le Théâtre Nouvelle Génération / CDN de Lyon de 2005 à 2015 (L’Arbre, Yaël Tautavel, Jojo au bord du monde...). Il réalise avec la compagnie Nino D’Introna, les lumières de Parachute et les lumières du spectacle d’Anne Delbée, La Leçon de Phèdre. Il a également participé à de nombreux festivals internationaux (Chicago, Moscou, Mexico, Perth, Epidaure, Montréal, Munich, Helsinki, Avignon, Asti, Madrid, Edimbourg, Haraus..) et créé des illuminations en extérieur d’édifices historiques en Italie, de parcs publics, de monuments, de bâtiments municipaux. Il a aussi été formateur à l’INSA de Lyon, à Saint Egrève et à Grenoble.  </p><p> </p><p><strong><u>Les Créations EOLO précédentes</u></strong></p><p> </p><p>L’activité d’Eolo est celle d’une compagnie de spectacle vivant. Les spectacles sont soit des reprises de textes, soit des créations tournant autour des thèmes de la différence, de la place et de l’exclusion. Ils se font toujours autour de médiations culturelles et d’ateliers, sur un territoire donné respectant la charte d’Eolo et de ses valeurs.</p><p> </p><p>Le premier spectacle programmé fut <strong><em>Me-tisser</em> </strong>créé en 2013 à l’amphithéâtre de l’Opéra de Lyon, repris au théâtre de l’Atrium de Tassin en 2014. <em>Me-tisser</em> est une exploration danse et musique sur nos luttes intérieures : le combat que l’on mène pour trouver sa place ou la regagner à  partir de témoignages collectés à la Clinique de rééducation de l'Iris et autour de l'itinéraire de Laurent Simonetti, un jeune traumatisé crânien, qu’Eolo a réinséré comme danseur.</p><p> </p><p>En 2015, nous jouons <strong><em>Chant de mines</em></strong> de Philippe Gauthier. Texte qui parle d’enfants victimes de mines anti-personnel dans un hôpital où ils vont attendre le père Noël. Un artiste en fauteuil roulant jouait le rôle du père Noël, son handicap n’est pas visible grâce à des astuces de mise en scène.</p><p> </p><p>Eolo a créé à l’institut Français de Brazzaville (République du Congo) en partenariat avec les ateliers Bobatu <strong><em>L’ile des enfants Perdus</em></strong> de Guy Alexandre Sounda en 2015. Ce texte propose une réflexion poétique et onirique sur des rescapés de la guerre, qui tentent de se reconstruire. L’action se situe dans un pays non déterminé car nous avons refusé de stigmatiser l’un ou l’autre. Il s’agit d’une réflexion intemporelle, ce que souligne les costumes volontairement dépareillés et d’ époque différente et le choix d’ acteurs noirs et blancs.</p><p> </p><p><strong>L'autre particularité de la compagnie Eolo est aussi de mener des ateliers de pratiques artistiques mixtes, avec différents partenaires. Les ateliers sont un espace de création assurés par un binôme d’artiste d'horizons différents. </strong></p><p><strong>Enfin, la spécificité d'Eolo est de bâtir ses projets avec les partenaires qui les accueillent et de ne pas les apporter tout faits, clés en mains</strong>. C’est dans<strong> l’échange</strong> que nous élaborons les contenus et adaptons fonds et forme, en prenant en compte à chaque étape les publics concernés. L'action de l'association Eolo, là où elle intervient, tend à mutualiser les ressources des différents partenaires, des personnes valides ou non valides.</p><p> </p>

Allocation of funds

<p>La collecte va servir à financer une partie des rémunérations des artistes pour la création de la pièce, les animations des futurs ateliers, le financement d'une partie des décors, la réalisation d'un teaser et enfin les supports de communication.</p><p>Voici comment le budget s'articule :</p><p> </p><p><strong>BUDGET GLOBAL                          14500 Euros</strong></p><p> </p><p>COSTUMES / DÉCORS                        800</p><p>SUPPORTS DE COMMUNICATION       500</p><p>LOCATION SALLE                              1200</p><p>SALAIRES CRÉATION                        7000</p><p>SALAIRES ATELIERS                         5000</p><p> </p><p> </p>

Rewards

€10

Un grand merci !!!!!

€20

1 affiche du spectacle dédicacée par les comédiens.

€30

1 invitation au spectacle

€50

2 invitations au spectacle

€75

2 invitations au spectacle et 1 livre "L'art à la rencontre de l'autre" écrit par la compagnie EOLO

€100

Une rencontre avec les artistes, 2 invitations au spectacle et 1 livre "L'art à la rencontre de l'autre"

€150

Un apéritif avec les artistes, 2 invitations au spectacle et 1 livre "L'art à la rencontre de l'autre"

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