Livre-CD La périlleuse fondation de Ville-Marie
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<strong>Bonjour à tous, je me présente, Gaëtane Breton, chanteuse, conteuse et auteure.</strong></p>
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<strong>Offrez-vous mon nouveau livre avec CD <em>La périlleuse fondation de Ville-Marie</em> avant sa sortie en librairie, contenant 12 chansons que j’ai écrites après maintes recherches sur la fondation de Ville-Marie. Une production qui tient à célébrer une page importante de l’histoire de notre pays dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal.</strong></p>
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<strong>Conjointement à ce <em>prélancement,</em> vous deviendrez membre d’un groupe d’appui (supporteurs) sur Facebook qui proposera des mises à jour sur mon projet, les étapes de sa mise en marché, des photos, des notes historiques, des anecdotes et les dates et lieux de spectacles. Vous pourrez ainsi publier vos critiques, opinions et commentaires... </strong></p>
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<strong>Je m’adresse aussi aux diffuseurs et aux milieux scolaires en leur offrant un spectacle à tarif avantageux si l’on fait une offre avant le 1er février 2017.</strong></p>
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<strong>Je me suis entourée d’une équipe dont je suis très fière pour mener à terme cette production :</strong></p>
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<strong>– Le CD : Gilles Plante, spécialiste de la musique de Nouvelle-France, s’est inspiré de cette époque pour composer la musique. Il en est aussi le réalisateur.</strong></p>
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<strong>– Le livre : Lise Baucher-Morency, l’auteure, a rédigé dans un style populaire un texte passionnant pour les jeunes sur cette épopée.</strong></p>
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<strong>– Le spectacle : il actualise sur scène cet événement fondateur, alliant décors et costumes de la Nouvelle-France, pièces instrumentales, chansons et participation du public. On y retrouve Gilles : vieile à roue, harpe, cornemuse ; Andrew Wells-Oberegger : luth – Maisonneuve en jouait. En studio se sont ajoutés Diane Plouffe à la viole de gambe et au violon, ainsi que le guitariste et bassiste Michel Robidoux. La mise en scène est signée Lise Gionet.</strong></p>
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<strong>– Le studio d’enregistrement : Studio MusicMedia.com à Repentigny, avec le technicien Alain Lemoynerie qui a été d’un grand soutien. </strong></p>
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<strong>– Maison d’édition : Les Éditions Planète rebelle qui ont déjà publié, en 2008, mon premier livre avec CD <em>Les aventures de Samuel de Champlain</em>.</strong></p>
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<strong>– Francine Labrie, auteure, qui m’a guidée dans la correction de mes textes de chansons.</strong></p>
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<strong>– Maryse Pelletier, auteure dramatique, pour l’aide à l’écriture du spectacle.</strong></p>
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<strong>– Jacques Lacoursière, éminent historien, m’a accompagnée dans mes recherches pour garantir l’authenticité des faits.</strong></p>
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Un peu d'histoire</p>
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<strong>La fondation de Montréal est un sujet qui me passionne et me bouleverse tout à la fois, surtout quand je regarde ces Français, dont les pionniers fondateurs viennent de Champagne, qui décident de créer une nouvelle colonie dans une région périlleuse où sévissent des guerres iroquoises contre les Hurons et les Algonquins. L’île de Montréal fait alors partie d’une zone frontière entre les tribus guerrières. </strong></p>
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<strong>Les Hurons et les Algonquins, eux, apprécient l’aide des nouveaux arrivants. La guérilla permanente avec les Iroquois ne permet pas aux habitants de s’occuper convenablement de leurs terres et compromet le développement de la colonie. Les habitants vivent sous un régime de peur. En 1665, l’arrivée du régiment Carignan-Salières contribue à sauver la colonie. </strong></p>
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<strong>La fondation de Montréal s’inscrit dans les livres d’histoire, ponctuée de courage, de volonté et d’espoir partagé par ceux qui l’ont bâtie. Jeanne Mance, Maisonneuve, ainsi que tous ceux et celles qui les ont suivis dans cette mission héroïque, méritent notre admiration. </strong></p>
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(Photo de la première du spectacle « La périlleuse fondation de Ville-Marie »).</p>
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<strong>La périlleuse fondation de Ville-Marie</strong></p>
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(Photo de la première du spectacle « La périlleuse fondation de Ville-Marie »).</p>
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<strong>Ma mission personnelle</strong></p>
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<strong>J’éprouve une passion et une grande fierté pour l’<em>Histoire du Québec</em> et, en particulier, pour la période de ses débuts, alors que tout était à faire, celle dite de la Nouvelle-France. Nous en sommes les héritiers. Elle domine notre identité jusqu’à notre ère moderne.</strong></p>
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<strong>J’ai l'impression quelquefois que nos dirigeants ont décidé que les Québécois n’ont aucun intérêt pour leur histoire. Je me souviens d’un commentaire fait par un diffuseur : « L’histoire populaire pour les Québécois, ce n’est pas Champlain, mais Disney. » Je suis totalement en désaccord avec cette affirmation, car j’ai constaté le réel intérêt du public pour notre histoire. Cela explique pourquoi je continue de partager ma passion.</strong></p>
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<strong>Et c’est précisément pourquoi je veux participer concrètement à la commémoration du 375e anniversaire de fondation de Montréal, en mettant en scène la véritable histoire de l’établissement de Ville-Marie. </strong></p>
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(Gilles Plante, Andrew Wells-Obereger et Gaëtane Breton)</p>
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