<p>
La saison des naissances battra bientôt son plein chez les grands hapalémurs !<br />
Les bébés voient en effet le jour entre octobre et novembre, après 150 jours de gestation en moyenne. La femelle ne donne naissance qu'à un seul petit par an et les jumeaux sont rares : seulement une observation en captivité et une autre en milieu naturel. Le poids moyen d’un nouveau-né est de 80 g.</p>
<p>
</p>
<p>
<em>En octobre 2013, 22 bébés ont été recensés sur le site du projet « Bamboo lemur » ! </em>Et nous avons eu la chance d'apercevoir les adorables frimousses de certains d'entre eux...<br />
</p>
<div class="embed">
<a href="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/simus_baby.jpg" target="_blank"><img alt="" src="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/simus_baby.jpg" style="max-width: 540px" /></a></div>
<p>
</p>
Prolemur simus, ce lémurien que l’on croyait perdu
Meet the elusive greater bamboo lemur by helping us financing our photo exhibition during the next Photo Festival in Montier-en-Der.

Successful
21
Contributions
10/07/2014
End date
€1,110
Out of €1,000
111 %
The publications
<p>
Le festival nous a confirmé le plan de l'installation définitive soit un linéaire de 22m au sein du site du COSEC. L'exposition prendra donc place au cœur même du festival. C'est une grande chance pour faire découvrir au plus grand nombre ce petit lémurien.</p>
<p>
</p>
<div class="embed">
<a href="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/3d.jpg" target="_blank"><img alt="" src="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/3d.jpg" style="max-width: 540px" /></a></div>
<p>
</p>
<p>
Le campement est niché à flanc de colline un peu à l’écart du village. Les habitations sont rudimentaires et toutes construites sur le même principe : une structure en bois, un toit en feuilles et des murs en bambou dont les tiges ont été éclatées, mises à plat puis tressées.<br />
</p>
<div class="embed">
<a href="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/_MG_9894.jpg" target="_blank"><img alt="" src="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/_MG_9894.jpg" style="max-width: 540px" /></a></div>
<p>
<br />
</p>
<div class="embed">
<a href="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/_MG_9891.jpg" target="_blank"><img alt="" src="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/_MG_9891.jpg" style="max-width: 540px" /></a></div>
<p>
<br />
<br />
Le projet utilise un abri pour les tentes, un second plus petit servant pour les repas, ainsi qu’une petite cuisine. Une douche (avec seau d’eau) est disponible à l’écart et les commodités (latrines) sont placées un peu plus haut sur la colline. Par temps de pluie, l’accès est glissant à souhait mais la vue est splendide.<br />
</p>
<div class="embed">
<a href="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/_MG_9079.jpg" target="_blank"><img alt="" src="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/_MG_9079.jpg" style="max-width: 540px" /></a></div>
<p>
<br />
</p>
<p>
Le site appartient à un ancien du village, Mr Justin, qui y vit avec sa famille. Les guides du projet « Bamboo lemur » qui assurent le suivi scientifique des groupes de grands hapalémurs prennent leurs repas au campement.</p>
<p>
Le <em>Prolemur simus</em> vit majoritairement dans l’Est de Madagascar et le programme scientifique de suivi mis en place se situe en bordure du Parc National de Ranomafana.<br />
Le camp, simple, est constitué de quelques tentes placées sous un abri au toit de feuilles tressées. Il faut donc être autonome et amener tout le nécessaire de camping (ainsi que l’avitaillement), nos bagages, du matériel pour le projet et bien sûr les équipements photographiques, ce qui constitue un intéressant casse-tête au moment de la préparation et de l’enregistrement des bagages !</p>
<p>
</p>
<div class="embed">
<br />
<div class="embed">
<a href="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/carte.jpg" target="_blank"><img alt="" src="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/carte.jpg" style="max-width: 540px" /></a></div>
</div>
<div class="embed">
</div>
<p>
L’avion atterrit à Tananarive, la capitale de Madagascar. Avant de prendre la route, il faut compléter sur place l’équipement, faire les courses, puis tout entasser dans la voiture, s’extraire des embouteillages chroniques où se côtoient bus, camions, voitures, piétons et charrettes à zébu.<br />
Direction le sud du pays par la route n°4 sur environ 300 km. C’est l’une des routes principales de l’île mais son état est plus proche de celui d’une très mauvaise départementale en France, on y roule donc assez lentement et les nombreux villes et villages traversés n’aident pas à améliorer la moyenne. On évite aussi d’y rouler de nuit, ce qui rend une étape obligatoire. 10h de route et une nuit plus tard, il faut s’engager sur une piste pour parcourir les 20 derniers kilomètres qui sont les plus délicats. Les petits ponts locaux n’étant praticables qu’à moto jusqu'à très récemment, chaque franchissement fait l’objet d’une réflexion préalable. On accompagne également le 4x4 à pied pour limiter la charge autant que possible. Une fois au village il reste une rivière à franchir et une petite heure de marche pour atteindre le campement, après 24h de voyage en moyenne.</p>
<p>
</p>
<div class="embed">
<a href="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/illus_route.jpg" target="_blank"><img alt="" src="http://www.meys-photographie.com/doc_divers/img_kiss/illus_route.jpg" style="max-width: 540px" /></a></div>