Flamboyantes

Soutenez la post-production du second long-métrage documentaire de Laetitia Tura et contribuez à sa finalisation !

Project visual Flamboyantes
Successful
105
Contributions
07/09/2021
End date
€5,020
Out of €5,000
100 %

Flamboyantes

<p><em><strong>Flamboyantes</strong></em>&nbsp;<strong>est le second long m&eacute;trage documentaire de Laetitia Tura, produit par Les Films du Carry</strong> et actuellement en cours de r&eacute;alisation.</p> <p>Nous recherchons aujourd&rsquo;hui la somme n&eacute;cessaire pour financer les derniers travaux de post-production,&nbsp;terminer le film dans de bonnes conditions et pr&eacute;parer sa diffusion. <strong>Aussi nous vous proposons de participer &agrave; cette belle aventure et de contribuer &agrave; sa r&eacute;ussite&nbsp;pour que le film puisse tr&egrave;s bient&ocirc;t voir le jour et trouver le chemin des salles et des festivals !</strong></p> <p style="text-align:center"><br /> <strong>R&eacute;sum&eacute; du film</strong></p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/724337/e422a633-3cee-4a1f-b022-f753b66fd0fb.png" width="100%" /></p> <p><strong>Grace, Ala&iuml;de et Betsy ont entre 18 et 20 ans, elles entrent dans l&rsquo;&acirc;ge adulte</strong>.&nbsp;Elles ont vu leurs m&egrave;res partir&nbsp;&agrave;&nbsp;l&#39;aube, des ann&eacute;es durant,&nbsp;pour aller travailler. <strong>Que savent-elles des g&eacute;n&eacute;rations qui les ont pr&eacute;c&eacute;d&eacute;es et de l&rsquo;exil de leurs parents,&nbsp;n&eacute;s dans les territoires colonis&eacute;s ?&nbsp;</strong>Que savent-elles de l&rsquo;histoire de leurs m&egrave;res et de leurs choix de quitter le pays natal ? Les m&egrave;res racontent l&rsquo;&acirc;pret&eacute; du travail, l&rsquo;isolement de l&rsquo;exil&nbsp;et la solitude de la maternit&eacute;. <strong>Les &eacute;chos cr&eacute;&eacute;s entre la parole des m&egrave;res et des filles dessinent les chemins d&rsquo;une &eacute;mancipation construite de g&eacute;n&eacute;ration en g&eacute;n&eacute;ration de femmes.</strong></p> <p style="text-align:center"><br /> <strong>La gen&egrave;se du projet</strong></p> <p>J&rsquo;ai men&eacute; des ateliers avec des &eacute;l&egrave;ves de La Courneuve, enfants de ceux qui ont travers&eacute; les fronti&egrave;res. Leurs parents et grands-parents sont n&eacute;s dans les anciens territoires colonis&eacute;s. Ils habitent dans les quartiers populaires. <strong>Je leur ai demand&eacute; : <em>de qui es-tu l&rsquo;enfant</em> ?</strong> A cette occasion<strong> </strong>j&#39;ai rencontr&eacute;&nbsp;Betsy, Grace et Ala&iuml;de et j&#39;ai commenc&eacute; &agrave; venir les&nbsp;filmer r&eacute;guli&egrave;rement avec l&#39;&eacute;cho de cette question, pour traverser&nbsp;avec elles cette p&eacute;riode qui les m&egrave;nera vers l&rsquo;&acirc;ge adulte, le monde du travail, l&rsquo;autonomie.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/724334/5ec7ddbc-772b-4f55-9fc1-0d1672418c33.jpg" width="100%" /></p> <p><strong>Ces jeunes filles sont les h&eacute;riti&egrave;res d&rsquo;une triple histoire disqualifi&eacute;e : l&rsquo;histoire&nbsp;des colonies, l&rsquo;histoire sociale, l&rsquo;histoire des femmes.</strong>&nbsp;</p> <p>D&rsquo;abord les adolescentes ont dit &laquo; je n&rsquo;ai rien &agrave; raconter &raquo;. Elles ont dit encore &laquo; Ils m&rsquo;ont rien dit &raquo;. Puis elles ont racont&eacute; comment elles ont fait face aux silences de leurs parents ou &agrave; leur &eacute;vitement. Elles m&rsquo;ont dit aussi&nbsp;qu&rsquo;elles-m&ecirc;mes s&rsquo;&eacute;taient abstenues de les questionner, sentant qu&rsquo;il valait mieux &eacute;viter le sujet. Elles m&rsquo;ont ouvert les portes de chez elles. <strong>Conna&icirc;tre le parcours de leurs m&egrave;res, redonner de la valeur &agrave; leurs gestes depuis leur exil jusqu&rsquo;&agrave; leur arriv&eacute;e en France, devient pour Betsy, Grace et Ala&iuml;de un v&eacute;ritable enjeu.</strong></p> <p><strong>Les m&egrave;res Rajani et Victoire me confient aussi leur pass&eacute;, librement ou &agrave; demi-mots</strong>. Je mesure l&rsquo;&eacute;cart qui les s&eacute;pare de leurs enfants, le poids de cette &laquo; m&eacute;moire qui ne sert &agrave; rien &raquo; &agrave; leur arriv&eacute;e. <strong>Ces femmes n&rsquo;ont pas de paroles revendicatives mais ce sont leur vie, leurs choix, qui sont la r&eacute;volte. </strong>Leurs gestes, d&rsquo;une grande radicalit&eacute;, leurs filles ne les connaissaient pas, ou peu. Ils ont disparu sur le sol de la France. Qu&rsquo;a-t-il fallu ravaler pour taire ces d&eacute;cisions ?<strong> Le film leur ouvre un espace qu&#39;elles saisissent pour&nbsp;d&eacute;ployer une parole libre, franche et assur&eacute;e, o&ugrave; elles affirment publiquement leurs parcours de vie. De nos &eacute;changes na&icirc;t une intimit&eacute; qui favorise l&#39;&eacute;coute de leurs r&eacute;cits, tandis que le regard se porte sur leurs visages, dont les traits et les &eacute;motions racontent &eacute;galement des histoires singuli&egrave;res.</strong></p> <p>A cette p&eacute;riode cruciale o&ugrave; se dessinent leurs choix, quels regards les adolescentes portent-elles sur ceux de leurs parents ? Si toutes &eacute;prouvent beaucoup de tendresse et d&rsquo;affection pour leurs parents, elles aspirent &agrave; une plus grande &eacute;mancipation.</p> <p style="text-align:center"><br /> <strong>Les personnages</strong></p> <p><strong>Betsy et sa m&egrave;re Rajani</strong></p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/721074/1a0a309f-d10f-4cdb-8294-3c37234bd3dd.jpg" width="100%" /></p> <p><strong>Lorsque j&rsquo;ai rencontr&eacute; Betsy, j&rsquo;ai &eacute;t&eacute; rapidement frapp&eacute;e par sa personnalit&eacute; malicieuse, son humour et sa maturit&eacute;.</strong> Pour les besoins de l&rsquo;atelier, elle avait apport&eacute; une poup&eacute;e en porcelaine, blonde et blanche, que sa m&egrave;re s&rsquo;&eacute;tait offerte avec sa premi&egrave;re paye. Betsy a pris bien soin de la sortir de la couverture qui l&rsquo;enveloppait, la manipulant avec la plus grande des pr&eacute;cautions. Elle m&rsquo;a ensuite racont&eacute;e la vie de sa m&egrave;re depuis son d&eacute;part du Sri Lanka. Si pour elle l&rsquo;arri&egrave;re-plan historique de cet exil reste flou, la r&eacute;alit&eacute; &eacute;conomique lui saute aux yeux : alors que sa m&egrave;re cumule ici les boulots pour joindre les deux bouts, elle gagne un salaire qui la rendrait riche au Sri Lanka.</p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/734117/b48ea8b9-355f-410d-bbcd-e77b152b9003.jpg" width="100%" /></p> <p><strong>Les traits de sa m&egrave;re Rajani sont emprunts d&rsquo;une grande douceur. Jeune femme tamoule, r&eacute;serv&eacute;e, Rajani est arriv&eacute;e enfant du Sri Lanka, avec sa m&egrave;re et son fr&egrave;re, pour fuir la guerre.</strong> Depuis elle a connu sans cesse la pr&eacute;carit&eacute; en France. &laquo; Je m&rsquo;en suis toujours sortie toute seule &raquo; dit-elle. Elle a obtenu un poste dont elle est fi&egrave;re, responsable de l&rsquo;&eacute;quipe technique pour l&rsquo;entreprise sous-traitante du nettoyage &agrave; l&rsquo;Op&eacute;ra Comique. L&rsquo;&eacute;t&eacute;, Betsy vient travailler avec elle.<br /> <br /> <strong>Grace et sa m&egrave;re Victoire</strong></p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/721075/cab1928c-99a7-4e7f-947b-3a5704332079.jpg" width="100%" /></p> <p><strong>Derni&egrave;re d&rsquo;une fratrie de cinq enfants, Grace navigue avec lucidit&eacute; dans les relations avec sa famille, dont une partie s&rsquo;est install&eacute;e en France et l&rsquo;autre vit toujours en C&ocirc;te d&rsquo;Ivoire.</strong> Elle n&rsquo;a jamais connu le visage ni la voix de sa grand-m&egrave;re, mais d&rsquo;apr&egrave;s son entourage elle aurait h&eacute;rit&eacute; de son esprit. Elle dit qu&rsquo;elle flotte, qu&rsquo;elle a besoin d&rsquo;aller chercher des images. Et &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de 15 ans, elle a fait pour la premi&egrave;re fois le voyage &agrave; Fresco, en C&ocirc;te d&rsquo;Ivoire. Grace, dont la d&eacute;termination force l&rsquo;admiration, c&rsquo;est une voix au d&eacute;bit rapide, dont l&rsquo;assurance est nuanc&eacute;e par la f&eacute;brilit&eacute; de l&rsquo;&eacute;motion. Apr&egrave;s son bac, elle s&rsquo;est orient&eacute;e vers un BTS communication et r&eacute;fl&eacute;chit &agrave; son avenir.</p> <p><strong>Quand Victoire atterrit en France, elle est pleine de ses r&ecirc;ves d&rsquo;Afrique. A son arriv&eacute;e, c&rsquo;est la chute. Elle comprend vite qu&rsquo;elle doit travailler tout en devant faire face aux difficult&eacute;s des maternit&eacute;s.</strong> Pilier de la famille, elle raconte comment elle a construit une place ici, pour maintenir la sienne au pays. Elle nourrit une relation complice avec ses filles, qu&rsquo;elle voit entrer confiante dans la vie active.</p> <p><br /> <strong>Ala&iuml;de</strong></p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/734118/7e1e92ad-69b2-4e50-a0fd-876b6e0b017b.jpg" width="100%" /></p> <p>Ala&iuml;de se d&eacute;clare &laquo; Guyanaise ha&iuml;tienne martiniquaise, descendante d&rsquo;esclave &raquo;, elle a le visage ouvert et g&eacute;n&eacute;reux, le regard qui p&eacute;tille, la voix franche. Elle prend &agrave; c&oelig;ur sa place dans la lign&eacute;e de femmes de sa famille qui, de g&eacute;n&eacute;ration en g&eacute;n&eacute;ration, se sont transmises un lot de biberons de verre. <strong>Ala&iuml;de me raconte la destin&eacute;e de ces quatre g&eacute;n&eacute;rations de femmes, aujourd&rsquo;hui r&eacute;parties sur trois continents, pour qui les maternit&eacute;s ont &eacute;t&eacute; contrari&eacute;es, diff&eacute;r&eacute;es.</strong></p> <p style="text-align:center"><br /> <strong>La r&eacute;alisatrice - Laetitia Tura</strong></p> <p style="text-align:center"><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/721078/994691a4-acbf-457e-a7d7-b0f5e723e86f.jpg" width="100%" />&copy; Marie Docher</p> <p>Ce film documentaire s&rsquo;est nourri de toutes les cr&eacute;ations, photographiques et audiovisuelles, que Laetitia Tura d&eacute;veloppe depuis une dizaine d&rsquo;ann&eacute;es. D&eacute;construire la mise en sc&egrave;ne des dispositifs frontaliers spectaculaires, rendre sensible l&rsquo;exp&eacute;rience de ces hommes et femmes qui ont franchi co&ucirc;te que co&ucirc;te ces lignes physiques et imaginaires que sont les fronti&egrave;res, donner corps aux disparus : tels ont &eacute;t&eacute; les enjeux de ses diff&eacute;rentes r&eacute;alisations. Son travail photographique a &eacute;t&eacute; pr&eacute;sent&eacute; lors de nombreuses expositions (au Mus&eacute;e Albert Kahn, au Mus&eacute;e national de l&rsquo;histoire de l&rsquo;immigration, au Mois de la photo &agrave; Paris, et prochainement au Pavillon du Carr&eacute; de Baudouin&hellip;).&nbsp;</p> <p>Elle cor&eacute;alise avec H&eacute;l&egrave;ne Crouzillat <strong>son premier long m&eacute;trage documentaire, <em>Les Messagers,</em><em> </em>sur la disparition des exil&eacute;s aux fronti&egrave;res de l&rsquo;Europe</strong> (sorti en salle en 2015 et s&eacute;lectionn&eacute; dans de nombreux festivals en France et dans le monde) puis tourne le court m&eacute;trage <em>Ils me laissent l&rsquo;exil - les objets </em>(2016)<em>,</em><em> </em>r&eacute;alis&eacute; en r&eacute;sidence avec Le GREC / Mus&eacute;e d&rsquo;histoire de l&#39;immigration. Par ailleurs, Laetitia Tura intervient r&eacute;guli&egrave;rement dans le cadre d&rsquo;ateliers de cr&eacute;ations partag&eacute;es au sein d&rsquo;&eacute;coles, de m&eacute;diath&egrave;ques, de prisons, dans un souci de <em>faire avec</em>.</p> <p><strong>Principales r&eacute;alisations&nbsp;</strong><strong>audiovisuelles et photographiques</strong></p> <p><em>&bull; Desterrar</em>, long-m&eacute;trage documentaire en cours de d&eacute;veloppement,&nbsp;sur&nbsp;les processus m&eacute;moriels dans l&rsquo;Espagne post-dictature.<br /> <em>&bull; Ce que j&#39;ai vu, ce que je sais</em> - 2020 - Perpignan. Photographies &amp; r&eacute;cits.<br /> <em>&bull; Les pierres gardent le secret</em>&nbsp;- 2019&nbsp;- Prats de Llu&ccedil;anets, Catalogne. Installation.<br /> <em>&bull; Ils me laissent l&rsquo;exil&nbsp;- les objets</em>&nbsp;- 2015 - court-m&eacute;trage&nbsp;documentaire&nbsp;(28&rsquo; / production GREC)<br /> <em>&bull; Les Messagers -&nbsp;</em>2014 - long-m&eacute;trage documentaire en co-r&eacute;alisation avec H&eacute;l&egrave;ne Crouzillat (70&#39; / production&nbsp;The Kingdom, P&eacute;riph&eacute;rie)<br /> <em>&bull; Sur les territoires de la Retirada</em><strong> </strong>- 2013 - France, Espagne. Photographies &amp; r&eacute;cits.<strong>&nbsp;</strong><br /> <em>&bull; Esprit de Gor&eacute;e</em><strong>&nbsp;</strong>-<strong>&nbsp;</strong>2011 - S&eacute;n&eacute;gal. Photographies.<br /> <em>&bull; Je suis pas mort, je suis l&agrave;&nbsp;</em>- 2007-2012 - Maroc, Espagne, Tunisie.&nbsp;Photographies &amp; r&eacute;cits.<br /> <em>&bull; Linewatch -&nbsp;</em>2004-2006 - Mexique, Etats-Unis. Photographies.<br /> <em>&bull; Jnoub/Barakat</em> - 2001 - Liban.&nbsp;Photographies.</p> <p>Site personnel :&nbsp;<a href="https://www.laetitiatura.fr/" target="_blank">www.laetitiatura.fr</a></p> <p><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/733072/d586644d-57be-4f02-8d22-ea86189fb6ee.jpg" width="100%" /></p> <p style="text-align:center">Tirages extraits de &quot;Ce que j&#39;ai vu, ce que je sais&quot; - Perpignan, 2020</p> <p style="text-align:center"><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/728159/a7cc883b-933b-4469-bd4f-053a4687456d.jpg" width="100%" /><br /> <br /> <strong>La production - Les Films du Carry</strong></p> <p><strong>Les Films du Carry est une soci&eacute;t&eacute; de production&nbsp;n&eacute;e en septembre 2017, destin&eacute;e &agrave; produire principalement, mais pas exclusivement, des documentaires de cr&eacute;ation</strong>. Il s&rsquo;agit de films au regard singulier : celui qu&rsquo;un auteur porte sur le monde.</p> <p><strong>Mich&egrave;le Soulignac, sa fondatrice</strong>, poursuit avec sa soci&eacute;t&eacute; le chemin entam&eacute; en 2004 &agrave; P&eacute;riph&eacute;rie avec Cin&eacute;astes en r&eacute;sidence, o&ugrave; elle a accompagn&eacute; pendant 12 ans des films exigeants d&rsquo;un point de vue formel et narratif. La singularit&eacute; du sujet, de la forme, le compagnonnage avec des r&eacute;alisatrices et des r&eacute;alisateurs dont les univers narratifs la touchent, sont ses seuls crit&egrave;res de choix.</p> <p style="text-align:center"><br /> <strong>L&#39;&eacute;quipe du film</strong></p> <p style="text-align:center"><img alt="" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/725214/305d41b4-1ed8-4e40-b798-6584859f32d7.jpg" width="100%" /></p> <p><strong>Hadrien Bayard &ndash; Ing&eacute;nieur son</strong></p> <p>Hadrien a fait des &eacute;tudes de cin&eacute;ma dans le sud de la France, il est depuis un preneur de son qui forge son exp&eacute;rience en travaillant sur des films documentaires et de fiction.</p> <p><strong>Jordane&nbsp;</strong><strong>Chouzenoux&nbsp;</strong><strong>&ndash; Cheffe op&eacute;ratrice</strong></p> <p>Dipl&ocirc;m&eacute;e de l&#39;Ecole Louis Lumi&egrave;re en 2003, Jordane Chouzenoux&nbsp;travaille comme cheffe op&eacute;ratrice en fiction, documentaire,&nbsp;vid&eacute;o d&#39;art... l&agrave; o&ugrave;&nbsp;<em>&#39;&#39;le film est toujours plus fort que nous&#39;&#39;</em>&nbsp;et o&ugrave; il est jubilatoire de l&#39;accompagner et de lui donner corps.<br /> <br /> Longs m&eacute;trages : <em>Si c&#39;&eacute;tait de l&#39;amour</em> de Patric Chiha (2020) ; <em>Lune de Miel</em>&nbsp;d&#39;Elise Otzenberger (2019) ; <em>La nuit a d&eacute;vor&eacute; le monde</em>&nbsp;de Dominique Rocher (2018)&hellip;</p> <p><br /> <strong>Amrita David &ndash; Cheffe monteuse</strong></p> <p>N&eacute;e en Inde, Amrita David se consacre essentiellement au montage de documentaire de cr&eacute;ation. Parmi les nombreux r&eacute;alisateurs avec lesquels elle a travaill&eacute; figurent Alice Diop, Olivier Meyrou, Mohammed El Khatib et Le&iuml;la F&eacute;rault-Levy. Plusieurs des films qu&#39;elle a mont&eacute;s ont &eacute;t&eacute; prim&eacute;s dans divers festivals, notamment <em>Vers la tendresse</em>, C&eacute;sar du meilleur court-m&eacute;trage (2017) et <em>Nous</em>, meilleur film de la section Encounters au festival de Berlin (2021). Elle intervient r&eacute;guli&egrave;rement &agrave; la Femis, dont elle est dipl&ocirc;m&eacute;e, pour encadrer les documentaires des &eacute;l&egrave;ves.</p> <p><strong>Lucie D&egrave;che &ndash; Monteuse son et&nbsp;</strong><strong>mixeuse</strong></p> <p>A la suite d&#39;&eacute;tudes de cin&eacute;ma &agrave; l&#39;ENSAV de Toulouse,&nbsp;Lucie D&egrave;che&nbsp;se consacre &agrave; la prise de son dans le documentaire, puis s&#39;oriente vers la post-production du son essentiellement dans l&#39;univers documentaire. Sur des temps plus longs,&nbsp;elle&nbsp;r&eacute;alise des films o&ugrave; son geste de filmeure semble tisser le pr&eacute;sent dans les fils de l&#39;Histoire. En 2015 elle cr&eacute;e avec d&#39;autres cin&eacute;astes la soci&eacute;t&eacute; de production de films L&#39;Argent.</p> <p><strong>Gildas Mathieu - Conseiller &agrave; l&#39;&eacute;criture</strong></p> <p>Apr&egrave;s un parcours universitaire en cin&eacute;ma, Gildas Mathieu coordonne de 2013 &agrave; 2020 le dispositif d&#39;aide &agrave; la cr&eacute;ation Cin&eacute;astes en r&eacute;sidence au sein de l&#39;association P&eacute;riph&eacute;rie. Depuis il continue d&#39;oeuvrer dans le champ du cin&eacute;ma documentaire et accompagne des auteurs dans l&#39;&eacute;criture de leurs projets.<br /> &nbsp;</p>

Allocation of funds

<p><em>Flamboyantes</em>&nbsp;a d&rsquo;importants soutiens (TVM Est Parisien, le CNC, la r&eacute;gion Auvergne-Rh&ocirc;ne-Alpes et P&eacute;riph&eacute;rie) mais ceux-ci ne permettent pas de mener le film totalement jusqu&rsquo;au bout. Gr&acirc;ce &agrave; eux,&nbsp;Laetitia a pu filmer sur la dur&eacute;e Grace, Betsy, Ala&iuml;de, cr&eacute;er avec elles, Rajani et Victoire, une relation de confiance qui donne tout le miel de <em>Flamboyantes</em> et a permis de recueillir une parole rare et&nbsp;non st&eacute;r&eacute;otyp&eacute;e&nbsp;de la part de ces femmes.</p> <p>Nous avons pu &eacute;galement travailler avec <strong>Amrita David </strong>qui a mont&eacute; le film et <strong>Lucie D&egrave;che</strong> qui a mont&eacute; le son. <strong>Mais&nbsp;nous devons maintenant finir le film. Pour cela nous devons le mixer, puis l&rsquo;&eacute;talonner et enfin fabriquer les supports de diffusion qui permettront de le montrer nous l&rsquo;esp&eacute;rons au plus grand nombre !</strong></p> <p>Or ces derni&egrave;res &eacute;tapes de production co&ucirc;tent cher car elles mobilisent d&rsquo;importants moyens techniques et humains :</p> <p>- <strong>avec 2 000&euro; </strong>nous pourrions payer<br /> <strong>l&rsquo;auditorium de mixage et le salaire de la mixeuse</strong></p> <p>- <strong>2 000&euro; suppl&eacute;mentaires </strong>nous permettront de payer<br /> l&rsquo;enti&egrave;ret&eacute; des<strong> co&ucirc;ts de l&rsquo;&eacute;talonnage</strong></p> <p>- enfin <strong>avec 1 000&euro; de plus </strong>nous pourrons&nbsp;<strong>fabriquer 2 DCP, sous-titrer le film pour lui permettre de circuler en festivals en France et &agrave; l&rsquo;international</strong></p> <p>Un grand merci d&#39;avance pour votre participation !</p>

Rewards

€20

  • 59 contributions
Un grand merci ! + votre NOM AU GENERIQUE dans les remerciements du film

€50

  • 22 contributions
Un grand merci ! + votre NOM AU GENERIQUE dans les remerciements du film + une INVITATION A L'AVANT-PREMIERE au cinéma en présence de l'équipe du film

€100

  • 7 contributions
Un grand merci ! + votre NOM AU GENERIQUE dans les remerciements du film + une INVITATION A L'AVANT-PREMIERE au cinéma en présence de l'équipe du film + un T-SHIRT DU FILM réalisé par Top Manta, atelier sérigraphique du Syndicat des Vendeurs Ambulants de Barcelona.

€150

  • 3 contributions
Un grand merci ! + votre NOM AU GENERIQUE dans les remerciements du film + une INVITATION A L'AVANT-PREMIERE au cinéma en présence de l'équipe du film + un T-SHIRT DU FILM réalisé par Top Manta, atelier sérigraphique du Syndicat des Vendeurs Ambulants de Barcelona + un TIRAGE PHOTO FORMAT 20X26 à choisir parmi quatre photographies d'une série de Laetitia Tura

€250

  • 1 contribution
Un grand merci ! + VOTRE NOM AU GENERIQUE dans les remerciements du film + une INVITATION A L'AVANT-PREMIERE au cinéma en présence de l'équipe du film + un T-SHIRT DU FILM réalisé par Top Manta, atelier sérigraphique du Syndicat des Vendeurs Ambulants de Barcelona + un TIRAGE PHOTO FORMAT 40X50 à choisir parmi trois photographies d'une série de Laetitia Tura

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