Concert hommage à Rud lion

Financez l'hommage à Rud Lion en musique

Project visual Concert hommage à Rud lion
Failed
9
Contributions
12/22/2019
End date
€260
Out of €3,000
9 %

The publications

<p>Dans “Le Rugissant”, le journaliste Raphaël Malkin raconte l'histoire de Marc Gillas, aka Rud Lion. Un personnage mystérieux, ingérable et explosif, dont le parcours tragique se confond avec la naissance de la culture hip-hop dans la capitale française. Une vie de fracas, une mort expéditive, un nom de légende.</p> <p>Nous sommes le 5 juillet 1999 à Lille. Au café Leffe, grande brasserie à deux pas seulement de la Grand-Place, qu’a choisie Marc Gillas pour son dernier anniversaire. Il fête ses 30 ans, une éternité pour cet écorché vif, hurlant plus qu’il ne parle. Ce jour-là pourtant, le volume a baissé, le regard est noir. Il confesse à Juliette, son dernier amour, qu'il a rencontré il y a peu de temps : <em>“Jamais je n’aurai cru être en vie à 30 ans. Je ne sais pas ce que je fous ici. Je vais mourir bientôt. SI tu ne le sais pas, eh bien moi, je le sais.”</em> Quatre mois plus tard, il sera retrouvé mort par balles, gisant au premier étage du Caf’Conc’de Châtelet. Il ne s’était pas trompé.</p> <p>L'histoire de Rugissant est celle de l'éclosion du rap à Paris</p> <p>Peu connaissent l’histoire de Marc Gillas aka Rud Lion, pourtant <a href="https://www.grazia.fr/culture/musique/livre-raphael-malkin-rud-lion-929923" target="_blank"><em>“incarnation de l’émergence de la culture urbaine”</em></a>, pour l’auteur de <em>Le Rugissant </em>(éd Marchialy), Raphaël Malkin. Il a été manager dans les années 1990, d'un groupe à succès venu de Mantes-la-Jolie dans le 78, Expression Direkt. En réalité, ce musicien autodidacte, organisateur des soirées les plus enfiévrées du Paris des années 1990 est un insaisissable, un électron libre. "<em>Il était de ceux qui s'arrachent à leur condition pour connaître les sommets avant la chute"</em>, écrit l'auteur en quatrième de couverture. C’est pour documenter cette époque et honorer sa mémoire que le journaliste s’est donné pour mission de raconter la vie de cette tête brûlée à l’esprit solaire, qui a frayé son chemin entre le milieu des années 1980 et la fin des années 1990 avec tout un pan de l’édifice rapologique hexagonal, de NTM au mythique terrain vague de la Chapelle à Tonton David, Nuttea, les soirées sound system du quai d’Austerlitz ou les soirées rap de la place du Colonel Fabien.</p>