LA BANANE AMERICAINE ... Avignon 2012!

<p><strong>LE SPECTACLE EN QUELQUES MOTS</strong><br><br><strong><em>LA BANANE AMERICAINE ou les "Chroniques d'une enfance ordinaire"...</em></strong><br>L’enfance dont il est question dans ce spectacle connaît la tranquillité d’un petit village de province, quelque part au pays du Chabichou et de Ségolène Royal.  <br>Au centre de l'histoire, il y a une petite-fille. Elle raconte avec entrain, et avec une certaine naïveté, sa réalité quotidienne et familiale. Au fil de son récit, le spectateur voit apparaître les personnages qui jalonnent sa vie d’enfant. Des personnages familiaux (une mère dépressive, une tante hystérique, une grand-mère envahissante…), mais aussi issus de son village (la vendeuse cancanière du bazar, une prof de chant exaltée, des copains d’école …).<br>L’ensemble se situe à la frontière du théâtre et du conte, dans un seule-en-scène comique et explosif. Qui permet de retrouver toute la saveur, l'émotion et la cruauté de l'enfance.<br>De toutes les enfances...</p> <p> </p> <p><iframe src="http://player.vimeo.com/video/29877037?byline=0&amp;portrait=0&amp;color=4b1a80" frameborder="0" width="500" height="281"></iframe></p> <p> </p> <p><br><strong>NOTE D'INTENTION</strong><br><br><strong><em>« TRAVAILLER L'ENFANCE »...</em></strong><br>L'enfance est un moment paradoxal. Elle à la fois la période de toutes les perméabilités, donc de toutes les vulnérabilités, mais aussi celle de tous les élans, de tous les enthousiasmes, de tous les désirs.<br><em>La Banane Américaine</em> tente d'approcher ce qui constitue, presque physiquement, la saveur de l’enfance, sa respiration. Son goût unique où se mêlent douceur, acidité et amertume. Mot à mot, phrase après phrase, ce spectacle reconstitue l'histoire que tisse une parole familiale. Il rassemble, en quelque sorte, les pièces du puzzle, traçant ainsi un tableau tantôt drôle, tantôt touchant, tantôt dramatique. Mais dont l'énergie saura le faire basculer résolument du côté du comique.<br>Le dispositif de jeu est volontairement léger : une comédienne, un plateau nu, une chaise et une malle renfermant quelques accessoires. Grâce à cette sobriété du dispositif, quelque chose de très ludique peut émerger, autant pour la comédienne que pour le public. Quelque chose qui relève de l'enfance et de son fameux « on fait comme si ».</p> <p> </p> <p><em><strong><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/999652photo131copyright.jpg" alt="" width="360" height="239"></strong></em></p> <p><em><strong><br></strong></em></p> <p><em><strong>...AU RISQUE DE L'AUTOFICTION</strong></em><br>La plongée dans ma mémoire et dans mon histoire personnelle constitue le socle de ce projet . Cette dimension auto-fictionnelle, évidemment, n'a de cesse de me questionner : que faire du risque (ou de la réalité…) égotique de cette démarche? De son inévitable impudeur? Comment éviter le pathos ? La complaisance ?<br><em>La Banane Américaine</em>  n’est pas une thérapie sur scène. Elle porte, au contraire, l’espoir de pouvoir parler à chacun de sa propre histoire. L'espoir fou que ce soit au cœur de l'intime qu'une notion d'universel puisse émerger...<br>Il m'est apparu nécessaire d’écrire un spectacle comique. L’humour permet, il me semble, de réinvestir positivement un vécu, d’en effectuer une mise à distance, mais c’est aussi, je crois, le moyen d’inviter l’autre, de lui faire une place. De lui tendre un miroir, où il puisse trouver un espace pour rire de sa propre image, de sa propre enfance.</p> <p> </p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/370869photo134copyright.jpg" alt="" width="361" height="239"></p> <p> </p> <p><br><strong>LA PRESSE</strong><br> <br><strong>Les Trois Coups</strong><br>"Un regard plein de drôlerie sur l'enfance et le dur apprentissage de la vie ! (…)<br>Elise Noiraud a de l'énergie et du talent à revendre, et son regard plein d'humour lui évite les écueils de l'égotisme et du pathos. (...) Au-delà de la performance d'actrice, le spectacle vaut surtout par le regard porté par l'enfant sur le monde des adultes, regard naïf, mais qui perce à jour les contradictions et les faiblesses de ceux qui l'entourent, leurs excès et leurs ridicules. (…) Au final, rien ne vient faire obstacle au plaisir que prend le spectateur à suivre cette brève saga familiale tout public, aussi percutante que bien interprétée."<br><em>Fabrice Chêne - Mars 2012</em><br> <br><strong>Etudiants de Paris- Le magazine<br></strong>"Un spectacle tordant ! (…) <br>Le pari relevé par ce spectacle est qu'il parvient à ramener tout un chacun à sa propre enfance. (…) <br><em>La Banane Américaine</em> a peu de risques de laisser froid. Ce retour aux sources désopilant vous ramènera probablement à l'enfant que vous étiez, ou vous fera rêver de celui que vous auriez voulu être. Et, avec un peu de chance, vous questionnera sur l'adulte que vous êtes devenu."<br><em>Ouissame Benfaïda- Mars 2012</em><br> <br><strong>Le blog "Parler à la foule"</strong><br>"Elise Noiraud parvient à raconter son histoire avec beaucoup de pudeur et de distance, et à jouer cette polyphonie familiale de façon précise et touchante. Une chaise et un coffre renfermant trois accessoires suffisent au décor. La lumière fait naître de façon fluide et discrète des espaces sur le plateau, tandis que la bande sonore utilisée avec parcimonie colore le fond de certaines scènes.<br>Elise Noiraud montre avec finesse et précision les dessous d'une famille ordinaire. J'ai ri et j'ai été très touchée par la délicatesse de cette pièce. "<br><em>Marine Levère- Juin 2011</em></p> <p><em><br></em></p> <p><img src="http://img11.hostingpics.net/pics/393227photo133copyright.jpg" alt="" width="360" height="240"></p> <p> </p> <p> <br><strong>LES PARTENAIRES</strong><br>Ce spectacle est soutenu par<br>-Paris Jeunes Talents <br>-Cultur'Actions (CROUS de Paris)                                                                          <br>-l'Université Paris III-Sorbonne Nouvelle                                                                 <br>-La Banque Postale<br><br>Il a reçu le prix « Spectacle Vivant » du festival ICI&amp;DEMAIN 2012.<br><br>Ils ont accueilli le spectacle : La Loge (Paris 11ème), le Studio Théâtre de Charenton (94), le Théâtre 13-Seine (Paris 13ème).</p><h2>Qui suis-je ?</h2><p><strong>ELISE NOIRAUD&nbsp;</strong>&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</p> <p><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/153830085.jpg" alt="" width="275" height="412" /></p> <p>&nbsp;</p> <p>Elise Noiraud est une jeune femme &acirc;g&eacute;e de 29 ans. Elle est l'auteur et l'interpr&egrave;te de <em>La Banane Am&eacute;ricaine</em>. <br />Form&eacute;e aux Ateliers du Sudden (dir. Raymond Acquaviva), Elise Noiraud est &eacute;galement titulaire d'un Master 1 de Recherche en Etudes Th&eacute;&acirc;trales (Universit&eacute; Paris III &ndash; Sorbonne Nouvelle), qu'elle a consacr&eacute; &agrave; l'autofiction th&eacute;&acirc;trale. <br />A sa sortie d'&eacute;cole, elle est dirig&eacute;e par Raymond Acquaviva (dont elle devient l'assistante) sur<em> La Double Inconstance</em> de Marivaux, et par Franck Berthier (artiste associ&eacute; - Sc&egrave;ne Nationale d'Annecy) sur <em>L'Op&eacute;ra de Quat'Sous</em> de Brecht. D&eacute;sirant travailler avec des publics vari&eacute;s, elle a particip&eacute; &agrave; des projets de th&eacute;&acirc;tre forum (th&eacute;&acirc;tre participatif) dans des centres sociaux, et a beaucoup jou&eacute; pour le jeune public. Elle est &eacute;galement intervenante th&eacute;&acirc;trale en milieu scolaire.<br />En 2008, elle a mis en sc&egrave;ne son premier spectacle, <em>Toi et tes Nuages</em> (d'Eric Westphal). <br />R&eacute;cemment, on a pu la voir au Th&eacute;&acirc;tre 13 dans <em>Italienne Sc&egrave;ne</em> de JF Sivadier (mis en sc&egrave;ne par V. Robert - spectacle laur&eacute;at du &laquo; Prix du Public &raquo; &agrave; l'&eacute;dition 2011 du Concours Th&eacute;&acirc;tre 13), et au Lucernaire dans <em>Les Contes du Chat Perch&eacute;</em> de Marcel Aym&eacute; (mis en sc&egrave;ne par T. Jahn). <br /><em>La Banane Am&eacute;ricaine</em> est son premier spectacle en tant qu'auteur.</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>LE THE&Acirc;TRE DE L'EPOPEE&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;</strong>&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; (directeur artistique Rodolphe Corrion)<strong> <br /></strong></p> <p><strong><br /></strong></p> <p><img src="http://img15.hostingpics.net/pics/575563logoepopee.jpg" alt="" width="305" height="132" /><br />&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; Le Th&eacute;&acirc;tre de l&rsquo;Epop&eacute;e est un r&eacute;seau d&rsquo;artistes et projets artistiques qui a vu le jour en f&eacute;vrier 2007. Trois axes de proposition lui permettent d&rsquo;explorer l&rsquo;art dramatique : la remise en jeu des classiques, la petite forme-laboratoire et le texte contemporain. S&rsquo;ajoutent aussi la proposition ponctuelle et le th&eacute;&acirc;tre social. Des art&egrave;res qui peuvent se nourrir d&rsquo;autres disciplines comme le chant ou la danse pour chercher toujours &agrave; poser des questions sur le monde en divertissant les &ecirc;tres. <br /><br /><span style="text-decoration: underline;">Les spectacles:</span><br />-APRES LA PLUIE de Sergi Belbel (Paris, Avignon et tourn&eacute;e 2008/2013) <br />-HELENE d&rsquo;apr&egrave;s Iliade d&rsquo;Hom&egrave;re (Paris et tourn&eacute;e 2008/2009)<br />-LE TARTUFFE de Moli&egrave;re (Paris 2009)<br />-HANJO&nbsp; d&rsquo;Yukio Mishima (Paris 2010/2011 )<br />-LES TROIS S&OElig;URS d&rsquo;Anton Tchekhov (Paris 2010)<br />-ITALIENNE SCENE de Jean-Fran&ccedil;ois Sivadier (Paris, Avignon et tourn&eacute;e 2011/2013)<br /><br /><br /></p>