TRAIN TRAIN

<p> <img alt="Titre_couleur-1429716918" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/189301/Titre_couleur-1429716918.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  <img alt="Affiche_kiss_kiss-1429709539" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/189223/affiche_KISS_KISS-1429709539.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong> La compagnie c’est bien agréable</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> La compagnie c’est bien agréable défend un théâtre qui part du postulat que si l’on ne peut plus aujourd’hui faire table rase, on peut au moins monter dessus avec quelques copains. Créée en décembre 2014, Gaëlle Lebert, Sandrine Molaro et David Talbot en assurent la direction artistique.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>L’histoire de TRAIN TRAIN</strong></p> <p>  </p> <p> « Le train à destination de Destination va partir », annonce au micro un homme en uniforme de la société nationale des chemins de fer. Un train de nuit avec un seul petit arrêt d’une minute à Maturité. Trois femmes (ou presque) qui ne se connaissent pas et s’apprêtent à faire le voyage ensemble. Le temps pour elles de se raconter, de boire, de tricoter, d'assassiner, d’écouter de vieux disques sur un électrophone (exactement le même que celui de Sheila sur la pochette du disque de "l'Heure de la sortie"), de danser, de regarder la vaste rigolade qui file au dehors.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Les personnages de TRAIN TRAIN</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Sa          interprétée par Sandrine Molaro</p> <p> Elle s’appelle Sabine mais tout le monde l’appelle Sa. Elle devait prendre le train avec son copain, mais il l’a loupé du coup elle va descendre à MATURITE.</p> <p>  </p> <p> Bruna          interprétée par Gaëlle Lebert</p> <p> Son père l'attend à l'arrivée. Il ne sait pas. Quand il va la voir au bout du quai, ça va le tuer.</p> <p>  </p> <p> Marie-Douceur          interprétée par Aurélie Boquien</p> <p> Elle passait juste faire un petit coucou avant le départ du train comme elle est dans le coin. Elle est peut-être enceinte de Louis-Laine, elle sait pas. Il y a une chance sur trois.</p> <p>  </p> <p> Louis-Laine          interprété par David Talbot</p> <p> Il est le contrôleur et le couchettiste de ce train de nuit en partance pour DESTINATION.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Extrait :  </strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> « LOUIS-LAINE (au micro) :</p> <p> Je m’appelle Louis-Laine. Je crois qu’on peut dire que je suis le seul personnage masculin de la pièce. Je joue le contrôleur et le couchettiste de ce train de nuit en partance pour DESTINATION. (Il s’empare de deux casquettes) J’ai les deux casquettes et je suis tenu d’en changer selon mon activité. (Il met une des casquettes) Là, je suis contrôleur pour la Société Nationale des Chemins de Fer. (il change de casquette) Et là, je suis couchettiste pour la compagnie des wagons-lits. C’est pas tout à fait le même bleu. Il est 20h04. La température est de 22 degrés. Nous allons effectuer ce voyage à bord d’un compartiment  de places assises de seconde classe. Merci d’éteindre vos téléphones portables jusqu’à l’arrêt complet de l’appareil. Sauf pour les personnages, évidemment. Il faut préciser que tous les personnages de cette histoire n’ont aucun point commun hormis le fait qu’ils n’ont jamais dit « fontaine, je ne boirai pas de ton eau » ou très peu et connaissent par coeur la chorégraphie de Thriller. »</p> <p>  </p> <p> <strong>La mise en scène</strong></p> <p>  </p> <p> Mettre en scène TRAIN TRAIN est le prolongement naturel d’un élan d’acteur, une envie  jubilatoire de donner  vie au texte, d’incarner « pour de vrai » ses personnages, quelque part entre justesse cinématographique et théâtralité excessive, entre cruauté de l’existence et légèreté du quotidien.</p> <p>  </p> <p> Au fur et à mesure que l’on s’apprête à franchir la frontière, la mécanique réaliste s’enraye, et un humour surréaliste surgit, brouille et décale les repères spatio-temporels, gangrène la partition musicale et sonore. La scène s’augmente de l’épaisseur de nos fantasmes, de l’évanescence de nos rêves les plus naïfs et néanmoins essentiels et c’est le bizarre et l’étrange qui s’invitent sur le plateau. </p> <p>  </p> <p> En choisissant de transposer le voyage sur un podium à trois marches utilisé pour les remises de trophées sportifs, c’est le symbole que l’on met en exergue. La vie est un parcours sportif avec ses places, ses rôles attribués, ses dépassements de soi, mais aussi son dopage et ses remises de médaille!</p> <p>  </p> <p> Gaëlle Lebert, Sandrine Molaro et David Talbot</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Esquisse de la scénographie :</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="Plan_de_cor-1429717057" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/189305/Plan_de_cor-1429717057.jpg"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>La joyeuse équipe de TRAIN TRAIN</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Aurélie Boquien</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Aure_lie-1429709750" height="463" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/189228/aure_lie-1429709750.jpg" width="310"></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Formée au cours Périmony, Aurélie Boquien commence à travailler le répertoire classique au théâtre sous la direction de Marie-Silvia Manuel dans <i>Les Joyeuses commères de Windsor</i>  ou  <i>Le Bourgeois gentilhomme</i>. Elle est dirigée par Marc Terzieff dans  <i>L'atelier</i>. Elle joue dans différentes comédies comme  <i>Le Vison Voyageur </i> <i>ou  Post-it</i> au Café de la Gare. Elle écrit et joue une pièce pour enfants  <i>U a disparu</i>. Dernièrement elle a joué dans <i>Un ami d'enfance </i> mis en scène par Eric Verdin.</p> <p> A la télévision on la voit dans des programmes courts comme <i>Scènes de ménage</i>, <i>PME </i>ou <i>La famille Millevoies</i> et dans diverses séries télévisées : <i>Enquêtes reservées</i>, <i>Tiger Lily</i>,<i> Crimes et Botanique</i>, <i>Léo Mattéi </i>...</p> <p> A l'écran Aurélie Boquien joue entre autre dans <i>100% Cachemire</i> de Valérie Lemercier,  <i>99 Fcs </i> de Jan Kounen, <i>Prête-moi ta main</i> de Eric Lartigau ou <i>18 ans après</i> de Coline Serreau.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Gaëlle Lebert</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  <img alt="Gaelle_3_flou-1429955918" height="465" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/190341/gaelle_3_flou-1429955918.jpg" width="310"></p> <p>  </p> <p> Gaëlle Lebert joue à Paris de 2003 à 2007 <i>J’aime beaucoup ce que vous faites</i>, de Carole Greep (Café de la Gare, Palais des Glaces, Comédie Caumartin).</p> <p>  </p> <p> On la voit ensuite dans <i>Check Up </i>de Daniel Colas, <i>Les trois sœurs </i>de Tchekhov<i> </i>mis en scène par Daniel Amar, <i>Etes-vous prêts à servir votre Reine ?</i> d’Agathe Chouchan mise en scène de Thierry Lavat à la Comédie de Reims, <i>Tout le plaisir est pour nous </i>de Ray Cooney mise en scène de Rodolphe Sand au théâtre du Rive Gauche.</p> <p>  </p> <p> Elle travaille régulièrement sous la direction de Jean-Luc Moreau (<i>A deux lits du délit</i>, <i>Trois lits pour </i>huit) et sous celle de Didier Caron (<i>Un pavé dans la cour)</i>. Elle a joué récemment au Palais Royal dans <i>Mon beau-père est une princesse</i> de Didier Bénureau avec Michel Aumont et Claire Nadeau.</p> <p>  </p> <p> Au cinéma elle tourne avec Charlotte de Turckheim (<i>Les Aristos)</i>, Daniel Vigne (<i>Jean de la Fontaine)</i> et à la télévision avec Jean-Louis Lorenzi (<i>Chat noir, Chat bleu</i>/ <i>Rideau Rouge à Raisko</i>), Gérard Marx (<i>Brassens</i>), Lorenzo Gabriele <i>(Détectives</i>), Laurent Jaoui (<i>100 pages blanches</i>)et Bruno Garcia (<i>Mongeville</i>).</p> <p>  </p> <p> Elle créé en 2009 la compagnie Vagu’Only avec le ténor Fabrice Schenck et met en scène des spectacles musicaux.</p> <p>  </p> <p> <strong>Sandrine Molaro</strong></p> <p>  </p> <p> <img alt="Sandrine_photo-1429710093" height="310" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/189232/sandrine_photo-1429710093.jpg" width="448"></p> <p>  </p> <p> Formée au Cours Perimony, elle y reçoit à sa sortie le prix Louis Jouvet.</p> <p> Elle vient de jouer dans <i>Mécanique instable</i> de Yann Reuzeau à la Manufacture des Abbesses.</p> <p>  </p> <p> La saison dernière, elle retrouve Benoit Lavigne avec qui elle avait déjà plusieurs fois travaillé, pour <i>La rose tatouée</i> de Tennessee Williams au Théâtre de l'Atelier.</p> <p> Elle travaille aussi régulièrement sous la direction de Marion Bierry (<i>La veuve de Corneille, La ronde de Schnitzler, Si j'étais femme/Cabaret poétique...</i>) et de Christophe Luthringer (<i>Je t'avais dit, tu m'avais dit! </i>de Jean Tardieu, <i>Ex-Voto </i>de Xavier Durringer). Sandrine Molaro a participé à plusieurs créations collectives avec la Compagnie Après-midi piscine dirigée par Géraldine Bourgue notamment au théâtre de la Commune.</p> <p>  </p> <p> On l'a vu également dans des comédies au Splendid et au Café de la Gare, au Palais des Glaces : <i>J'aime beaucoup ce que vous faites</i>, <i>On choisit pas sa famille</i>, <i>Célibataires</i>.</p> <p>  </p> <p> Elle crée en 2012 avec Gilles-Vincent Kapps la compagnie La Fiancée du Requin.</p> <p>  </p> <p> Au cinéma et à la télévision, elle a tourné entre autres avec Sam Karmann, Dominique Farrugia, Philippe Muyl, Igor Sekulic, Dominique Baron, Joyce Bunuel...</p> <p>  </p> <p> Avec France Inter, elle a participé à plusieurs créations radiophoniques.</p> <p>  </p> <p> <strong>David Talbot</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <img alt="David-1429710152" height="461" src="https://d3v4jsc54141g1.cloudfront.net/uploads/project_image/image/189233/david-1429710152.jpg" width="310"></p> <p>  </p> <p> David Talbot a également suivi sa formation au cours Périmony. Il débute au théâtre Grévin dans « Ainsi va la vie » sous la direction de Julien Rochefort, puis il joue notamment au théâtre du Splendid dans « Célibataires » qu’il co-écrit avec Rodolphe Sand et Armelle et dans « J’aime beaucoup ce que vous faîtes » de Carole Greep mis en scène par Xavier Letourneur au café de la gare et au Palais des Glaces. Plus récemment on a pu le voir entre autres dans « Chat en poche » mis en scène par Pierre Laville au théâtre Saint-Georges, dans « Troubles, féerie familiale » mis en scène par Jean-Marie Galey et dans « Rêves » mis en scène par Philippe Adrien au théâtre de la tempête, dans « La bombe » de Carole Greep mis en scène par Rodolphe Sand, dans « Le frigo » de Copi au théâtre national de Luxembourg, dans « la Ronde » d’Arthur Schnitzler mis en scène par Marion Bierry, dans « Le Tour du monde en 80 jours » mis en scène par Sébastien Azzopardi et actuellement au théâtre du Palais Royal dans « Sans Rancune » mis en scène par Sébastien Azzopardi. Il a aussi tourné pour la télévision notamment dans « Caméra café », « Navarro », « Le juge est une femme », « Julie Lescaut » et « Le sang de la vigne ».`</p> <p>  En tant qu’auteur il a co-écrit « L’audition » qu’il a joué au côté d’Armelle Lesniak et Rodolphe Sand à la comédie Caumartin et « Célibataires » au théâtre du Splendid avec Sandrine Molaro et Laurent Lafitte. Il aussi collaboré avec Carole Greep à l’écriture de « Meilleurs Vœux » qu’il a mis en scène en 2012 au théâtre Tristan Bernard. Il a également participé à l’écriture d’un long métrage « Les Gaous » sorti au cinéma en 2004.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Olivier Jacques- Scénographe</strong></p> <p>  </p> <p> Olivier Jacques est architecte, il a suivi sa formation à L’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Val-de-Seine, en la complétant de plusieurs expériences à l’étranger, à la HafenCity Universität de Hambourg en Allemagne et également en participant à différents workshop à Gdansk en Pologne puis à Séoul en Corée. Il intègre très vite des agences d’architecture d’envergure : Chaix et Morel et Associés, puis Ateliers 2/3/4/ pour suivre le projet de la Cité des Loisirs de Courbevoie en temps que chargé de projet du bâtiment Colombes.</p> <p> Parallèlement, il fonde le collectif JOUIR avec deux autres architectes, voué à devenir une plate-forme pluridisciplinaire de création libre et spontanée, d’expérimentations et de recherche. Avec le collectif, il participe à la création de deux installations performées dans la ville du Tréport en Normandie, la scénographie d’un des espaces du Cabaret Erotique 2011 au Mix’art Myrys à Toulouse, l’aménagement et la scénographie des salles de la bourse du travail de Saint Denis pour le festival de film Les Bobines Rebelles 2012, ou encore la participation au concours Guimarães capitale Européenne de la culture 2012 pour la mise en scène des lieux invisibles de la ville.</p> <p> Et cet été, il réalise la scénographie de TRAIN TRAIN pour sa création au festival d’Avignon au théâtre des Béliers.</p> <p>  </p> <p> <strong>Gilles-Vincent Kapps - Compositeur</strong></p> <p>  </p> <p>  </p> <p> Après avoir étudié le piano au Conservatoire de Nancy, Gilles-Vincent Kapps choisit la guitare comme instrument de prédilection et poursuit sa formation musicale à Strasbourg d'abord au Cedim (Centre d’Enseignement et de Développement de l’Improvisation Musicale) puis au département Jazz du Conservatoire National de Région de Strasbourg, où il étudie l'écriture, l'harmonie et l'analyse avec notamment Jean-Pierre Herzog et Bernard Struber.</p> <p>  </p> <p> Gilles-Vincent Kapps a composé les musiques originales de spectacles comme <i>Je t'avais dit tu m'avais dit</i> (Tardieu) et <i>Pélagos</i> (Jean Lavinal), tous deux mis en scène par Christophe Luthringer, Eaux-les-Bains, spectacle burlesque et visuel de Jean-Luc Falbriard, et dernièrement <i>Si j'étais femme – Cabaret poétique</i>,de Marion Bierry.</p> <p>  </p> <p> Il compose également à l'image (court-métrages, documentaires...) et est sélectionné par la Sacem en 2007 pour participer à l'Université d'été du cinéma d'Emergence sous le parrainage de Jean-Michel Bernard.</p> <p>  </p> <p>  </p> <p> <strong>Thomas Rozzotti -Lumières</strong></p> <p>  </p> <p> Thomas Rizzotti découvre le théâtre en 2001, en tant que régisseur du Café Théâtre d’Angoulême.</p> <p> Cette même année, il accueille le spectacle « Célibataires » dans lequel jouait David Talbot.</p> <p> C’est à travers différentes rencontres, dont celle d’Arthur Jugnot, qu’en 2003 il décide de rejoindre l’équipe du Ciné 13 Théâtre à Paris en tant que régisseur lumière.</p> <p> Il y cotoie diverses compagnies et artistes avec lesquels il travaillera par la suite.</p> <p> Parmi ses collaborations, on compte Philippe Lelièvre et  il participe aux spectacles produits par Arthur Jugnot sur les exploitations parisiennes et en tournée.</p> <p> Thomas s’intéresse à plusieurs styles théâtraux, tel que la magie ( Xavier Mortimer, Sebastien Mossière…), l’humour ( Camille Chamoux, Julien Courbet…), mais aussi le théâtre ( Arthur Jugnot, Gil Gaillot, Pierre Palmade, Michel Aumont, Alexis Michalik…).</p> <p> C’est naturellement qu’il ajoute la corde de créateur lumière à celle de régisseur, avec des pièces comme: <i>La mégère à peu prés apprivoisée </i> (A. MIchalik), les spectacles de la compagnie Cipango (issus du CNSAD), et plus récemment  <i>Les derniers jours de l’humanité </i> (Nicolas Bigards, MC93).</p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p> <p>  </p>