Independence : est-on libre d'aimer sa famille ?

Aidez-nous à reprendre la pièce au Théâtre de la Manufacture des Abbesses (Paris 18) en avril 2015 ! Reprise suite au succès de juin dernier

Project visual Independence : est-on libre d'aimer sa famille ?
Successful
98
Contributions
02/15/2015
End date
€4,608
Out of €3,000
154 %

Independence : est-on libre d'aimer sa famille ?

<p> <strong>Nous souhaitons rejouer la pièce <em>Independence</em>, de Lee Blessing, encouragés par le succès qu'a eu la pièce l'an dernier et le plaisir que nous avons eu à la jouer.</strong></p> <p>  </p> <p> Nous avons été auditionnées par le <a href="http://www.manufacturedesabbesses.com/" target="_blank">Théâtre de la Manufacture des Abbesses</a>, dans le 18ème arrondissement de Paris, qui nous propose une coproduction sur 36 dates du 2 avril au 31 mai 2015.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Critiques_indepene_2-1421746417" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/154100/critiques_indepene_2-1421746417.jpg"></p> <p>  </p> <p> <u>La pièce : </u></p> <p>  </p> <p> Après quatre ans d’absence et de silence, Kim, fille aînée, revient dans la maison de son enfance pour retrouver ses deux sœurs - Jo et Sherry - et surtout sa mère, Evelyn. Ces retrouvailles sonnent comme l'ouverture d'un match de boxe qui ne laissera personne intact.  La justesse des répliques touche en plein cœur. Les coups sont portés comme autant de tentatives pour se parler et se comprendre. On se surprend tour à tour à trembler, espérer et rire devant cette famille à laquelle on aimerait un peu moins ressembler.</p> <p>  </p> <p> <em>« On est aspiré par le texte, on se débat avec les comédiennes et on partage leurs tourments. C'est beau comme du Tennessee Williams... ».</em></p> <p>  </p> <p> <em>« Un jeu théâtral maîtrisé qui donne à ce huis clos intime une dimension universelle insoupçonnée »</em></p> <p>  </p> <p> <em>« Cette pièce nous touche parce qu'elle parle du désamour et de la liberté de ne pas aimer, de cette ligne subjective qui détermine où commence la folie, le devoir, l'identité, la culpabilité. </em><em>»</em></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Independence, ville ordinaire de l'Amérique profonde. Le charme désuet d'une ville morne au sol poussiéreux, un décor banal où cette histoire de famille se noue et se dénoue. </p> <p> Un sol de bataille.</p> <p> La même histoire aurait pu avoir lieu n'importe où, dans n'importe quelle province, dans n'importe quel pays. Chez nous. Parce que ce qui se joue ici se joue aussi dans n'importe quelle famille, dans n'importe quelle vie.</p> <p> Un regard sans concession sur la famille...</p> <p>  </p> <p> <img alt="Dsc0150a540-1421746955" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/154103/DSC0150a540-1421746955.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Le mot du metteur en sc</u><u>ène : Joel Coté, pourquoi avoir chois cette pièce ?</u></p> <p>  </p> <p> "Sans doute pour la lancinante poésie des mots et la douce mélancolie des silences.</p> <p>  </p> <p> Sans doute pour le huis-clos de ces quatre femmes qui ne demandent rien d'autre que la reconnaissance de ce qu'elles sont, l'acceptation de leur indépendance et de leur légitimité de femme.</p> <p>  </p> <p> Sans doute parce que Lee Blessing nous parle au plus près du cœur comme nul autre avec l'histoire de cette mère qui ne s'est jamais libérée et qui cultive la peur d'une solitude depuis longtemps consommée...</p> <p>  </p> <p> Sans doute pour cet amour infini qui nous submerge au regard de ces trois petites filles à la matrice familiale commune et aux destins indissolubles</p> <p>  </p> <p> Ou simplement parce que cette pièce nous parle d'amour - et du manque d'amour qui rend fou. Lorsque submergé par la peur, on se barricade derrière les repères d'une vie balisée dont le schéma et les certitudes nous rassurent. Et la vie passe, indéniablement. Jusqu'au jour où l'on est bien obligé de reconnaître qu'on s'est caché, qu'on s'est menti et que notre souffrance est allée se planter tout droit dans le cœur de nos enfants." </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <u>Les personnages et les comédiennes</u></p> <p>  </p> <p> <strong>Evelyn, la mère</strong></p> <p> <em>Jouée en alternance par Eliane Bernard et Christiane Devaux</em></p> <p> Égocentrique, tout à tour froide, manipulatrice et fragile elle est aussi impérieuse que sadique. C'est une mère terrorisée à l'idée d'être abandonnée par ses filles, et prête à tout jusqu'à se détruire pour rester le personnage central de leurs vies.</p> <p> <img alt="_dsc0200_540-1421747121" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/154105/_DSC0200_540-1421747121.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Kim, l’aînée</strong></p> <p> <em>Jouée en alternance par Iliana Boubekeur et Amélie Amilhau</em></p> <p> Elle est celle qui doit rester solide, croit-elle, quand tout s'effondre. Elle nourrit le fantasme d'une famille unie qu'elle cherche désespérément à réinventer, alors même que pour exister elle a quitté les siens il y a 4 ans, et a coupé tous les liens. Jusqu'à ce que sa sœur l'appelle au secours et que peu à peu sa mère reprend une place étouffante dans sa vie. </p> <p> <img alt="_dsc0159_540-1421747291" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/154107/_DSC0159_540-1421747291.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Jo, la cadette</strong></p> <p> <em>Jouée en alternance par Flavie Alaux et Adèle Nicolas</em></p> <p> Personnage introverti et dépendant, elle s'efface au profit des autres et du devoir familial. Écrasée par sa mère depuis toujours, elle va peu à peu briser sa frustration, portée par un désir de liberté naissant;</p> <p> <img alt="_dsc0122_540-1421747347" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/154108/_DSC0122_540-1421747347.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Sherry, la benjamine</strong></p> <p> <em>Jouée en alternance par Emaé Berlet et Hélène Gounot</em></p> <p> Désenchantée et indomptable, d'apparence frivole et rebelle, elle porte aussi un regard noir et profond su sa vie et sa famille. L'emprise indirecte de sa mère la pousse dans des excès dont elle sera la première victime<em>.</em></p> <p> <img alt="_dsc0033_540-1421747189" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/154106/_DSC0033_540-1421747189.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Pas d'homme !</p> <p> Evelyne, la mère, à Jo, la cadette : "<em>Un jour un homme rentre dans ta vie et tu crois que c'est la réponse à tous tes problèmes, mais tu finis toujours par t'apercevoir que non." </em></p> <p>  </p>

Allocation of funds

<p> Vos dons nous permettront de financer <strong>la prolongation des droits d'auteur </strong>et la <strong>communication. </strong></p> <p>  </p> <p> <strong>A noter que la compagnie Bob &amp; Aglaé finance le minimum garanti imposé par le Théâtre de la Manufacture des Abbesses (13 200€, que viendront compenser, on l'espère, les recettes de la billetterie) !</strong></p> <p>  </p> <p> <strong>- les droits d'auteur : 2200€ </strong></p> <p> Nous devons obligatoirement financer la prolongation des droits pour la reprise (36 dates).</p> <p> L'auteur, c'est Lee Blessing, l'un des principaux auteurs américains de théâtre contemporain.Plusieurs fois récompensé pour sa carrière, il a reçu en 1984 le Great American Play Awards pour Independence.</p> <p> A l'entendre, cette pièce est l'une de ses plus personnelles,inspirée très largement de l'enfance de sa femme. Une fille dans une banlieue poussiéreuse de l'Amérique profonde qui retrouve un jour sa mère balbutiante, enroulée dans une couverture, perdue dans son monde intérieur, et qui décide de la faire interner trois mois dans un hôpital psychiatrique. Geste d'amour désespéré qui la culpabilisera toute sa vie. </p> <p>  </p> <p> <strong>- la communication : 900€ minimum, auxquels s'ajoutent la rémunération de notre attachée de presse</strong></p> <p> 36 dates, dans un théâtre de 120 places : il va falloir faire connaître la pièce au-delà de nos réseaux  ! Nous prévoyons un affichage dans le métro et la diffusion de flyers, ainsi qu'une représentation réservée à la presse. Nous souhaitons faire appel à un(e) attaché(e) de presse professionnel(le) pour nous accompagner dans cette belle aventure. Comme il s'agit d'une coproduction, c'est le Théâtre de la Manufacture des Abbesses qui se charge de la publicité auprès de la Fnac, Theatreonline, Ticketac, Billetreduc, etc.</p> <p> Nous avons budgété : 900€ d'impression et diffusion des flyers et affiches (imposés par le théâtre) </p> <p>  </p> <p> L'affiche (merci à Hervé qui se reconnaîtra !) :</p> <p> <img alt="Affiche-1421748028" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/154110/affiche-1421748028.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>

Rewards

€8

  • 6 contributions
Un grand merci !

Estimated delivery: April 2015

€15

  • 19 contributions
Un grand merci et toute notre reconnaissance !

Estimated delivery: March 2015

€30

  • 7 contributions
Une photo avec les comédiennes à la fin de la représentation...

Estimated delivery: April 2015

€45

  • 17 contributions
Une place pour la représentation à la date de votre choix (du 2 avril au 31 mai, du jeudi au samedi à 21h et le dimanche à 17h)

Estimated delivery: April 2015

€80

  • 20 contributions
2 places pour la représentation à la date (ou aux dates) de votre choix (du 2 avril au 31 mai, du jeudi au samedi à 21h et le dimanche à 17h)

Estimated delivery: April 2015

€250

  • 2 contributions
2 places pour la représentation à la date (ou aux dates) de votre choix (du 2 avril au 31 mai, du jeudi au samedi à 21h et le dimanche à 17h) et un album photos de la pièce

Estimated delivery: April 2015

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