IN SITU, 11ème Rencontre de création Street Art, Land Art à Arles
<p>
<strong><em>"</em>IN SITU,</strong><strong><em> une idée nouvelle et poétique de réappropriation de l’espace public avec les Arlésien"</em></strong></p>
<p>
</p>
<p>
IN SITU 1.1, 11ème Rencontre de création Street Art, Land Art à Arles. Résidence d'artistes du 23 juin au 4 juillet 2016. Exposition du 2 juillet au 30 septembre 2016. Vernissage le samedi 2 juillet 2016 à 19h dans le Jardin Hortus du Musée Départemental Arles Antique. Mêlant Street Art et Land Art, IN SITU présente la particularité de créer des passerelles entre environnement naturel et espace urbain. Chaque année, 5 à 10 artistes français, européens et du reste du monde sont accueillis en résidence pour élargir leur expérience et enrichir leur pratique au contact du territoire Arlésien, Camarguais et de ses populations. </p>
<p>
</p>
<p>
<strong>Les Rencontres de Création "In Situ" ont pour ambition :</strong></p>
<p>
</p>
<p>
<strong>-P</strong>ermettre à tous, promeneurs, amateurs d’art, arlésiens l’accès à une proposition artistique originale </p>
<p>
<strong>-R</strong>êver, d’échanger et de débattre de la relation Création / Urbanités / Paysage naturel</p>
<p>
<strong>-R</strong>enouer avec l'art dans la Ville et renouer avec les personnes </p>
<p>
<strong>-U</strong>tiliser la création <em>In Situ</em> dans la Ville comme questionnement de notre mode de vie <strong>-M</strong>ettre en valeur le patrimoine urbain arlésien et environnemental camarguais</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<strong><u>Marc Limousin</u></strong> <em><strong>Keep an eye out</strong>, </em>installation sur le Rhône, Quai de la Roquette</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Imw_marclimousin_pp_kses10-1460730760" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/304774/ImW_MarcLimousin_PP_KSeS10-1460730760.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
<strong>M</strong>arc Limousin est un artiste et un photographe. Il explore la façon dont l'être humain perçoit son environnement. Il utilise l'eau comme vecteur principal de sa démarche artistique. A travers une pratique transdisciplinaire, il explore la nature et les variations qui se produisent dans l'espace-temps et dans la réalité. Marc Limousin utilise le mouvement afin de révéler de nouvelles visions créés à partir de l'interaction entre l'être humain et les éléments naturels. «(M)ondes de rives» est l'une de ses œuvres majeures. Alors que la rivière s'écoule à travers la ville, la terre et la nature, l'œuvre d'art révèle comment l'eau voit ses propres environnements grâce à "ses yeux". Paul Claudel a écrit : "C'est l'eau qui voit, l'eau qui rêve, l'eau qui pense, l'eau est ainsi le regard de la terre, son appareil à regarder le temps." Prenez les yeux de la rivière qui coule à travers la ville et mettez-vous à leur place. Suivez le cours de la rivière et du passé. Des fragments architecturaux apparaissent et le ciel se reflète. Le paysage se mélange, les mouvements sont inéluctables. Vous êtes l'eau, son souvenir, sa réflexion liquide, profondément impressionniste. "Gardez un œil ouvert". A qui sont ces yeux ? D'où viennent-ils ? Qu'est-ce qu'ils regardent ? </p>
<p>
</p>
<p>
<u><strong>Collectif Photograffée (Djalouz et Pesca)</strong></u><strong> <em>Golden Tree,</em></strong> fresque</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Simulation_officielle_photograff_e_golden_tree-1461249438" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/307125/Simulation_officielle_Photograff_e_Golden_Tree-1461249438.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Collectif_photograff_e_djalouz-1460730844" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/304775/Collectif_Photograff_e_Djalouz-1460730844.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
Djalouz et Pesca développent un style nouveau dans l’art de mixer photo et peinture. Ils renouvellent le genre en réunissant en une même vision le réel et l’imaginaire, offrant ainsi un instantané du monde, intense et spontané. Photograffée est une escale à la croisée de notre monde et de nos imaginations. Plasticien et Street Artist, Djalouz développe un travail abstrait, par le biais de formes en volume circulant et se matérialisant dans des lieux incongrus. Dès lors, il s'efforce de sortir le graffiti de ses conventions en le faisant évoluer sur du sol au plafond. Dans la rue, en friche, sur toile ou dans une installation, la forme de son travail prend sens avec les éléments qui l'entourent. Ensemble, ils créent une mélodie qui s'inspire de la mélancolie du lieu où l'on se trouve. La photographie joue un rôle important dans la transcription de ces émotions, laissant une trace de ces œuvres vouées à disparaître, elles aussi. La rue est son aire de jeux. Il y trouve différentes surfaces qui lui permettent de matérialiser son œuvre. L'arbre d'or peut faire référence à un bas-relief ou une écorce incrustée dans la pierre. </p>
<p>
</p>
<p>
<strong><u>Hélène Barrier</u></strong><strong> <em>Jardins secrets : Les Essaims, </em></strong>Esplanade Charles-De-Gaulle</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Couleurslainebleu-1460730895" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/304776/CouleursLaineBleu-1460730895.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Simulation_placeofficedutourisme-1460730951" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/304777/Simulation_PlaceOfficeduTourisme-1460730951.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
Fondatrice du collectif <em>Iconoklastes</em> qui développent des projets transversaux autour du textile, comme le projet <em>Jardins secrets</em> qui associe le textile et l'art environnemental, Hélène Barrier a commencé son travail de plasticienne textile par la découverte de la sérigraphie, qui lui a donné l’envie de récupérer de vieux tissus et de leur donner une nouvelle vie par l’impression de motifs et de couleurs. Ces textiles sont devenus peu à peu des petites sculptures, aux formes animales ou anthropomorphes. La laine brute et la laine cardée, feutrée, tressé ou crochetée, donne des textures et des états de matière formant des installations microscopiques ou macroscopiques. Autour de la notion d'extensions textiles et de mouvement organique de pousse, de germination, de prolifération, sont nés les <em>Essaims</em>, issus de recherches sur l’émergence de formes textiles artificielles sur un modèle naturel. Les essaims sauvages d'abeilles, construits en grappes autour des branches d’arbres, hésitent entre cocon et chrysalide, et sont formés de milliers d’individus, comme autant de mailles qui unissent un ouvrage. Ils évoquent une pensée en marche, un rêve qui se développe. </p>
<p>
</p>
<p>
<u><strong>Samira Amezghar,</strong></u><em><strong> The wave, </strong></em>fresque (Boulevard Clemenceau, pont de la voie rapide)</p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Samira_amezghar_fresque_officielle-1461249378" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/307124/Samira_Amezghar_Fresque_Officielle-1461249378.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
Samira Amezghar Artiste peintre née à Tanger. Lauréate de l’Institut Superieur Des Beaux-Arts de Tétouan. EXPOSITIONS: 2013 : Participation au musée virtuel de la Villa des Arts, Rabat (Fondation ONA) Février 2012 : Exposition (Vent du nord), Villa des Arts, Casablanca (Fondation ONA) Mars 2010 : Exposition (Al sur del sur), Séville, Espagne Février 2010 : Exposition (Las Chicas son guerreras), Séville, Espagne Juin 2009 : Participation au premier Festival Des Arts Plastiques de Tanger (Expositions dans les galeries Delacroix, Mohamed Drissi et Hôtel El Minzah), Tanger Août 2003 : Participation au festival culturel d’Asilah (Toiles suspendues) Août 2002 : Participation au festival culturel d’Asilah (Peinture murale) Mars 2002 : Exposition au centre Hassan II des rencontres internationales, Asilah Mars 2002 : Participation au 1er marathon artistique féminin (Trajet : Asilah – Laâyoune) 2000 : Peinture sur céramique, collection 2000, pour la Société ARTENOVA CERAMIQUE, Tanger 1999 : Participation avec Mohamed Chebaa à l’exposition de Rotterdam, Bruxelles, Charleroi Mars 1997 : Exposition au collège Jacinto Benavente, Tétouan Mai 1996 : Participation au congrès national des droits de l’enfant (Intervention artistique), Rabat Mars 1996 : Participation au festival d’art vidéo de Casablanca (Installation vidéo 100 titres), Casablanca.</p>
<p>
</p>
<p>
<u><strong>Atelier "Street Rainbow"</strong></u></p>
<p>
</p>
<p>
</p>
<p>
<img alt="Simulation_escalier_pontvoierapide-1460731131" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/304780/Simulation_Escalier_PontVoieRapide-1460731131.jpg"></p>
<p>
</p>
<p>
Le projet participatif consiste à réaliser un Atelier Street Art intergénérationnel avec les habitants du Quartier de la Roquette. Les Arlésiens sont invités à apporter leur pot de peinture et à participer à la création de cette fresque collective.</p>
<p>
</p>
<p>
L'arc-en-ciel est un phénomène optique et météorologique qui rend visible le spectre continu de la lumière du ciel quand le soleil brille pendant la pluie. Isaac Newton découpa l'arc-en-ciel en 7 couleurs : rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet. Les 7 couleurs correspondent aux notes de la gamme musicale. L'arc-en-ciel peut également représenter la diversité et le multiculturalisme du Quartier de la Roquette. L'atelier consiste à utiliser les couleurs de l'arc-en-ciel sur le pont et à réaliser un piano coloré sur les marches de l'escalier. </p>
<p>
</p>
<p>
<strong><u>Lieu d'intervention:</u></strong> Quartier de la roquette, Boulevard Clemenceau, pont de la voie rapide.Tous types de publics.</p>
<p>
</p>