MERCI POUR LA RÉUSSITE DE LA CAMPAGNE !

Nous visons les 150%, ce qui nous permettra une post-production et une promotion du film encore plus ambitieux !

Le projet

Il s’agit d’un court métrage d’environ 6 min qui puise ses inspirations dans les films d’épouvante des années 80, le tout remanié avec une mise en scène moderne.

Un scénario écrit par Etienne Coppens avec la participation de Simon Noël.

©Illustration par Mathieu Noël

Synopsis

Un homme ramène chez lui un coffre aux origines incertaines. Il va s’installer dans son bureau impeccablement rangé et ouvrir celui-ci. À l'intérieur se trouve un puzzle démonté. Dirigé par ses pulsions d’ordre et de contrôle, l’homme va assembler le casse-tête. Ce dernier va s’activer et plonger l’homme dans différentes itérations dimensionnelles qu’il devra traverser en se surpassant.

Mot du réalisateur

Notre perception du réel n’est- elle pas faussée par ce que notre cerveau décide de nous projeter afin de conserver notre psyché intacte ?

Initié au cinéma par des films de genre (Alien, Blade Runner, The Thing,…) j’ai donc développé inconsciemment l’amour de la mise en scène travaillée. C’est lors de ma participation à mon premier court métrage que je trouve ma vocation au sein d’un tournage : scripte. Depuis, j’ai enchainé les tournages dans cette voie. Avec cette expérience acquise, j’ai décidé de sauter le pas en me lançant dans la réalisation d’un court métrage de genre grâce à mes acquis mais surtout grâce à l'équipe technique appliquée et compétente réunie autour de ce projet.

Ce film me permet d’aborder plusieurs thématiques qui m’ont beaucoup marquées pendant mes visionnages de films ou lors de réflexions personnelles.

Note d'intention

Le film présentera un personnage constamment dans le contrôle, rationnel et perfectionniste. Celui-ci nous renverra globalement et intimement à cette peur intérieure de perdre le contrôle de sa psyché, de sa mémoire ou du sens de la réalité. Le protagoniste devra subir le non-respect des lois de la physique et de la réalité, une symbolisation de l’incontrôlable.

Le choix d’un huis clos était évident car celui-ci permet de créer un ressenti d’intemporalité et d’emprisonnement.

©Illustration par Laura Erba ©Photographie par Laura Erba

Un film de lumières et de décors …

Le film sera plongé dans une ambiance sombre et glauque mais aussi étrange et mystique. Celles-ci renforceront le trouble dans l’esprit du spectateur.

Le réalisateur tient à ce que le film soit constitué de décors/accessoires faits main, conçus par une équipe de décorateurs appliqués et créatifs afin de donner un cachet unique à l’ambiance et à l’esthétique du film :

©Illustration par Laura Erba ©Photographie par Laura Erba

… mais aussi sonore

Il est important de noter que notre perception de l’environnement est énormément influencée par le son que celui-ci émet.

C’est la raison pour laquelle le « designer sonore », qui prend également le son sur le plateau, effectuera un travail conséquent par la suite. Comme pour les décors, les sons, les musiques et les ambiances seront composées entièrement pour le film avec par exemple des sons étranges liés à certains objets. L’objectif est de créer un univers sonore à la fois intriguant et dérangeant.

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Ces trois éléments réunis permettront de modéliser un monde construit d’illogismes et de paradoxes qui éveilleront chez les spectateurs un sentiment de perdition et de confusion.

Mais laissons tout de même une part de mystère pour le visionnage du court métrage...

Deux films qui ont inspiré pour le visuel et l’ambiance du court métrage :

The Fog de John Carpenter 1980

Dark City d'Alex Proyas 1998

L’équipe technique

Réalisation : Simon Noël

Premier assistant réalisateur : Etienne Coppens

Scripte : Marvin Walry

Cheffe opératrice : Lisa Willame

Cheffe électro : Stéphanie Blanchard

Assistant caméra : Benjamin Benarouche

Ingénieur du son et designer sonore: Antoine Goosse

Cheffe décoratrice : Laura Erba

Assistante décoratrice : Sabine Norro

Maquilleuse : Nannerle Jacques

Impair - Un huis clos horrifique