CinEgal
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<u><strong>Origine du projet </strong></u></p>
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(Ismael) Mon dernier séjour au Sénégal remonte à l’année 2012. J’y suis resté quatre mois au total entre mai et septembre. La moitié de mon séjour s’est déroulée à Dakar, la capitale du pays. J’y ai fréquenté régulièrement l’Institut Français et sa salle de cinéma de 120 places. J’y ai alors découvert quelques longs métrages de réalisateurs sénégalais entre autre. C’est durant ce même séjour que j’ai réalisé la cessation de fonctionnement des nombreuses salles de cinémas du Sénégal et qu’une grande partie de ces structures avaient étés réinvesties, remplissant aujourd’hui d’autres fonctions (église, centre d’accueil pour enfants talibés, marché, logement, etc.)</p>
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(Pierre) L’étude documentaire réalisée sur le cinéma Sénégalais dans le cadre de ma formation universitaire nous en dit un peu plus sur ce phénomène : les années quatre-vingt-dix ont été marquées par de multiples politiques de restructuration des États Africains. Justifiant leurs demandes par l’annulation de dettes souveraines ou encore par le prêt de sommes d’argents, le Fond Monétaire International (F.M.I) et les pays occidentaux ont imposé la rigueur économique aux anciennes colonies du continent. Ce tournant a marqué l’avènement de coupes budgétaires dans la gestion des politiques internes. C’est le secteur de la Culture qui a connu les plus importantes diminutions. Au Sénégal, l’une des principales conséquences de ces réajustements fût la privatisation des soixante-dix salles de cinémas dont s’était doté le pays dix ans plus tôt. Par la suite aucune clause contractuelle n’a imposé aux acheteurs des salles l’obligation du maintien de l’activité de diffusion, au préalable assurée par l’état. C’est donc l’une après l’autre qu’elles ont perdu leur vocation initiale et de ce fait ont compliqué l’accès aux films sénégalais.</p>
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<u><strong>Objectifs visés</strong></u></p>
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Le "cinÉgal" cherche à donner aux populations sénégalaises un accès aux réalisations cinématographiques africaines et locales.</p>
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Permettre des échanges conviviaux autour des thèmes abordés par les films projetés.</p>
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<u><strong>Quoi </strong></u></p>
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La mise en œuvre du projet se résume par la diffusion de films sénégalais et plus largement africains, dans divers lieux du pays. Qui, par la suite, sera accompagnée d'échanges autour des thèmes abordés par les films.</p>
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<u><strong>Qui </strong></u></p>
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Le public visé est varié en termes d’âges : étudiants, enfants en rupture familiale, adolescents, adultes, familles…</p>
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<u><strong>Où </strong></u></p>
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<u>Dakar</u> : campus universitaire de la faculté Cheikh Anta Diop, centre étatique Guindi, quartier des parcelles Assainies unité 4.</p>
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<u>Saly Niakhnakhal</u> : place principale du village.</p>
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<u>Basse Casamance</u> : place principale du village de Kabadio, foyer de jeunes de Niafran.</p>
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<u><strong>Quand </strong></u></p>
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En termes d’organisation, la première semaine, les projections se dérouleront à Dakar, la seconde semaine à Saly, et enfin la dernière semaine en Basse Casamance.</p>
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Le projet nécessite divers moyens matériels, il a déjà été financé en partie par une bourse de la ville de Lyon (Prodij) de 1300euro, et par nous mêmes avec l'achat de nos billets d'avion (1300euros).</p>
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Le projet requiert l'achat de matériel:</p>
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- un vidéoprojecteur</p>
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- une toile de projection</p>
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- un générateur silencieux</p>
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- une tonnelle</p>
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Ainsi que la location d'une voiture sur place.</p>
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Au total le projet coutera environ 3000 euros, en sachant que 2600 euros sont déjà dans la cagnotte de notre projet. Cela ne tient plus qu'à vous pour nous aider à récolter ces modestes 400 euros qui nous permettront de mener à bien ce projet.</p>
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Nous remercions par avance toute les personnes qui veulent nous soutenir, même si ce n'est que par l'intérêt qu'elles portent au projet.</p>
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<img alt="Aubordgaronne" src="https://kkbb-production.s3.amazonaws.com/uploads/project_image/image/106768/AubordGaronne.jpg"></p>
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<u>ISMAEL POUYE</u></p>
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<u>PIERRE FRANCOU</u></p>