C’est quoi ?

L’Instant Sophie(s) est une association à but non lucratif, créée à Epinal en juin dernier, qui va proposer de l’événementiel dans sa ville et dans les Vosges (dans un premier temps tout du moins !). Ces rendez-vous, qui ont pour nom L’art à la bouche, auront tous un caractère unique ; la seule constante est qu’ils mêleront l’art et la cuisine. Un premier rendez-vous a déjà été fixé.

La date : le samedi 17 novembre 2018.
Le lieu : le centre des congrès à Epinal.
La circonstance : en marge du 10e salon de la gourmandise qui se tiendra du vendredi au dimanche inclus au même endroit.
L’horaire : de 20 h 15 à 0 h.
Le thème de cette soirée : champêtre !

C’est qui ?

Sophie Maupetit, journaliste très gourmande. – Journaliste depuis près de 20 ans à Vosges Matin et gourmande depuis toujours, elle a développé son appétit pour la chose culinaire depuis quelques années. Au travail avec ses premières interviews de Frédéric Anton (chef vosgien 3* du Pré Catelan) mais aussi en dehors en tissant des relations d’amitié avec nombre de chefs.

Sophie Sap, une journaliste engagée au service de la culture. – Son visage, sa voix, son sens de l’information et son professionnalisme sont quelques-unes des qualités qu’elle déploie pour Vosges Télévision. Journaliste depuis 22 années, elle a animé avec maîtrise et sensibilité de nombreuses émissions. Mais c’est davantage le cas pour Tête de l’Art, cette émission qui fait la part belle à la culture sous toutes ses formes. C’est au milieu des musiciens, danseurs, peintres, sculpteurs, écrivains… qu’elle donne la pleine mesure de son talent journalistique et de sa fibre humaine et artistique.

Olivier Bosio, un artiste libre. - L’art n’est pas une occupation pour Olivier Bosio. Et c’est bien plus qu’une profession. C’est tout bêtement sa vie. Son souffle vital. Pour lui, cesser de créer revient à cesser de respirer. Passionné, Olivier Bosio produit des œuvres personnelles, libres et inspirées depuis plus de 15 ans. Autodidacte - et fier de l’être -, le Spinalien suit ses envies sans contraintes pour faire naître tableaux, objets ou mobilier qui ne respectent pas forcément les codes établis par ses pairs. Il ose et c’est là sa plus belle signature. Tout est prétexte à la création : un engagement, le plat tout droit sorti d’une émission de télé culinaire, la matière…

Photo Vincent Thiery

Philippe Laruelle, la passion de la cuisine dans les gènes. – Il est né dans le restaurant de ses parents. C’est dire si la cuisine fait partie de lui. Ancien chef de l’auberge familiale du Val-Joli au Valtin, le Vosgien Philippe Laruelle s’est nourri des connaissances de son père mais aussi d’Emile Jung (l’emblématique chef 3* du Crocodile), Joël Robuchon ou Alain Ducasse pour faire carrière. Maître cuisinier de France, référent du Collège culinaire de France, finaliste du concours de Meilleur ouvrier de France 2004, ancien vice-président des Jeunes restaurateurs d’Europe, il est désormais chef ambassadeur de la marque vosgienne de matériel de cuisine De Buyer (Le Val-d’Ajol).

Pour des événements uniques mêlant la cuisine et l'art

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